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Votre avis sur Winter Break ?
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C'est assez fin niveau scénario et dialogue mais dommage que l'intrigue soit si prévisible. Paul Giametti nous prouve une fois de plus que c'est un grand acteur bien sous estimé. Et la bo très folk song épouse parfaitement la mise en scène et la photo du film très douce et nostalgique d'une epoque seventies. C'est pas le meilleur Payne mais c'est tout de même très agréable à regarder.
Je suis déçue par le manque d'originalité du film... L'histoire est très convenue, c'est long et pas très intéressant. Je ne comprends pas cet enthousiasme général.
Alexander Payne auteur de plusieurs opus de premier plan du cinéma d'auteur américain ("Mr Schmidt", " the descendants" selon moi ses meilleures réussites jusqu'à présent) retrouve avec "winter break" un titre de haute gamme et sans doute un des sommets de sa filmographie.
Réflexion sur l'amitié ( le professeur cite abondamment Cicéron auteur romain notamment d'un ouvrage célèbre sur l'amitié, qualifiée du don le plus important donné par Dieu après la sagesse) comme carburant essentiel à l'intériorité.
Ici le scénario se déroule au sein d'un groupe de laissés pour compte d'un collège de la nouvelle Angleterre durant les fêtes de la fin de l'année 1970, " winter break" est de surcroît servi par une réalisation de premier plan.
Très émouvant, alliant simplicité et profondeur, on reste scotché à l'écran face à la sensibilité et la délicatesse que montre ce film, un des meilleurs sortis dans l'hexagone cette année ( en tout cas, un de mes préférés).
On notera que les comparaisons avec " le cercle des poètes disparus" de Peter Weir si elles sont pertinentes en raison du contexte de l'action ( établissement scolaire huppé des usa et professeur brillant qui s'applique à soi-même ce qu'il enseigne), elle l'est un peu moins, si l'on se réfère à la thématique principale abordée ici ( le " carpe diem " de Horace et la philosophie épicurienne chez Weir, Cicéron et le traité " de l'amitié" chez Payne.).
Réflexion sur l'amitié ( le professeur cite abondamment Cicéron auteur romain notamment d'un ouvrage célèbre sur l'amitié, qualifiée du don le plus important donné par Dieu après la sagesse) comme carburant essentiel à l'intériorité.
Ici le scénario se déroule au sein d'un groupe de laissés pour compte d'un collège de la nouvelle Angleterre durant les fêtes de la fin de l'année 1970, " winter break" est de surcroît servi par une réalisation de premier plan.
Très émouvant, alliant simplicité et profondeur, on reste scotché à l'écran face à la sensibilité et la délicatesse que montre ce film, un des meilleurs sortis dans l'hexagone cette année ( en tout cas, un de mes préférés).
On notera que les comparaisons avec " le cercle des poètes disparus" de Peter Weir si elles sont pertinentes en raison du contexte de l'action ( établissement scolaire huppé des usa et professeur brillant qui s'applique à soi-même ce qu'il enseigne), elle l'est un peu moins, si l'on se réfère à la thématique principale abordée ici ( le " carpe diem " de Horace et la philosophie épicurienne chez Weir, Cicéron et le traité " de l'amitié" chez Payne.).
Touchant, émouvant, un peu "old school" avec de belles émotions : 3 déprimés, tristes, solitaires qui vont se découvrir...
GIAMATTI est brillamment tour à tour psychorigide puis bienveillant, exigeant puis compréhensif, faisant face à une intériorité qui s'exprimera par touches sensibles et progressives, ce qui fait le charme de ce film.
Un joli conte de Noël!
GIAMATTI est brillamment tour à tour psychorigide puis bienveillant, exigeant puis compréhensif, faisant face à une intériorité qui s'exprimera par touches sensibles et progressives, ce qui fait le charme de ce film.
Un joli conte de Noël!
Voilà une belle pepite, sorti en fin d'année 2023 ! The Holdovers est un très beau film ! Les trois personnages principaux forment un trio touchant et drôle à la fois. Une magnifique histoire qui se construit au fur et à mesure du récit !
Ces trois personnages sont juste parfait ! On s'attache rapidement à ces personnages tellement qui sont adorables !
Habitué au 2nd rôle, Paul Giamati est clairement une révélation dans un film comme celui-ci. Une interprétation magique.
Un très beau film
Ces trois personnages sont juste parfait ! On s'attache rapidement à ces personnages tellement qui sont adorables !
Habitué au 2nd rôle, Paul Giamati est clairement une révélation dans un film comme celui-ci. Une interprétation magique.
Un très beau film
Découverte du soir :
Véritable coup de cœur ce film retranscrit à la perfection le style de film des années 70 avec une réal et une mis en scène soigné et réfléchi. Le casting est formidable et de même de son interprétation. Les personnages sont magnifiquement bien écrit et touchant. Le récit est passionnant et nous fait voyager à travers les différentes émotions.
Que dire de plus, c'était vraiment parfait à mes yeux ! Foncez c'est d'une prouesse inégalable !
Véritable coup de cœur ce film retranscrit à la perfection le style de film des années 70 avec une réal et une mis en scène soigné et réfléchi. Le casting est formidable et de même de son interprétation. Les personnages sont magnifiquement bien écrit et touchant. Le récit est passionnant et nous fait voyager à travers les différentes émotions.
Que dire de plus, c'était vraiment parfait à mes yeux ! Foncez c'est d'une prouesse inégalable !
Winter Break est un film de Noël qui arrive à faire rigoler malgré le contexte de dépression dans lequel sont les trois personnages principaux. Leur cohabitation les rapproche et les conflits générationnels s'éloignent. Ce qui est beau et très touchant c'est que les exclus des fêtes se retrouvent ensemble à vouloir créer des rapports familiaux et de complicité souvent hilarante
spoiler: Il y a aussi la meilleur punchline de 2023 qui est au moment où le prof se fait renvoyer
spoiler: Il y a aussi la meilleur punchline de 2023 qui est au moment où le prof se fait renvoyer
film assez ennuyant dans l'ensemble malgré quelques scènes intéressantes. ce film aurait gagné en étant moins long.
Winter Break d'Alexander Payne, connu sous le titre The Holdovers aux États-Unis, est un film de Noël américain sorti en 2023. L'histoire se déroule durant les vacances de fin d'année de 1970, dans un pensionnat de la Nouvelle-Angleterre. Un professeur de lettres classiques, strict et souvent détesté, Paul Hunham (interprété par Paul Giamatti), se retrouve à devoir chaperonner un groupe d'élèves qui n'ont pas de famille où aller pour Noël.
Dès le début, la direction artistique du film nous plonge dans une ambiance rétro des années 70 avec une précision historique remarquable. Les décors minutieusement choisis par Ryan Warren Smith et les costumes de Wendy Chuck ajoutent une authenticité immersive qui transporte le spectateur dans cette époque. La photographie d'Eigil Bryld sublime ces choix artistiques avec des plans à la fois nostalgiques et mélancoliques.
Le film s'appuie fortement sur les performances de son casting. Paul Giamatti offre une interprétation intense et nuancée de Paul Hunham, un personnage à la fois irritable et profondément humain. Dominic Sessa, dans le rôle de l'élève Angus Tully, et Da'Vine Joy Randolph, jouant Mary Lamb, apportent des performances mémorables qui équilibrent parfaitement la rigueur de Giamatti. Da'Vine Joy Randolph, notamment, brille par sa capacité à insuffler de la chaleur et de la compassion dans chaque scène, ce qui lui a valu une nomination bien méritée aux Oscars et aux Golden Globes.
Le scénario de David Hemingson jongle habilement entre la comédie et le drame, avec des dialogues piquants et des situations cocasses qui rappellent les meilleurs moments de Merlusse de Marcel Pagnol, dont le film s'inspire. Cependant, malgré ces éléments engageants, le rythme du film peut sembler inégal, avec certaines scènes qui tirent en longueur, nuisant à la fluidité globale de l'intrigue.
La bande originale, composée par Mark Orton, accompagne le film avec des morceaux bien choisis qui renforcent l'atmosphère de l'époque. Les titres comme "Venus" de Shocking Blue et "Silent Night" des Temptations apportent une couche supplémentaire d'émotion et de nostalgie qui enrichit l'expérience cinématographique.
Un point fort du film est son exploration des thèmes de la solitude et de la recherche de liens humains. Les personnages, chacun avec leurs propres blessures et vulnérabilités, trouvent en cette période des fêtes une occasion de se rapprocher et de se comprendre mutuellement. Cette dynamique crée des moments touchants et sincères, bien que parfois prévisibles.
Malgré ses nombreuses qualités, Winter Break n'est pas exempt de défauts. Certaines sous-intrigues semblent sous-développées, et le film peine parfois à maintenir l'intérêt du spectateur sur la durée de ses 133 minutes. De plus, la fin, bien que satisfaisante sur le plan émotionnel, pourrait laisser certains spectateurs sur leur faim, espérant peut-être une résolution plus percutante.
En conclusion, Winter Break (The Holdovers) est un film qui charme par son authenticité et ses performances d'acteurs, offrant un regard touchant sur la solitude et l'amitié pendant la période des fêtes. Malgré quelques longueurs et un rythme inégal, il reste une œuvre sincère et émotive qui mérite d'être vue. Alexander Payne réussit à créer une atmosphère nostalgique et mélancolique qui résonne avec le public, même si le film ne parvient pas toujours à atteindre les sommets espérés.
Dès le début, la direction artistique du film nous plonge dans une ambiance rétro des années 70 avec une précision historique remarquable. Les décors minutieusement choisis par Ryan Warren Smith et les costumes de Wendy Chuck ajoutent une authenticité immersive qui transporte le spectateur dans cette époque. La photographie d'Eigil Bryld sublime ces choix artistiques avec des plans à la fois nostalgiques et mélancoliques.
Le film s'appuie fortement sur les performances de son casting. Paul Giamatti offre une interprétation intense et nuancée de Paul Hunham, un personnage à la fois irritable et profondément humain. Dominic Sessa, dans le rôle de l'élève Angus Tully, et Da'Vine Joy Randolph, jouant Mary Lamb, apportent des performances mémorables qui équilibrent parfaitement la rigueur de Giamatti. Da'Vine Joy Randolph, notamment, brille par sa capacité à insuffler de la chaleur et de la compassion dans chaque scène, ce qui lui a valu une nomination bien méritée aux Oscars et aux Golden Globes.
Le scénario de David Hemingson jongle habilement entre la comédie et le drame, avec des dialogues piquants et des situations cocasses qui rappellent les meilleurs moments de Merlusse de Marcel Pagnol, dont le film s'inspire. Cependant, malgré ces éléments engageants, le rythme du film peut sembler inégal, avec certaines scènes qui tirent en longueur, nuisant à la fluidité globale de l'intrigue.
La bande originale, composée par Mark Orton, accompagne le film avec des morceaux bien choisis qui renforcent l'atmosphère de l'époque. Les titres comme "Venus" de Shocking Blue et "Silent Night" des Temptations apportent une couche supplémentaire d'émotion et de nostalgie qui enrichit l'expérience cinématographique.
Un point fort du film est son exploration des thèmes de la solitude et de la recherche de liens humains. Les personnages, chacun avec leurs propres blessures et vulnérabilités, trouvent en cette période des fêtes une occasion de se rapprocher et de se comprendre mutuellement. Cette dynamique crée des moments touchants et sincères, bien que parfois prévisibles.
Malgré ses nombreuses qualités, Winter Break n'est pas exempt de défauts. Certaines sous-intrigues semblent sous-développées, et le film peine parfois à maintenir l'intérêt du spectateur sur la durée de ses 133 minutes. De plus, la fin, bien que satisfaisante sur le plan émotionnel, pourrait laisser certains spectateurs sur leur faim, espérant peut-être une résolution plus percutante.
En conclusion, Winter Break (The Holdovers) est un film qui charme par son authenticité et ses performances d'acteurs, offrant un regard touchant sur la solitude et l'amitié pendant la période des fêtes. Malgré quelques longueurs et un rythme inégal, il reste une œuvre sincère et émotive qui mérite d'être vue. Alexander Payne réussit à créer une atmosphère nostalgique et mélancolique qui résonne avec le public, même si le film ne parvient pas toujours à atteindre les sommets espérés.
Quelle belle surprise, quelle poésie, quelle tendresse, quel humour ! Ce film est rejouissant. La photographie est maîtrisée, les acteurs se regalent, le scénario est implacable ! Une grande bouffée d'air frais sur le cinéma de ce debut d'année !
Voilà un film à regarder chez soi emmitouflé dans une couverture de laine avec le feu dans la cheminée, le chat sur les genoux et les pieds dans les charentaises.
Winter Breaks est un film qui prend son temps. Le temps de faire connaissance avec 3 solitaires : le prof détesté, l’élève turbulent et la mère attristée.
Évidemment, on devine que les choses vont bouger : le prof n’est pas si détestable que ça, l’élève turbulent a du cœur, la mère attristée arrive à sourire. Le tout est filmé de façon très sobre avec une patine « années 70 ». Alexander Payne se pose en héritier du cinéma américain des années 70, du côté des « calmes » : Hal Ashby ou Paul Mazursky (on pense à Harry et Tonto). Certes, Alexander Payne n’est pas au niveau de ses modèles, le film, très tenu, manque de folie et on aimerait qu’il lâche la bride à ses personnages mais qu’importe, Winter Breaks arrive à nous émouvoir.
Le point fort reste les acteurs, tous excellents.
Voilà un film qui nous donne envie, une fois que nous sortîmes de la salle de cinéma, de mettre le bois au feu, d’attraper la couverture en laine, de chercher le chat et d’enfiler les charentaises en attendant que la tisane infuse.
Winter Breaks est un film qui prend son temps. Le temps de faire connaissance avec 3 solitaires : le prof détesté, l’élève turbulent et la mère attristée.
Évidemment, on devine que les choses vont bouger : le prof n’est pas si détestable que ça, l’élève turbulent a du cœur, la mère attristée arrive à sourire. Le tout est filmé de façon très sobre avec une patine « années 70 ». Alexander Payne se pose en héritier du cinéma américain des années 70, du côté des « calmes » : Hal Ashby ou Paul Mazursky (on pense à Harry et Tonto). Certes, Alexander Payne n’est pas au niveau de ses modèles, le film, très tenu, manque de folie et on aimerait qu’il lâche la bride à ses personnages mais qu’importe, Winter Breaks arrive à nous émouvoir.
Le point fort reste les acteurs, tous excellents.
Voilà un film qui nous donne envie, une fois que nous sortîmes de la salle de cinéma, de mettre le bois au feu, d’attraper la couverture en laine, de chercher le chat et d’enfiler les charentaises en attendant que la tisane infuse.
Film visionné au cinéma.
Tout n'est pas parfait, le caractère des élèves est caricaturé, le trait a été trop forci afin de les rendre facile à comprendre et à remettre. Mais a bien des égards, Winter Break filmé à l'ancienne a une recette qui fait mouche. A commencer par l'excellent Paul Giamatti, qui livre une très belle prestation. Également par le rythme de ses dialogues vifs et percutant, s'accompagnant d'une très belle touche culturelle. Enfin, pour ce que le film dégage : on gagne à se montrer empathique.
Tout n'est pas parfait, le caractère des élèves est caricaturé, le trait a été trop forci afin de les rendre facile à comprendre et à remettre. Mais a bien des égards, Winter Break filmé à l'ancienne a une recette qui fait mouche. A commencer par l'excellent Paul Giamatti, qui livre une très belle prestation. Également par le rythme de ses dialogues vifs et percutant, s'accompagnant d'une très belle touche culturelle. Enfin, pour ce que le film dégage : on gagne à se montrer empathique.
Ce film est une perle
Le charme provient autant des acteurs qui se livrent par touche au sujet de leur souffrance et partagent des moment de joie et d émotions
La grâce est dans les plans et la bo
Du grand cinéma
Le charme provient autant des acteurs qui se livrent par touche au sujet de leur souffrance et partagent des moment de joie et d émotions
La grâce est dans les plans et la bo
Du grand cinéma
Pas mal mais sans plus.histoire non palpitante mais sympathique.dans un vieux lycée américain à fin de 1970,un vieux professeur un brin rigide et un élève coincé là pour les vacances de Noël sympathisent.on découvre que le professeur est un ancien banni de Harvard et que le jeune, délaissé par sa mère,a son père enfermé en psychiatrie. Si l histoire est parfois drôle, le scénario n est pas très original ni assez empreint de gravité.On passe quand même un très bon moment de détente sur fonds de musique folk des seventies.j adore l acteur principal(le professeur) vu déjà dans d autres films loufoques. Quand au jeune acteur qui joue l élève,mais où ont ils été trouver une telle silhouette dégingandée?😅
Payne nous offre une comédie douce amère mettant en scène 3 personnages, tous touchés par une certaine solitude qui explique leur comportement. Je n'ai jamais ri aux larmes mais plutôt souri, l'émotion ne l'a pas vraiment emporté mais attendri quelque fois
L'ouverture du film est intéressante et donne un ton humoristique que l'on perd rapidement au détriment d'une longueur qui a tendance à nous endormir.
L'ouverture du film est intéressante et donne un ton humoristique que l'on perd rapidement au détriment d'une longueur qui a tendance à nous endormir.
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