Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le film incite à tenter, à bousculer. Profs, parents, tous vivent dans cette « cour des miracles » qui veut dire à la fois ghetto mais aussi scène de théâtre où les antagonismes s’affrontent, et lieu de vrais et petits bonheurs, miracles quotidiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Signée par une ex-professeure des écoles et un fidèle du circuit associatif, cette comédie citoyenne, modeste et chaleureuse prône la mixité, même entre acteurs (l’instagrammeuse Anaïde Rozam, le rappeur Disiz la Peste, Gilbert Melki), et fait son job à défaut de miracles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Sur le ton de la comédie, le film évoque avec justesse l’érosion de la mixité sociale dans l’éducation nationale et les efforts déployés par les enseignants d’une école en difficulté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Un sujet pertinent (la mixité sociale) et une belle distribution (Rachida Brakni, Gilbert Melki, Sébastien Chassagne, Raphaël Quenard), pour un premier film en forme de comédie sociale moins lénifiante qu'on ne pourrait le croire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
La fiction arrive véritablement ici, lorsque Zahia et une jeune institutrice écolo (Anaïde Rozam) se lancent tête baissée dans un projet d’« école verte » pour concurrencer leur rutilant concurrent… A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dans « La Cour des miracles », le duo de réalisateurs Hakim Zouhani et Carine May, originaires d'Aubervilliers, décrit avec un sourire amer les réalités d’une école primaire de Seine-Saint-Denis. Un film offensif et foncièrement sympathique qui mérite que l'on oublie ses maladresses formelles.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Une comédie douce-amère qui déploie des trésors de tendresse et d’humour pour se pencher, sans se prendre au sérieux, sur le sort d’une Éducation nationale malade.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Si, comme son titre l’indique, La Cour des miracles n’est pas dépourvu d’ironie, il perd de son mordant à mesure qu’il progresse aux côtés de Marion, dont l’optimisme parvient à contaminer les plus cyniques.
Tout ceci donne naissance à une comédie attachante, proche de La Vie scolaire, mais plus occupée à délivrer un message qu’à imaginer un scénario sortant des sentiers balisés et attendus.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Une gentille fable.
Le Parisien
Le film incite à tenter, à bousculer. Profs, parents, tous vivent dans cette « cour des miracles » qui veut dire à la fois ghetto mais aussi scène de théâtre où les antagonismes s’affrontent, et lieu de vrais et petits bonheurs, miracles quotidiens.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie drôle et finement politique.
L'Obs
Signée par une ex-professeure des écoles et un fidèle du circuit associatif, cette comédie citoyenne, modeste et chaleureuse prône la mixité, même entre acteurs (l’instagrammeuse Anaïde Rozam, le rappeur Disiz la Peste, Gilbert Melki), et fait son job à défaut de miracles.
La Croix
Sur le ton de la comédie, le film évoque avec justesse l’érosion de la mixité sociale dans l’éducation nationale et les efforts déployés par les enseignants d’une école en difficulté.
Le Figaro
Un sujet pertinent (la mixité sociale) et une belle distribution (Rachida Brakni, Gilbert Melki, Sébastien Chassagne, Raphaël Quenard), pour un premier film en forme de comédie sociale moins lénifiante qu'on ne pourrait le croire.
Le Journal du Dimanche
Classique dans sa forme, ce premier film plein d’espoirs s’appuie sur une galerie de personnages hauts en couleur.
Le Monde
La fiction arrive véritablement ici, lorsque Zahia et une jeune institutrice écolo (Anaïde Rozam) se lancent tête baissée dans un projet d’« école verte » pour concurrencer leur rutilant concurrent… A voir.
Les Echos
Dans « La Cour des miracles », le duo de réalisateurs Hakim Zouhani et Carine May, originaires d'Aubervilliers, décrit avec un sourire amer les réalités d’une école primaire de Seine-Saint-Denis. Un film offensif et foncièrement sympathique qui mérite que l'on oublie ses maladresses formelles.
Positif
La Cour des miracles évite au moins les clichés vus dans d’autres films sur le même sujet.
Télérama
Un film enjoué qui vise juste à propos de cette satanée carte scolaire devenue un fantasme d’intégration
aVoir-aLire.com
Une comédie douce-amère qui déploie des trésors de tendresse et d’humour pour se pencher, sans se prendre au sérieux, sur le sort d’une Éducation nationale malade.
Cahiers du Cinéma
Si, comme son titre l’indique, La Cour des miracles n’est pas dépourvu d’ironie, il perd de son mordant à mesure qu’il progresse aux côtés de Marion, dont l’optimisme parvient à contaminer les plus cyniques.
Première
Tout ceci donne naissance à une comédie attachante, proche de La Vie scolaire, mais plus occupée à délivrer un message qu’à imaginer un scénario sortant des sentiers balisés et attendus.
La Voix du Nord
Un sujet d’actualité, mais un traitement superficiel et une réalisation plan-plan.