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Votre avis sur Winter Break ?
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Un moment hors du temps. Un superbe film et des acteurs magnifiques. Allez-y vite vite! Je retourne le voir de nouveau asap. Un vrai bon film comme il n’en existe plus beaucoup
Un vrai cadeau de Noël que nous offre Alexandre Payne. Il sent bon le sapin de notre enfance Loin du tumulte des temps qui courent. le réalisateur nous plonge dans l'entre-soi académique d'un collège pour rejetons mâles de la bonne société de la côte Est des États-Unis, il nous convie à un huis clos de winter break entre trois personnages bien campés, le professeur grognon, l'adolescent rebelle et la cantinière meurtrie par la mort de son fils. Par petites touches, c'est toute l'humanité de chacun avec les drames intimes qui l'ont façonné qui va se révéler au fil de leurs interactions et confirmer que tout était déjà bien écrit par les philosophes grecs . Un film tout en finesse et en douceur, voilà de quoi en sortir et feel good.
Très beau film de fin d'année. Scénario solide, performance d'acteur, mise en scène efficace. Un bon film américain, classique.
J'ai adoré ce film. Une esthétique très réussie et des personnages extrêmement touchants. Winter break ne tombe jamais dans la facilité et nous fait autant pleurer que rire.
Certaines critiques peuvent laisser penser que ce film est plus qu'un film traditionnel de Noël. Ça l'est, mais on reste quand même sur quelque chose de très classique et attendu. Parfois un peu long, mais tous les acteurs sont excellents, tout comme les décors et la plongée dans les 70s.
Très joli film, basé sur des personnages authentiques, des "laissés pour compte" qui se retrouvent seuls sur un campus pendant les fêtes de Noel et qui vont s'entraider. Chacun a eu son lot d'épreuves et résiste comme il peut. Des dialogues intelligents, des moments plein de tendresse et de vérité. Ca fait du bien des s'éloigner de tous ces films débiles qu'Hollywood nous sert à longueur d'année... Loin des explosions, des mecs armés jusqu'au dent et des courses poursuites en voiture. Enfin, la vraie vie nous apparait dans ce film intimiste, comme une bouffée d'oxygène. MERCI pour ce moment.
Mon coup de cœur de l'année! Film intelligent, drôle, sensible, porté par des acteurs extraordinaires et pleins de justesse. Une pépite sortie il y a 2 semaines en France et qui ne passe que dans les cinémas de quartiers...Dommage pour tous ceux qui n'auront pas la surprise de le découvrir.
Quelle belle surprise, quelle poésie, quelle tendresse, quel humour ! Ce film est rejouissant. La photographie est maîtrisée, les acteurs se regalent, le scénario est implacable ! Une grande bouffée d'air frais sur le cinéma de ce debut d'année !
Je pensais un peu m'ennuyer avec ce film mais pas du tout ! On a passé un super moment, un film drôle et émouvant, une belle histoire !
Très bon film sensible, émouvant et drôle. Un film intelligent qui nous fait du bien et nous élève. les acteurs sont très bons. La mise en scène est réussie. Bravo l'artiste !
Alexander Payne, dès les premières images, nous plonge au début des 70’s ; l’image nous rappelle très vite les vieux films américains ayant marqué mon enfance. Son histoire se déroule à cette même époque dans le pensionnat d’un prestigieux lycée. Quelques élèves ne rejoignant pas leurs parents pour les fêtes de fin d’année vont devoir y vivre avec un professeur lui aussi sans famille désigné pour les surveiller et la cuisinière, seule aussi après la perte de son fils unique à la guerre. Très vite, ils vont finir par se retrouver uniquement à trois, un élève et les deux adultes pour une dizaine de jours. Très vite, pas vraiment, à quoi bon ces trente minutes de prologue pour démarrer réellement l’histoire autour de ces trois personnages qui vont vivre un moment unique dans un moment particulier de l’année, les fêtes de Noël. C’est bien à ce moment-là que démarre un conte de Noël ; mais de qualité, loin de toute mièvrerie ou de romantisme neuneu. Il fait l’éloge de manière intelligente sur ce moment de partage autour de ces trois êtres isolés aux fêlures profondes. Et c’est un des charmes d’un film qui penche plus vers la comédie douce-amère que vers la sucrerie chargée de Noël. Et il fait donc du bien, de manière intelligente même si le tout n’est pas très original et a déjà été fait ; c’est un regard nostalgique aussi sur l’âge d’or du cinéma hollywoodien. Il m’a rappelé aussi et m’a surtout donné envie de revoir « Le cercle des poètes disparus ». Le choix du trio de comédien est aussi une grande réussite avec un jeune Dominic Sessa aux regards acérés et profonds que l’on est appelé à revoir. J’ai aussi kiffé la B.O. du film, une merveille avec un joli Cat Stevens au milieu.
Un beau film à voir en famille au moment de Noël ; entre adultes ou avec de grands ados.
En aparté: Alexander Payne a été inspiré par "Merlusse" de Pagnol pour écrire son film.
TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
Un beau film à voir en famille au moment de Noël ; entre adultes ou avec de grands ados.
En aparté: Alexander Payne a été inspiré par "Merlusse" de Pagnol pour écrire son film.
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Un agréable conte de Noël dans cette Amérique des seventy's qui met en scène des personnages cabossés par la vie. Les acteurs sont très justes pour nous permettre de sourire et de nous émouvoir quand il le faut. Une excellente bande son que les boomers apprécieront. Bref, un bon moment à passer dans son canapé mais pas forcément au cinéma, surtout quand il neige...
Rien de tel comme période d'après réveillon pour aller voir ce break hivernal, dans le cadre, pas original, des chics collèges américains, portes d'entrée des futures élites.
Après un début qui lambine et manque de point d'accroche, le scénario monte heureusement en puissance, organisant l'affrontement de trois personnalités atypiques, pour leur aller creuser en profondeur leurs fêlures récentes ou anciennes pour nous emmener subtilement vers une catharsis finale, qui rappelle de loin Le cercle des poètes disparus.
L'actrice noire D.J. Randolph est la plus convaincante des trois dans le rôle de la cuisinière ayant perdu récemment son fils au Vietnam. Nous sommes en 70, alors que Dustin Hoffman triomphe dans Little big man.
Le film Nebraska reste un ton au-dessus dans la filmo de Payne.
cinema vo- janvier 2024
Après un début qui lambine et manque de point d'accroche, le scénario monte heureusement en puissance, organisant l'affrontement de trois personnalités atypiques, pour leur aller creuser en profondeur leurs fêlures récentes ou anciennes pour nous emmener subtilement vers une catharsis finale, qui rappelle de loin Le cercle des poètes disparus.
L'actrice noire D.J. Randolph est la plus convaincante des trois dans le rôle de la cuisinière ayant perdu récemment son fils au Vietnam. Nous sommes en 70, alors que Dustin Hoffman triomphe dans Little big man.
Le film Nebraska reste un ton au-dessus dans la filmo de Payne.
cinema vo- janvier 2024
Une belle photo nostalgique des années 70, une mélancolie joyeuse. Un côté Cercle des poètes disparus , une tendresse et un regard sur l'enseignement même si il y a un peu de déjà vu on y retrouve un beau film avec une ambiance singulière
Un bon classique huis clos : unité de lieu, unité de temps, trois personnages tous cabossés par la vie dans un univers de nantis idiots. La progression du film est, certes, assez prévisible mais on se laisse facilement séduire, comme le Renard et le petit prince : il faut du temps et beaucoup d'humour pour que ces trois là s'apprivoisent.
Avec un excellent décor des années 70 aux USA, ce film prend aussi une belle dimension de documentaire sur le "grand bond en avant" des USA qui laisse mourir les jeunes black au Vietnam pendant que les fils à papa prennent l'hélicoptère pour aller au ski le WE ...
Avec un excellent décor des années 70 aux USA, ce film prend aussi une belle dimension de documentaire sur le "grand bond en avant" des USA qui laisse mourir les jeunes black au Vietnam pendant que les fils à papa prennent l'hélicoptère pour aller au ski le WE ...
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