Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Du gore à la comédie romantique en passant par la comédie et le cinéma d’action, Vincent doit mourir jongle avec toute une gamme d’émotions, et c’est pour cela qu’on l’aime.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Un ovni réjouissant dans le paysage du cinéma français, et l’émergence d’un réalisateur à la vision acérée, qui réussit l’alliance des tonalités et la maîtrise de séquences hallucinantes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Vincent doit mourir a certains défauts des premiers films. Mais in fine, ses grandes qualités l’emportent.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le réalisateur Stéphan Castang signe un premier film au romantisme déjanté. Il jette au milieu du chaos Karim Leklou, attaqué par une horde d’humains hargneux, dans un déchaînement de violence absurde.
Filmsactu
par Olivier Portnoi
A la fois une réflexion sur la violence gratuite qui s'empare de notre société et un pur bonheur de cinéma, un peu comme si George Romero s'était pris d'envie de tourner une comédie romantique dans l'univers de ses zombies.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Le tour de force de "Vincent doit mourir" est dans son postulat de départ : ne rien expliquer.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Clément Deleschaud
Le film vire sans crier gare au cauchemar des fables de Shyamalan, au survival, à la comédie gore... et à la romance désabusée. Cette multiplication de points de vues fait évoluer le film sur une ligne de crête permanente, à la recherche sans cesse de points d'incandescence où la fiction consumée peut renaître sous de nouveaux avatars.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Le premier long métrage de Stéphan Castang plonge le très bon Karim Leklou dans un récit de survie empruntant joyeusement, malgré ses faiblesses, les codes du cinéma de genre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La force de cette dystopie fantastique, sans effets spéciaux, se trouve décuplée par son ancrage dans le réel. Archétype de la norme, Vincent va vers la marge pour rester en vie. C’est dans ces lisières qu’il rencontre une modeste serveuse, Margaux et, même sur le qui-vive, se réinvente auprès d’elle une humanité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Mélanger l’horreur et l’humour, on connaît. Mêler l’horreur et l’amour, c’est moins commun. Alors, au bout de cette Apocalypse harassante, burlesque, zinzin, la comédie de fin du monde s’échappe du récit anxieux pour respirer l’air tranquille des sentiments partagés.
Le Monde
par Cl. F.
L’une des forces du film réside dans la mutation du placide Karim Leklou en brute tout à la fois sauvage et dérisoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Malgré quelques longueurs, le réalisateur Stéphan Castang signe un premier film original et extrêmement intense.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un film fantastique français apocalyptique, aussi brutal qu'original.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Olivier Lamm
Toutes les métaphores sont opérantes, Karim Leklou est excellent, le scénario prend un malin plaisir à briser les tabous (pour survivre, Vincent doit porter des coups à femmes, et enfants) et "Vincent doit mourir" devrait être reçu avec les égards qu’il mérite chez les publics de comédie autant que du nouveau cinéma d’horreur français.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
Pour la performance de Karim Leklou et pour la somme de ses nombreuses qualités, "Vincent doit mourir" mérite estime et louange. Grâce soit rendue à son exploration d'un ailleurs cinématographique foutraque, sensoriel et évocateur [...].
Ouest France
par Thierry Cheze
Une nouvelle composition magistrale de Karim Leklou.
Première
par Thomas Baurez
La mise en scène opère constamment un rapport direct aux choses, consciente que c’est du réalisme le plus pur que peut naître un fantastique viscéral.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Une fable contemporaine, audacieuse, sur les périls de la solitude. Kafka chez les bobos.
Télérama
par Jérémie Couston
Stéphan Castang connaît ses classiques : la scène du supermarché cite Zombie, de George A. Romero, et la fin évoque Fog, de John Carpenter. Mais le réalisateur prend un malin plaisir à ne pas se cantonner à un seul genre, thriller paranoïaque ou film de survie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Ce survival du quotidien met brillamment en scène la défiance interindividuelle et cette violence sourde que l'on sent prête à exploser.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Le cinéaste parvient assurément à créer un climat d’incertitude et d’angoisse, décrivant un monde contaminé par une hyperviolence gratuite, qui détruit l’essence même de la vie en communauté.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Dommage […] que Castang teinte peu à peu son récit d’une explication quant à la violence que subit d'abord son personnage puis, peu à peu, l’ensemble de la population, mettant en scène un chaos généralisé qui semble oublier la belle panique nonsensique des débuts pour mieux entrer dans une démarche analytique presque trop rassurante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Un concept qui tape fort, ça fait du bien, même si l'idée du film est plus forte que le film lui-même. "Vincent doit mourir" louvoie et tourne vite un peu en rond, heureusement qu'il n'oublie pas au passage d'offrir quelques séquences marquantes et des acteurs au top.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par S. G.
La bouille hébétée de Karim Leklou fait merveille et, même si le film perd de son mordant un bon quart d’heure, il reprend du nerf avec la rencontre d’une serveuse de bar routier (Vimala Pons). Séquences de chaos, scènes d’amour, Castang impose son habileté dans ce premier long-métrage où il revisite le film de zombie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un scénario bien rythmé et plein d’inventivité qui se perd malheureusement dans la seconde partie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce récit d’anticipation paranoïaque reprend le concept de l’apocalypse zombie avec des citoyens lambda devenant subitement enragés, la métaphore de notre société contaminée par la violence et le repli sur soi.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Passé un début prometteur, ce premier long, qui parle de marginalité, retient ses coups. À vouloir se conformer aux codes du genre, il peine à faire éclore ses idées.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Récit cauchemardesque mais pas que (l’amour peut encore faire des miracles), exercice de style paranoïaque digne d’un Shyamalan en pleine forme, voilà une parabole terrifiante sur la France de 2023, sa violence contenue qui ne demande qu’à exploser et se répandre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Le suspense, ultra efficace, et la parabole, horrifique, mais non dénuée d’humour, sur la violence de notre époque, exacerbée par une actualité anxiogène, finissent par nous embarquer.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Vincent doit mourir est un premier film inclassable, très imprégné de l’esprit de séries sur les zombies où, une fois de plus, Karim Leklou excelle dans ce rôle d’une victime débonnaire qui lutte pour se protéger et prendre soin de ses proches.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Valentine Guégan
En courant après son allégorie, le film néglige les articulations de son récit, qui finit par ne plus reposer que sur une suite de passages en force.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Au cœur de son récit, le film se situe à l’embranchement de plusieurs pistes prometteuses, il choisit de s’aventurer vers la plus attendue (l’histoire d’amour) de façon extrêmement consensuelle. “Vincent doit mourir” ne fait pas de choix, contourne la question que porte pourtant son enjeu initial et ne parvient à explorer aucune forme véritable, qu’elle soit esthétique ou politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Du gore à la comédie romantique en passant par la comédie et le cinéma d’action, Vincent doit mourir jongle avec toute une gamme d’émotions, et c’est pour cela qu’on l’aime.
Bande à part
Un ovni réjouissant dans le paysage du cinéma français, et l’émergence d’un réalisateur à la vision acérée, qui réussit l’alliance des tonalités et la maîtrise de séquences hallucinantes.
CinemaTeaser
Vincent doit mourir a certains défauts des premiers films. Mais in fine, ses grandes qualités l’emportent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le réalisateur Stéphan Castang signe un premier film au romantisme déjanté. Il jette au milieu du chaos Karim Leklou, attaqué par une horde d’humains hargneux, dans un déchaînement de violence absurde.
Filmsactu
A la fois une réflexion sur la violence gratuite qui s'empare de notre société et un pur bonheur de cinéma, un peu comme si George Romero s'était pris d'envie de tourner une comédie romantique dans l'univers de ses zombies.
Franceinfo Culture
Le tour de force de "Vincent doit mourir" est dans son postulat de départ : ne rien expliquer.
GQ
Le film vire sans crier gare au cauchemar des fables de Shyamalan, au survival, à la comédie gore... et à la romance désabusée. Cette multiplication de points de vues fait évoluer le film sur une ligne de crête permanente, à la recherche sans cesse de points d'incandescence où la fiction consumée peut renaître sous de nouveaux avatars.
L'Humanité
Le premier long métrage de Stéphan Castang plonge le très bon Karim Leklou dans un récit de survie empruntant joyeusement, malgré ses faiblesses, les codes du cinéma de genre.
La Croix
La force de cette dystopie fantastique, sans effets spéciaux, se trouve décuplée par son ancrage dans le réel. Archétype de la norme, Vincent va vers la marge pour rester en vie. C’est dans ces lisières qu’il rencontre une modeste serveuse, Margaux et, même sur le qui-vive, se réinvente auprès d’elle une humanité.
Le Dauphiné Libéré
Mélanger l’horreur et l’humour, on connaît. Mêler l’horreur et l’amour, c’est moins commun. Alors, au bout de cette Apocalypse harassante, burlesque, zinzin, la comédie de fin du monde s’échappe du récit anxieux pour respirer l’air tranquille des sentiments partagés.
Le Monde
L’une des forces du film réside dans la mutation du placide Karim Leklou en brute tout à la fois sauvage et dérisoire.
Le Parisien
Malgré quelques longueurs, le réalisateur Stéphan Castang signe un premier film original et extrêmement intense.
Les Echos
Un film fantastique français apocalyptique, aussi brutal qu'original.
Libération
Toutes les métaphores sont opérantes, Karim Leklou est excellent, le scénario prend un malin plaisir à briser les tabous (pour survivre, Vincent doit porter des coups à femmes, et enfants) et "Vincent doit mourir" devrait être reçu avec les égards qu’il mérite chez les publics de comédie autant que du nouveau cinéma d’horreur français.
Mad Movies
Pour la performance de Karim Leklou et pour la somme de ses nombreuses qualités, "Vincent doit mourir" mérite estime et louange. Grâce soit rendue à son exploration d'un ailleurs cinématographique foutraque, sensoriel et évocateur [...].
Ouest France
Une nouvelle composition magistrale de Karim Leklou.
Première
La mise en scène opère constamment un rapport direct aux choses, consciente que c’est du réalisme le plus pur que peut naître un fantastique viscéral.
Sud Ouest
Une fable contemporaine, audacieuse, sur les périls de la solitude. Kafka chez les bobos.
Télérama
Stéphan Castang connaît ses classiques : la scène du supermarché cite Zombie, de George A. Romero, et la fin évoque Fog, de John Carpenter. Mais le réalisateur prend un malin plaisir à ne pas se cantonner à un seul genre, thriller paranoïaque ou film de survie.
Voici
Ce survival du quotidien met brillamment en scène la défiance interindividuelle et cette violence sourde que l'on sent prête à exploser.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste parvient assurément à créer un climat d’incertitude et d’angoisse, décrivant un monde contaminé par une hyperviolence gratuite, qui détruit l’essence même de la vie en communauté.
Culturopoing.com
Dommage […] que Castang teinte peu à peu son récit d’une explication quant à la violence que subit d'abord son personnage puis, peu à peu, l’ensemble de la population, mettant en scène un chaos généralisé qui semble oublier la belle panique nonsensique des débuts pour mieux entrer dans une démarche analytique presque trop rassurante.
Ecran Large
Un concept qui tape fort, ça fait du bien, même si l'idée du film est plus forte que le film lui-même. "Vincent doit mourir" louvoie et tourne vite un peu en rond, heureusement qu'il n'oublie pas au passage d'offrir quelques séquences marquantes et des acteurs au top.
L'Obs
La bouille hébétée de Karim Leklou fait merveille et, même si le film perd de son mordant un bon quart d’heure, il reprend du nerf avec la rencontre d’une serveuse de bar routier (Vimala Pons). Séquences de chaos, scènes d’amour, Castang impose son habileté dans ce premier long-métrage où il revisite le film de zombie.
Le Figaro
Un scénario bien rythmé et plein d’inventivité qui se perd malheureusement dans la seconde partie.
Le Journal du Dimanche
Ce récit d’anticipation paranoïaque reprend le concept de l’apocalypse zombie avec des citoyens lambda devenant subitement enragés, la métaphore de notre société contaminée par la violence et le repli sur soi.
Les Fiches du Cinéma
Passé un début prometteur, ce premier long, qui parle de marginalité, retient ses coups. À vouloir se conformer aux codes du genre, il peine à faire éclore ses idées.
Paris Match
Récit cauchemardesque mais pas que (l’amour peut encore faire des miracles), exercice de style paranoïaque digne d’un Shyamalan en pleine forme, voilà une parabole terrifiante sur la France de 2023, sa violence contenue qui ne demande qu’à exploser et se répandre.
Télé 7 Jours
Le suspense, ultra efficace, et la parabole, horrifique, mais non dénuée d’humour, sur la violence de notre époque, exacerbée par une actualité anxiogène, finissent par nous embarquer.
aVoir-aLire.com
Vincent doit mourir est un premier film inclassable, très imprégné de l’esprit de séries sur les zombies où, une fois de plus, Karim Leklou excelle dans ce rôle d’une victime débonnaire qui lutte pour se protéger et prendre soin de ses proches.
Critikat.com
En courant après son allégorie, le film néglige les articulations de son récit, qui finit par ne plus reposer que sur une suite de passages en force.
Les Inrockuptibles
Au cœur de son récit, le film se situe à l’embranchement de plusieurs pistes prometteuses, il choisit de s’aventurer vers la plus attendue (l’histoire d’amour) de façon extrêmement consensuelle. “Vincent doit mourir” ne fait pas de choix, contourne la question que porte pourtant son enjeu initial et ne parvient à explorer aucune forme véritable, qu’elle soit esthétique ou politique.