Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
(...) on retouve le plaisir immédiat d'être au cinéma, d'aimer un film de genre qui en comporte plusieurs. Du gothique au polar, de l'ironie à la fragilité.
Parfois, il y a quelques gimmicks de mode un brin voyants (...). Mettons ça sur le plaisir du gamin de jouer avec les nouvelles bécanes du cinoche. Rien de quoi gâter le fruit noir, que ce soit dans la totalité du casting, la tenue du tempo, la lumière (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Ça n'a aucun autre intérêt que celui de vous faire passer deux heures sans en avoir l'air. Mais par rapport aux Rivières pourpres, à peu près dans le même créneau, Les Morsures de l'aube est, quand même, il nous semble, nettement plus réussi
Si la première partie est bien vue, plutôt efficace, le rythme se ralentit dans la seconde, victime d'une nette tendance au démonstratif. On est à demi mordu.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cette adaptation du roman de Tonino Benaquista se cherche sans jamais se trouver, entre film de vampires qui n'ose tâter du genre, et radiographie du monde la nuit, sur laquelle il n'a rien à dire.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
(...) une succession de scènes - invariablement laides et bruyantes - qui ne produisent rien, ni humour, ni angoisse, ni même les rires consternés des spectateurs, trop abattus par la profonde bêtise de l'objet.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) une balade nosturne dans le Paris des boîtes branchées sur fond d'intrigue criminelle ; une vague histoire de vampirisme et d'inceste mal assumé ; et surtout un film déplaisant et prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site Positif
D'emblée, ça ne mord pas, ça coince : cette façon désinvolte de célébrer la nuit en voix off a un goût de déjà-vu. La suite sera à l'avenant, malgré quelques touches ostentatoires de nouveauté, malgré le cuir et les canines.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Fluctuat.net
De Caunes prouve qu'il a les épaules suffisamment solides pour passer derrière la caméra. On tire son chapeau à cette féerie moderne et divertissante.
Le Figaro Magazine
(...) on retouve le plaisir immédiat d'être au cinéma, d'aimer un film de genre qui en comporte plusieurs. Du gothique au polar, de l'ironie à la fragilité.
MCinéma.com
Sans donner de leçons prétentieuses, de Caunes signe un premier film construit, stylisé, original. Un brillant et artistique divertissement.
Première
Parfois, il y a quelques gimmicks de mode un brin voyants (...). Mettons ça sur le plaisir du gamin de jouer avec les nouvelles bécanes du cinoche. Rien de quoi gâter le fruit noir, que ce soit dans la totalité du casting, la tenue du tempo, la lumière (...)
Aden
Ça n'a aucun autre intérêt que celui de vous faire passer deux heures sans en avoir l'air. Mais par rapport aux Rivières pourpres, à peu près dans le même créneau, Les Morsures de l'aube est, quand même, il nous semble, nettement plus réussi
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Si la première partie est bien vue, plutôt efficace, le rythme se ralentit dans la seconde, victime d'une nette tendance au démonstratif. On est à demi mordu.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Les Morsures de l'aube est un train électrique climatisé et luxueux dans lequel on s'installe avec la certitude qu'on ne quittera jamais les rails.
Repérages
Cette adaptation du roman de Tonino Benaquista se cherche sans jamais se trouver, entre film de vampires qui n'ose tâter du genre, et radiographie du monde la nuit, sur laquelle il n'a rien à dire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
(...) une succession de scènes - invariablement laides et bruyantes - qui ne produisent rien, ni humour, ni angoisse, ni même les rires consternés des spectateurs, trop abattus par la profonde bêtise de l'objet.
FHM
(...) une série Z polluée de copinage Canal + et proche de ces pubs pour champagne qui faisaient rêver dans les années 80.
L'Humanité
Cela ressemble à un clip de Jeanne Mas émaillé de mots d'auteur à la Marcel Duhamel ou à la Michel Audiard.
L'Obs
Le premier film d'Antoine de Caunes appartient au genre mélo-fantastico-comico-polardeux et se veut postmoderne. Déception.
Les Inrockuptibles
(...) un produit si laborieux qu'il en dévient gênant.
Positif
(...) une balade nosturne dans le Paris des boîtes branchées sur fond d'intrigue criminelle ; une vague histoire de vampirisme et d'inceste mal assumé ; et surtout un film déplaisant et prétentieux.
Synopsis
Le film balance de moins en moins harmonieusement entre l'humour et l'horreur et finit par lasser à force de ne pas choisir.
Télérama
D'emblée, ça ne mord pas, ça coince : cette façon désinvolte de célébrer la nuit en voix off a un goût de déjà-vu. La suite sera à l'avenant, malgré quelques touches ostentatoires de nouveauté, malgré le cuir et les canines.