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Leo Sanchez
6 abonnés
21 critiques
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3,5
Publiée le 11 mars 2024
Film très sympathique avec de bons acteurs et une bonne ambiance je trouve que le film était un peu trop long pour ce qu'il avait a raconter l'histoire est assez intéressante et amusante a suivre le film est aussi plutôt drôle avec un humour très anglais (normal le film est anglais)
Un film de Noël malgré lui et malgré le réalisateur. C'est une aventure assez instructive sur les personnages et il y a plusieurs imprévus. On rigole et on ne s'ennuie pas. Mais ça reste dans le domaine de l'ordinaire. Pas de super pouvoirs.
Un film assez prévisible pour ceux qui ont vu Breakfast Club et Le cercle des poètes disparus. Néanmoins aucune faute dans la réalisation et dans l'interprétation. Toujours des histoires de riches comme dans 90% des films actuels. Mention spéciale à Da'Vine Joy Randolph. Les 2 autres acteurs sont bons mais parfois un peu trop dans le pathos.
Super film, on fini par s’attacher au personnage, et la relation entre eux paraît vrai. 2h avec eux et c’est comme si on faisait partie de l’aventure. Avec une fin douce amer qui sublime le tout .
Le film se déroule dans les années 70 mais est également filmé comme s'il avait été réalisé à cette même période, cela donne un cachet unique au film. La force de ce Winter Break (Holdovers en VO) c'est de nous créer une puissante nostalgie en nous même, même si nous n'avons pas connu cette époque. Ce conte, ou plutôt ce drame de noël, pousse 3 personnages bien différents, chacun avec leurs certitudes et leurs failles, à cohabiter dans un immense pensionnat durant les fêtes de fin d'année. Forcement, ils vont apprendre à se connaitre, à remettre en perspectives leurs avis concernant les autres, apprendre à s'apprécier, à se soutenir et partager leurs souffrances aux autres. Avec la juste dose de sentiment et toujours ce fort coté nostalgique, on s'attache à ces héros, jusqu'à ce final poignant qui n'est pas sans nous rappeler un certain Le cercle des poètes disparus. On a ici l'un des meilleurs films nommés aux Oscars 2024, et un Paul Giamatti en bonne position pour être nommé meilleur acteur.
Winter Break est un film de Noël qui arrive à faire rigoler malgré le contexte de dépression dans lequel sont les trois personnages principaux. Leur cohabitation les rapproche et les conflits générationnels s'éloignent. Ce qui est beau et très touchant c'est que les exclus des fêtes se retrouvent ensemble à vouloir créer des rapports familiaux et de complicité souvent hilarante spoiler: Il y a aussi la meilleur punchline de 2023 qui est au moment où le prof se fait renvoyer
Très bon, Paul Giamatti est un concurrent de taille et mérite sa nomination aux Oscars, quelle performance poignante dans ce récit, il est grandiose, accompagné de Da’Vine Joy Randolph qui mérite les récompenses qu’elle a reçu. Les musiques sont juste sublimes, j’ai passé un bon moment devant, c’est à voir, c’est une pépite.
Incroyable ! Le film est lent et malgré tout on est attaché aux personnages du début à la fin. On se laisse prendre part cette atmosphère de pause hivernale et on en ressort heureux. Heureux d'avoir vu un bon film !
Enfin un film magnifique sensible et non larmoyant Et sans reformatage du cerveau a la nouvelle morale.il merite 5 etoiles pour le theme,la mise en scene et le jeu des acteurs...il m a ete recommande tardivement,ohlala ,j ai failli le manquer.
Après une mise en place un peu laborieuse et avec une mise en scène un peu terne, The Holdovers se déballe comme un surprenant cadeau de Noël, avec ce petit plaisir acidulé. Paul Giamatti est excellent. Le film prend de la tonicité et de la longueur en bouche au fur et à mesure qu'il s'allonge et offre finalement un plaisir réel. Du bon vieux cinéma de papa qu'on aime s'enfiler comme des vieilles pantougles usées et confortables.
On le sait, la bande-annonce est sans doute l'outil promotionnel le plus casse-gueule du cinéma. Quand elle ne déflore pas des éléments capitaux de l'intrigue, elle peut donner du film une image totalement contraire à son esprit, ou le vendre sur un segment tellement parcellaire (mais commercial) qu'on se demande en sortant de la salle si on a bien vu le film qu'on nous annonçait. Tout ça pour dire qu'après avoir vu celle de Winter Break (titre original : The Holdovers, "les Consignés"), je ne m'attendais pas à autre chose qu'une banale comédie de Noël avec : réunion de personnages que tout oppose / affrontement potache / crise sympathique / réconciliation larmoyante / message moralisateur / joyeux Noël ! L'affiche et son sous-titre ne disaient pas autre chose, j'en soupirais d'avance... Sauf que... sauf que.... ce ne sont ni les frères Farrelly ni Peter Weir ni Judd Apatow qui sont aux commandes. Le discret Alexander Payne (7 films en un quart de siècle, dont le très beau segment "Paris XIV" de Paris je t'aime) a ce qu'il faut d'élégance et de pincettes pour traiter son sujet sans balourdise, avec une émotion réelle mais contenue, en équilibrant parfaitement situations de comédie et scènes lestées de gravité. Le sujet, justement : un professeur d'histoire antique doit baby-sitter quatre élèves condamnés à passer les vacances de Noël dans leur école préparatoire de Brandon pour cause de démission de leurs riches parents. Soit un croisement entre "Breakfast Club", "Le Cercle des poètes disparus", "Rushmore" et "La Folle Journée de Ferris Bueller". Dans le rôle du professeur "grumpy", Paul Giamatti (l'un des antihéros de Sideways) compose un personnage formidablement nuancé, qui trouve en la personne de Dominic Sessa (20 ans, premier film et une présence magnétique) le partenaire/contrepoint idéal. Complétant le trio, mention spéciale à Da'Vine Joy Randolph dans le rôle de la cantinière de l'école. Le cadre et l'époque finissent d'arracher "Winter Break" au cliché de comédie de Noël que la bande-annonce tente de nous vendre : nous sommes en Nouvelle-Angleterre en 1970. Une époque où, quand la jeunesse en uniforme-cravate des amphithéâtres de Brandon sait son avenir tout tracé, une autre jeunesse dans un autre genre d'uniforme se fait massacrer sur le théâtre d'opérations du Vietnam. Le choc entre ces deux réalités constitue, aussi, l'un des traits saillants de ce très beau film.
très bon film, malgré la longueur on ne s'ennuie pas une seconde ! ambiance british des années 70, pensionnat de jeunes garçons, des vies pas si lisses qu'on ne croit, un prof désabusé et hargneux mais qui se laissera finalement attendrir à voir pour ceux qui sont nostalgiques d'une certaine époque et de l'atmosphère anglaise !