Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michel Guilloux
A sortir des sentiers battus, Jean-Luc Gaget revisite là un genre fantastique sans effet spécial ni recours à la grosse artillerie de la technique et parvient à un résultat des plus singuliers, si ce n'est original, dans le paysage actuel.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par G.L.
(...) Jean-Luc Gaget sait créer une atmosphère noire, et l'humour discret qui va avec.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
MCinéma.com
par Guillaume Tion
(...) une grande bouffée d'air frais dans un système sclérosé, d'une petite porte ouverte sur l'expérimentation et, peut-être, le futur d'un commun narratif usé jusqu'à la corde.
Chronic'art.com
par Dimitri Larcher
(...) J'ai tué Clémence Acéra tente de créer un univers où l'absurde régnerait en maître. Malheureusement, il ne suffit pas de brouiller les pistes pour faire naître l'étrange (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro Magazine
par Nicolas Rey
Au détour de ce film inégal et charmant, il faut noter l'apparition de Camille Japy en médecin légiste extravagante. Impossible de ne pas aimer cette précieuse comédienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) c'est moins l'entretien de ce mystère qui dicte la mise en scène du film que la volonté de traiter une histoire de rupture amoureuse sur un ton délibérément décalé, à mi-chemin du polar et de la fable absurde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par n.c.
Typiquement le genre de travail bien fait qui laisse toutefois le spectateur à la porte. Pourquoi ce qui fonctionnait dans « Sous le sable » ne marche pas ici ? Peut-être parce qu'un excès de souci du travail bien fait l'emporte sur une atmosphère.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) les péripéties s'enchaînent mais rien n'est grave, et le spectateur se désintéresse progressivement malgré le talent des techniciens et des comédiens. Une exception, mais de taille : Catherine Mouchet, pur bloc d'altérité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Il n'est pas sûr que le projet esthétique qui s'y déploie nous intéresse vraiment mais projet il y a, chose moins courante qu'on ne le croit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Jean-Jacques Bernard
Il (Jean-Luc Gaget) a une jolie maîtrise de l'outil (cadres, tempo, jeu d'acteurs) et, à chaque plan, le sens du cinéma. (...) Le pépin, c'est que nous, on n'entre jamais vraiment dans cette histoire qui se cherche.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
Dans la salle, le spectateur se demande ce qui le pousse à rester jusqu'au bout de l'heure et demie de projection et il cherche. Au bout d'une heure trentecinq, il n'y a plus rien à chercher.
Ciné Live
par Julien Vernor
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
par Noël Herpe
(...) une esthétique de la misanthropie qui atteint parfois les limites du supportable, et qui (...) achève d'accuser les limites d'un cinéma français en manque d'étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Repérages
par Alexis Eder
(...) une tentative ratée de polar surréaliste, son scénario s'enlisant dans une étrangeté artificielle.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Télérama
par Louis Guichard
(...) un film noir uniformément bizarre (...), rempli de situations, d'événements et de plans saugrenus. Mais pour être à ce point affichée, cultivée (...), l'étrangeté vire paradoxalement à la neutralité indifférente.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
A sortir des sentiers battus, Jean-Luc Gaget revisite là un genre fantastique sans effet spécial ni recours à la grosse artillerie de la technique et parvient à un résultat des plus singuliers, si ce n'est original, dans le paysage actuel.
L'Obs
(...) Jean-Luc Gaget sait créer une atmosphère noire, et l'humour discret qui va avec.
MCinéma.com
(...) une grande bouffée d'air frais dans un système sclérosé, d'une petite porte ouverte sur l'expérimentation et, peut-être, le futur d'un commun narratif usé jusqu'à la corde.
Chronic'art.com
(...) J'ai tué Clémence Acéra tente de créer un univers où l'absurde régnerait en maître. Malheureusement, il ne suffit pas de brouiller les pistes pour faire naître l'étrange (...)
Le Figaro Magazine
Au détour de ce film inégal et charmant, il faut noter l'apparition de Camille Japy en médecin légiste extravagante. Impossible de ne pas aimer cette précieuse comédienne.
Le Monde
(...) c'est moins l'entretien de ce mystère qui dicte la mise en scène du film que la volonté de traiter une histoire de rupture amoureuse sur un ton délibérément décalé, à mi-chemin du polar et de la fable absurde.
Le Parisien
Typiquement le genre de travail bien fait qui laisse toutefois le spectateur à la porte. Pourquoi ce qui fonctionnait dans « Sous le sable » ne marche pas ici ? Peut-être parce qu'un excès de souci du travail bien fait l'emporte sur une atmosphère.
Les Inrockuptibles
(...) les péripéties s'enchaînent mais rien n'est grave, et le spectateur se désintéresse progressivement malgré le talent des techniciens et des comédiens. Une exception, mais de taille : Catherine Mouchet, pur bloc d'altérité.
Libération
Il n'est pas sûr que le projet esthétique qui s'y déploie nous intéresse vraiment mais projet il y a, chose moins courante qu'on ne le croit.
Première
Il (Jean-Luc Gaget) a une jolie maîtrise de l'outil (cadres, tempo, jeu d'acteurs) et, à chaque plan, le sens du cinéma. (...) Le pépin, c'est que nous, on n'entre jamais vraiment dans cette histoire qui se cherche.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Dans la salle, le spectateur se demande ce qui le pousse à rester jusqu'au bout de l'heure et demie de projection et il cherche. Au bout d'une heure trentecinq, il n'y a plus rien à chercher.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
(...) une esthétique de la misanthropie qui atteint parfois les limites du supportable, et qui (...) achève d'accuser les limites d'un cinéma français en manque d'étrangeté.
Repérages
(...) une tentative ratée de polar surréaliste, son scénario s'enlisant dans une étrangeté artificielle.
Télérama
(...) un film noir uniformément bizarre (...), rempli de situations, d'événements et de plans saugrenus. Mais pour être à ce point affichée, cultivée (...), l'étrangeté vire paradoxalement à la neutralité indifférente.