Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Finesse et intelligence emportent en toutes circonstances la mise dans ce "Winter Break" irrésistible et euphorisant, qui nous nourrit d’une certitude, Alexander Payne n’est ni plus ni moins que le grand maître de la comédie américaine contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un des plus beaux films américains de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Habituel marginal, nostalgique des années 1970, le cinéaste Alexander Payne se surpasse avec son nouveau film, de haute volée, « Winter Break », où il dépeint trois fracassés de la vie apprenant timidement à faire état de leurs sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Cheze
Un vrai film de Noël jamais mièvre.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Ce réalisateur d'épatantes satires politiques [...], sait croquer les seventies dans un bouillon unique d'acidité et de sentimentalité.
Voici
par La Rédaction
Un film de Noël finement écrit et joué, à la fois hilarant et très touchant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Winter Break n’a rien des films de Noël clinquants et artificiels que nous réserve trop souvent le mois de décembre. Alexander Payne ne mange pas de cette bûche-là bien trop sucrée pour lui : il offre un plat convivial et généreux qui fait espérer qu’il n’attendra pas encore vingt pour retravailler avec Paul Giamatti.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un film de Noël drôle, souvent émouvant, et qui questionne à travers la plus généreuse des fêtes, la nature-même du privilège.
Ecran Large
par Ewen Linet
Malgré une mise en scène académique, "Winter Break" réveille l'espace d'un instant le dernier âge d'or du cinéma américain. Alexander Payne réussit son exercice de style dans une remarquable reconstitution d'un hiver de 1970 en Nouvelle-Angleterre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un récit d'apprentissage réconfortant.
GQ
par Adam Sanchez
Sorte de croisement inespéré entre "Ticket pour deux" de John Hughes et "Harold et Maude" de Hal Ashby, dont l'influence manifeste s'étend jusqu'à la bande-originale avec la présence de Cat Stevens, "Winter Break" parvient à mêler idéalement un ton acerbe à une délicatesse jamais feinte.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mais peu importe l’origine du sujet, on ne boudera pas pour autant ce remake, qui est sans doute le meilleur conte de Noël du moment. Un conte pour adultes, certes, non pas en raison de la verdeur des dialogues et/ou des situations, mais surtout de son caractère doux-amer.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Film sucré-salé, doux-amer, cette balade en tonalité mineure se termine avec le sourire et une boule dans la gorge. L’esprit de Noël règne. Et ça fait du bien !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par La Rédaction
Un cocon de douceur qui fait du bien dans cette actualité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par E.N.
Le film est spécial, miraculeux, unique. C'est comme si, pour rester vivant, le cinéma devait retourner cinquante ans en arrière.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Alexander Payne avance masqué, distillant l’émotion par petites touches grâce à une écriture subtile, une mise en scène élégante, un ton doux-amer, tantôt mélancolique tantôt caustique, des protagonistes profonds et inspirants qui invitent à écouter l’autre, à le comprendre et à le soutenir face à l’adversité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
Une œuvre délicate, subtile, intelligente, drôle, et bien consolante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Bien épaulé par ses excellents comédiens, le cinéaste aboutit à un film de Noël d’une originalité folle, entre émotions, conflits et rire, dont on sort le sourire aux lèvres installé pour longtemps…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Ode à la culture antique et à ses enseignements sur le présent, le film porte en lui une indéniable nostalgie d'un certain glorieux passé du cinéma hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Loin de son habituelle commisération, Payne a su trouver ici la juste distance pour regarder sa bande de laissés-pour-compte, offrant à Giamatti la possibilité de jouer ses gammes misanthropes plus subtilement qu’à l’accoutumée, révélant le débutant Dominic Sessa, et donnant surtout à Da’Vine Joy Randolph un rôle qui se révèle de plus en plus central – et émouvant – à mesure que se déploie l’intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Une comédie dramatique pour adultes, à la fois amère et chaleureuse, turbulente et lugubre, qui ne cherche à aucun moment à se montrer ambitieuse ou importante, mais ne se permet non plus aucune faiblesse ni légèreté, reposant sur trois interprètes absolument stupéfiants – Dominic Sessa (dont c’est le premier rôle), Da’Vine Joy Randolph et surtout Paul Giamatti qui trouve indiscutablement ici un des meilleurs rôles de sa carrière, si ce n’est le meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Cheze
POUR : Exit le ton doux-amer, l’esprit moqueur à l’œuvre dans ses ses films précédents, de L’Arriviste à Nebraska. Payne assume à 100% la fibre sentimentaliste de son récit, joue avec les situations attendues et les clichés de ce choc des contraires comme un patineur avec l’exercice des figures imposées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Avec sa photo rétro, cet instantané de vie fait penser par certains aspects au « Cercle des poètes disparus » et vaut par son regard critique porté sur une Amérique en train de basculer dans l’individualisme. Pertinent.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Margot Loisel
[Un] film drôle et d'une tendresse à crever le cœur, dédicace au cinéma des années 1970.
Télérama
par Jacques Morice
Un film doux-amer, qui tient à distance le pathos et la mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Isabelle Danel
D’un scénario classique, Alexandre Payne tire un film vachard et chaleureux, aussi drôle qu’émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Damien Bonelli
C’est à une tendresse jamais feinte que le film doit sa modeste mais réelle réussite.
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Alexander Payne tombe le masque et livre un film de Noël pudiquement caché sous un drame générationnel. Le résultat est correct, mais témoigne d’une approche somme toute très classique, qui ne dépare que dans le contexte hollywoodien contemporain.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière cette histoire de Noël attachante et bourrée de belles ondes, on regrettera un scénario un peu prévisible et une mise en scène trop académique pour rendre aux trois personnages principaux l’épaisseur qu’ils méritent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Philippe Fauvel
Si on veut bien dépasser le bon mot de l’enseignant pète-sec et se donner la peine de grimper à cette échelle, reste la bienveillance, sujet tout stoïcien et central, que l’on reçoit dans le récit sous sa représentation archétypale et matérielle : les Pensées pour moi-même de Marc-Aurèle, ni plus ni moins.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Pas désagréable à regarder mais étonnamment pompier et attendu, loin du regard tendre et sarcastique auquel Payne nous avait habitués.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
CONTRE : Le cinéma de Payne (Sideways, Monsieur Schmidt, The Descendants…), n’a rien d’autre chose à offrir qu’une vision normée d’un monde que le cinéma ne saurait contrarier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Finesse et intelligence emportent en toutes circonstances la mise dans ce "Winter Break" irrésistible et euphorisant, qui nous nourrit d’une certitude, Alexander Payne n’est ni plus ni moins que le grand maître de la comédie américaine contemporaine.
Les Echos
Un des plus beaux films américains de l'année.
Marianne
Habituel marginal, nostalgique des années 1970, le cinéaste Alexander Payne se surpasse avec son nouveau film, de haute volée, « Winter Break », où il dépeint trois fracassés de la vie apprenant timidement à faire état de leurs sentiments.
Ouest France
Un vrai film de Noël jamais mièvre.
Transfuge
Ce réalisateur d'épatantes satires politiques [...], sait croquer les seventies dans un bouillon unique d'acidité et de sentimentalité.
Voici
Un film de Noël finement écrit et joué, à la fois hilarant et très touchant.
20 Minutes
Winter Break n’a rien des films de Noël clinquants et artificiels que nous réserve trop souvent le mois de décembre. Alexander Payne ne mange pas de cette bûche-là bien trop sucrée pour lui : il offre un plat convivial et généreux qui fait espérer qu’il n’attendra pas encore vingt pour retravailler avec Paul Giamatti.
CinemaTeaser
Un film de Noël drôle, souvent émouvant, et qui questionne à travers la plus généreuse des fêtes, la nature-même du privilège.
Ecran Large
Malgré une mise en scène académique, "Winter Break" réveille l'espace d'un instant le dernier âge d'or du cinéma américain. Alexander Payne réussit son exercice de style dans une remarquable reconstitution d'un hiver de 1970 en Nouvelle-Angleterre.
Elle
Un récit d'apprentissage réconfortant.
GQ
Sorte de croisement inespéré entre "Ticket pour deux" de John Hughes et "Harold et Maude" de Hal Ashby, dont l'influence manifeste s'étend jusqu'à la bande-originale avec la présence de Cat Stevens, "Winter Break" parvient à mêler idéalement un ton acerbe à une délicatesse jamais feinte.
L'Humanité
Mais peu importe l’origine du sujet, on ne boudera pas pour autant ce remake, qui est sans doute le meilleur conte de Noël du moment. Un conte pour adultes, certes, non pas en raison de la verdeur des dialogues et/ou des situations, mais surtout de son caractère doux-amer.
L'Obs
Film sucré-salé, doux-amer, cette balade en tonalité mineure se termine avec le sourire et une boule dans la gorge. L’esprit de Noël règne. Et ça fait du bien !
La Croix
Un cocon de douceur qui fait du bien dans cette actualité.
Le Figaro
Le film est spécial, miraculeux, unique. C'est comme si, pour rester vivant, le cinéma devait retourner cinquante ans en arrière.
Le Journal du Dimanche
Alexander Payne avance masqué, distillant l’émotion par petites touches grâce à une écriture subtile, une mise en scène élégante, un ton doux-amer, tantôt mélancolique tantôt caustique, des protagonistes profonds et inspirants qui invitent à écouter l’autre, à le comprendre et à le soutenir face à l’adversité.
Le Monde
Une œuvre délicate, subtile, intelligente, drôle, et bien consolante.
Le Parisien
Bien épaulé par ses excellents comédiens, le cinéaste aboutit à un film de Noël d’une originalité folle, entre émotions, conflits et rire, dont on sort le sourire aux lèvres installé pour longtemps…
Le Point
Ode à la culture antique et à ses enseignements sur le présent, le film porte en lui une indéniable nostalgie d'un certain glorieux passé du cinéma hollywoodien.
Les Inrockuptibles
Loin de son habituelle commisération, Payne a su trouver ici la juste distance pour regarder sa bande de laissés-pour-compte, offrant à Giamatti la possibilité de jouer ses gammes misanthropes plus subtilement qu’à l’accoutumée, révélant le débutant Dominic Sessa, et donnant surtout à Da’Vine Joy Randolph un rôle qui se révèle de plus en plus central – et émouvant – à mesure que se déploie l’intrigue.
Libération
Une comédie dramatique pour adultes, à la fois amère et chaleureuse, turbulente et lugubre, qui ne cherche à aucun moment à se montrer ambitieuse ou importante, mais ne se permet non plus aucune faiblesse ni légèreté, reposant sur trois interprètes absolument stupéfiants – Dominic Sessa (dont c’est le premier rôle), Da’Vine Joy Randolph et surtout Paul Giamatti qui trouve indiscutablement ici un des meilleurs rôles de sa carrière, si ce n’est le meilleur.
Première
POUR : Exit le ton doux-amer, l’esprit moqueur à l’œuvre dans ses ses films précédents, de L’Arriviste à Nebraska. Payne assume à 100% la fibre sentimentaliste de son récit, joue avec les situations attendues et les clichés de ce choc des contraires comme un patineur avec l’exercice des figures imposées.
Sud Ouest
Avec sa photo rétro, cet instantané de vie fait penser par certains aspects au « Cercle des poètes disparus » et vaut par son regard critique porté sur une Amérique en train de basculer dans l’individualisme. Pertinent.
Télé Loisirs
[Un] film drôle et d'une tendresse à crever le cœur, dédicace au cinéma des années 1970.
Télérama
Un film doux-amer, qui tient à distance le pathos et la mièvrerie.
Bande à part
D’un scénario classique, Alexandre Payne tire un film vachard et chaleureux, aussi drôle qu’émouvant.
Critikat.com
C’est à une tendresse jamais feinte que le film doit sa modeste mais réelle réussite.
Les Fiches du Cinéma
Alexander Payne tombe le masque et livre un film de Noël pudiquement caché sous un drame générationnel. Le résultat est correct, mais témoigne d’une approche somme toute très classique, qui ne dépare que dans le contexte hollywoodien contemporain.
aVoir-aLire.com
Derrière cette histoire de Noël attachante et bourrée de belles ondes, on regrettera un scénario un peu prévisible et une mise en scène trop académique pour rendre aux trois personnages principaux l’épaisseur qu’ils méritent.
Cahiers du Cinéma
Si on veut bien dépasser le bon mot de l’enseignant pète-sec et se donner la peine de grimper à cette échelle, reste la bienveillance, sujet tout stoïcien et central, que l’on reçoit dans le récit sous sa représentation archétypale et matérielle : les Pensées pour moi-même de Marc-Aurèle, ni plus ni moins.
Paris Match
Pas désagréable à regarder mais étonnamment pompier et attendu, loin du regard tendre et sarcastique auquel Payne nous avait habitués.
Première
CONTRE : Le cinéma de Payne (Sideways, Monsieur Schmidt, The Descendants…), n’a rien d’autre chose à offrir qu’une vision normée d’un monde que le cinéma ne saurait contrarier.