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FaRem
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2,0
Publiée le 7 octobre 2021
Dernier volet de la célèbre franchise horrifique d'anthologie, "V/H/S/94" a la particularité de se dérouler en 1994. Cela n'apporte rien de spécial, mais bon, il faut bien différencier les différents films de cette série spécialisée dans le found footage. Comme dans les précédents, si mes souvenirs sont bons, il y a une introduction qui permet d'introduire les segments à venir. Ici, il s'agit de membres du S.W.A.T. qui font une descente dans un laboratoire de drogue seulement, ils vont y trouver quelque chose de plus sinistre. Le film commence réellement avec "Storm Drain" de Chloe Okuno, dont les premiers longs-métrages avec Maika Monroe et Anna Kendrick vont bientôt voir le jour, qui raconte l'histoire d'une journaliste et de son caméraman qui se rendent dans les égouts pour essayer d'observer une créature nommée "Ratman". Le segment est pas mal au niveau de l'ambiance, mais l'histoire est un brin ridicule. Le film se poursuit avec "Empty Wake" de Simon Barrett, scénarise des bons "You're Next" et "The Guest", qui raconte l'histoire d'une employée des pompes funèbres qui se retrouve seul lors d'une veillée funèbre. Alors qu'on s'attend à une nuit mouvementée, ce n'est pas vraiment le cas puisqu'il ne se passe rien pendant le 3/4 du segment. Le final est cependant sympathique avec de bons effets spéciaux. Timo Tjahjanto, qui est probablement le réalisateur le plus connu et confirmé de cet opus, prend la relève avec un court-métrage sur les expériences macabres d'un scientifique indonésien. Le segment est gore, violent et glauque avec un côté "Hotel Inferno", mais je n'ai pas réussi à accrocher. C'est du vu et revu. Dans "Terror" de Ryan Prows, on suit des suprématistes blancs qui semblent avoir en leur possession une arme secrète. C'est bizarre, mais pas terrible. Et pour terminer, la conclusion de l'histoire fil rouge est à l'image des différents segments segments, c'est poussif et peu marquant. En somme, ce nouveau "V/H/S" n'est pas un très bon cru.
V/H/S 94 contient un segment indispensable The Subject, réalisé par Timo Tjahjanto, également auteur du déjanté The Night Comes For Us. Et en soit cette vhs méritait donc d'être trouvée. Pour ce qui est du reste de cette bande magnétique, c'est loin d'être un Cabinet de Curiosité, les autres segment sont longs et désorganisés, mais l'esprit de la série VHS demeure.
Dans cette suite des sympathiques « V/H/S 1 », « V/H/S 2 » et « V/H/S Viral », films à sketchs horrifiques usant de found footage, trois histoires vaudront vraiment le coup, mais on ne peut s'empêcher d'être un peu déçu par le récit enveloppant l’ensemble qui voit une équipe du S.W.A.T. investir un bâtiment désaffecté susceptible d’abriter une secte dangereuse, manquant cruellement d’originalité venant conclure cette anthologie de façon frustrante. On retiendra ainsi l’histoire de cette reporter partie à la recherche d’un homme-rat dans les égouts, celle avec une jeune femme laissée seule à une veillée funèbre à côté d’un cercueil dont émane des bruits suspects, ainsi que le court indonésien hyper jouissif car mélangeant cyberpunk et trash nous faisant assister à une véritable tuerie sanglante d’un point de vue subjectif !
V/H/S 94 (alias VHS 4) est dans la lignée des deux premiers, c'est-à-dire à dire qu'il offre dans l'ensemble divers courts-métrages assez sympas et flippants, contrairement au troisième volet qui laissait quant à lui plutôt partagé à ce niveau...
Après, il faut certainement adhérer à la réalisation vieillotte, elle a un air de vieille vidéo brouillée ou plus précisément de "VHS" comme son nom l'indique. Cette qualité est quelque peu variée, mais toujours quasi-constante au thème du long-métrage tout au long du film et de ses différents segments.
En ce qui concerne les histoires, comme indiqué plus haut, ce sont divers courts-métrages intéressants, dingues et flippants. Il y en a pour tous les goûts. Je suis sûr que même si elles ne feront peut-être pas toutes l'unanimité, certaines des histoires ressortiront certainement du lot et auront de quoi plaire un minimum aux plus grands amateurs du genre.
Suites de scènette d horreurs compilées dans une pseudo cassette vidéo vhs. On se dit que la qualité vhs permet de masquer la médiocrité des effets spéciaux, tout cela n est pas compensé par une grande qualité des scénarios, on frise assez régulièrement le très mauvais goût.
Ça part dans tous les sens .... 15'000 protagonistes, des effets spéciaux par moments absurdes , on se croirait dans un let's play. Les jeux d acteurs sont plus que moyens. Et même si j'ai bien compris le parti pris, mon Dieu que c'est gore , vous regarderez plus jamais une bolognaise de la même façon après avoir vu ce Film. Ha une dernière chose , je tiens à demander une standing ovation pour le monteur qui a du se retrouver avec des milliers d heures de rush a traiter . Non sérieusement c'est abusé le nombres de plans différents dans le montage final. Je terminerai en avouant que c'est un des rares films que j'ai vu de ma vie où tout le long, je n' ai strictement rien compris à au schmilblik.
La franchise VHS est de retour pour une nouvelle fournée d'histoires bizarres et glauques , après deux premiers épisodes de bonne qualité et Viral qui était assez moyen. Ce nouvel opus est constitué comme d'habitude d'un fil rouge et de quatre segments réalisés par différents auteurs. Holy Hell : une équipe du SWAT raid un entrepôt et découvre - ô surprise - d'étranges cassettes. Ce segment qui relie le tout est plutôt pas mal car assez cohérent dans le lore VHS. Storm Drain : une reporter descend dans les égouts afin d'enquêter sur la légende d'une supposée créature. Pas mal , bonne ambiance dans les égouts mais fin un peu abrupt. The Empty Wake : une femme est chargée de veiller sur un cercueil durant la nuit. Moyen et assez prévisible, bref rien d'original. The Subject : un savant fou à pour objectif de créer des hybrides humains/robots... Inutile d'en dire plus car ce segment est réussi, pas étonnant de la part du réalisateur de Safe Heaven. Le meilleur de cet opus. Terror : un groupe de suprématiste prépare un attentat avec l'aide d'un mystérieux prisonnier. Sketch pas terrible, loin d'être mémorable. Le constat global est donc moyen , à peu près du même acabit de Viral : VHS 94 conviendra tout de même aux adeptes du style , mais il faudra élever le niveau si il y a suite.
ne perdez pas votre temps avec ce film de merde si je pouvais retourner dans le passé pour m'éviter ce supplice je l'aurais fais et si jpouvais mettre 0 étoiles je l'aurais fait!!!!