Note moyenne
3,0
14 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro Magazine
C'est drôle, tonique, vertigineux et aussi très convenu (...), mais on s'en fiche bien (...)
Le Journal du Dimanche
C'est juste du cinéma, avec le plaisir que le cinéma procure quand il en met plein la vue sans craindre l'invraisemblable. Amusez-vous.
Cinopsis.com
Côté action, avouons que si (...) la plupart des scènes ont été tournées sans trucages, il y a quelques moments impressionnants. Dommage que Zeitoun découpe tellement ses scènes qu'il en évacue tout le potentiel spectaculaire.
Le Parisien
(...) un de ces contes d'aujourd'hui formatés pour la jeunesse. Il aurait été conçu par ordinateur qu'on n'en serait pas surpris. Il n'attend plus que le succès, prévisible, pour lequel il a été fabriqué.
Libération
Les Yamakasi sont agiles, sexy et bien habillés (...). Néanmoins, cette idéalisation a un prix (...) : une manière de caresser le public visé (...) dans le sens du poil et de répartir les méchants et les gentils suivant une ligne qui ne bouge jamais.
MCinéma.com
Banale comédie d'action, Yamakasi devrait ravir les fans de Taxi dont il reprend bon nombre d'éléments. Dommage que ses intrépides héros soient desservis par un scénario léger et manichéen.
Positif
(...) le film offre à son public ce qu'il attend : un scénario exsangue, d'une naïveté abyssale, illustré par une caméra nerveuse qui n'est n'est convaincante que lors des scènes mouvementées.
Première
(...) léger, distrayant, vif, et surtout sans conséquences.
Aden
Epatant et spectaculaire. Mais ça ne fait pas un film. Vite fait mal fait, on a écrit un squelette d'histoire (...)
Chronic'art.com
(...) au lieu d'exploiter intelligemment l'incroyable agilité du groupe, Besson et ses sbires se contentent de l'inscrire au cœur d'un récit à deux balles qui pue la redite.
Télérama
L'aventure tourne au jeu de massacre manichéen et démago. (...) Difficile de se contenter des cascades, aussi bluffantes soient-elles, des Yamakasi....
Urbuz
Ce spectacle navrant, qui ne rend pas justice à la démarche autrement plus intelligente des Yamakasi, porte une marque indélébile qui ne trompe pas : celle de Luc Besson, toujours prompt à abîmer ce qui est beau à des fins purement démagogico-mercantiles.