Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Humanité
par Jean Roy
Maître d'oeuvre de l'édifice, Stephen Frears fait montre d'une égale sensibilité, dans la lignée des Raisins de la colère et autres classiques du cinéma social d'expression anglaise. On apprécie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) c'est admirablement raconté avec une amertume que tempèrent souvent cocasserie et tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Liam n'est certainement pas l'équivalent du "Bruit et la Fureur" de Faulkner, il y a pourtant un dispositif comparable de retraitement de la réalité, qui la rend à la fois plus émouvante, plus significative et plus universelle
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Ange-Dominique Bouzet
Une analyse triste, désabusée, ponctuée de tendresse et d'humour doux-amer (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Sylvie Lachat
Liam offre un moment de poésie, de tendresse et de réflexion que tout un chacun saura apprécier à sa juste valeur (...). Liam touche sans peine le spectateur à la tête et au coeur.
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans ce monde populaire traditionnel, Stephen Frears est suffisamment à son aise pour faire surgir des éclats de vie et de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Le visage du petit Liam est pourtant l'un des visages les plus marquants vus au cinéma. A l'image d'un film frondeur derrière sa réserve, trop tenu pour être mélo mais sincèrement bouleversant.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
(...) le film s'embourbe dans les nombreuses redites du scénario, et cultive une mièvrerie assez déconcertante (...). Malgré ces défauts, Frears est ici dans son registre, et la vision de Liam révèle une liberté et un plaisir de filmer (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Catherine Deydier
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Dommage qu'au fil du récit, les poncifs reviennent en force, et gâchent un peu la crédibilité de ce mélo social qui garde, pourtant, deux grands mérites : celui de réunir une interprétation sans faille (...); et celui d'évoquer un aspect méconnu de l'histoire britannique
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Olivier de Bruyn
(...) le décor est planté pour un exercice de style propret. Mais un petit Frears produit pour la BBC, stimulant avec son cocktail d'humour et d'amertume, vaut mieux qu'un tas de navets, isn't it ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Teddy Roudaut
La reconstitution historique est certes criante de vérité, mais n'échappe pas à l'écueil du genre : un misérabilisme qui débouche sur une surenchère hallucinante et un final ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Aucune surprise, (...) on retrouve le chromos habituel de ce cinéma-recyclage. Pourtant, quelque chose comme un projet de cinéma affleure ici, dans la manière dont Frears construit entièrement son récit sur un empilement de scènes récurrentes.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Impression d'ensemble entre indifférence et irritation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Humanité
Maître d'oeuvre de l'édifice, Stephen Frears fait montre d'une égale sensibilité, dans la lignée des Raisins de la colère et autres classiques du cinéma social d'expression anglaise. On apprécie.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) c'est admirablement raconté avec une amertume que tempèrent souvent cocasserie et tendresse.
Le Monde
Liam n'est certainement pas l'équivalent du "Bruit et la Fureur" de Faulkner, il y a pourtant un dispositif comparable de retraitement de la réalité, qui la rend à la fois plus émouvante, plus significative et plus universelle
Libération
Une analyse triste, désabusée, ponctuée de tendresse et d'humour doux-amer (...)
MCinéma.com
Liam offre un moment de poésie, de tendresse et de réflexion que tout un chacun saura apprécier à sa juste valeur (...). Liam touche sans peine le spectateur à la tête et au coeur.
Télérama
Dans ce monde populaire traditionnel, Stephen Frears est suffisamment à son aise pour faire surgir des éclats de vie et de vérité.
Aden
Le visage du petit Liam est pourtant l'un des visages les plus marquants vus au cinéma. A l'image d'un film frondeur derrière sa réserve, trop tenu pour être mélo mais sincèrement bouleversant.
Chronic'art.com
(...) le film s'embourbe dans les nombreuses redites du scénario, et cultive une mièvrerie assez déconcertante (...). Malgré ces défauts, Frears est ici dans son registre, et la vision de Liam révèle une liberté et un plaisir de filmer (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Dommage qu'au fil du récit, les poncifs reviennent en force, et gâchent un peu la crédibilité de ce mélo social qui garde, pourtant, deux grands mérites : celui de réunir une interprétation sans faille (...); et celui d'évoquer un aspect méconnu de l'histoire britannique
Première
(...) le décor est planté pour un exercice de style propret. Mais un petit Frears produit pour la BBC, stimulant avec son cocktail d'humour et d'amertume, vaut mieux qu'un tas de navets, isn't it ?
Repérages
La reconstitution historique est certes criante de vérité, mais n'échappe pas à l'écueil du genre : un misérabilisme qui débouche sur une surenchère hallucinante et un final ridicule.
Urbuz
Aucune surprise, (...) on retrouve le chromos habituel de ce cinéma-recyclage. Pourtant, quelque chose comme un projet de cinéma affleure ici, dans la manière dont Frears construit entièrement son récit sur un empilement de scènes récurrentes.
L'Obs
Impression d'ensemble entre indifférence et irritation.