Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
"Piggy" est un teen movie, gore et terrassant, sur l’amour propre et l’amour toxique, sur le bien, le mal, et le pouvoir de le faire.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Et le film de faire des questionnements terribles qui le constituent la trame d'un récit d'initiation certes tordu mais finalement assez émouvant, durant lequel une jeune fille isolée d'un monde qui la rejette de toute manière bâtit sa conscience et sa morale au gré d'une épreuve déchirante […], où l'humanité et la barbarie ressemblent aux deux faces d'une même médaille oxydée.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
On aurait rêvé que Piggy s'autorise à aller encore plus loin dans l'ambiguïté, mais il constitue déjà un premier film d'une rare audace et intelligence, qui sème le trouble au fur et à mesure de son parcours de révolte et de violence.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par N. S.
Les mujeres aussi maîtrisent le gore. La preuve avec ce facétieux slasher espagnol, sans moyens mais plein d’idées, qui révèle une réalisatrice prometteuse, Carlota Martínez-Pereda, et une actrice, Laura Galàn, très investie dans son personnage de « Carrie » en surpoids.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Mad Movies
par Laurent Duroche
À la fois très actuel dans son propos et agréablement dénué des affèteries clinquantes du cinéma indé hype de ces dernières années, Piggy laisse augurer du meilleur pour le futur de Carlota Pereda.
Positif
par Dominique Martinez
En resituant les figures conventionnelles du thriller dans un récit sensible et punk, Carlota Martínez Pereda les détourne pour dénoncer frontalement le regard stéréotypé sur le corps des femmes et la violence du harcèlement grossophobe.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le film, singulier et radical, brille par sa mise en scène troublante du corps.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Après une première partie prenante et singulière, le film perd de vue son sujet et passe à côté de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
CinemaTeaser
"Piggy" est un teen movie, gore et terrassant, sur l’amour propre et l’amour toxique, sur le bien, le mal, et le pouvoir de le faire.
Culturopoing.com
Et le film de faire des questionnements terribles qui le constituent la trame d'un récit d'initiation certes tordu mais finalement assez émouvant, durant lequel une jeune fille isolée d'un monde qui la rejette de toute manière bâtit sa conscience et sa morale au gré d'une épreuve déchirante […], où l'humanité et la barbarie ressemblent aux deux faces d'une même médaille oxydée.
Ecran Large
On aurait rêvé que Piggy s'autorise à aller encore plus loin dans l'ambiguïté, mais il constitue déjà un premier film d'une rare audace et intelligence, qui sème le trouble au fur et à mesure de son parcours de révolte et de violence.
L'Obs
Les mujeres aussi maîtrisent le gore. La preuve avec ce facétieux slasher espagnol, sans moyens mais plein d’idées, qui révèle une réalisatrice prometteuse, Carlota Martínez-Pereda, et une actrice, Laura Galàn, très investie dans son personnage de « Carrie » en surpoids.
Mad Movies
À la fois très actuel dans son propos et agréablement dénué des affèteries clinquantes du cinéma indé hype de ces dernières années, Piggy laisse augurer du meilleur pour le futur de Carlota Pereda.
Positif
En resituant les figures conventionnelles du thriller dans un récit sensible et punk, Carlota Martínez Pereda les détourne pour dénoncer frontalement le regard stéréotypé sur le corps des femmes et la violence du harcèlement grossophobe.
Le Journal du Dimanche
Le film, singulier et radical, brille par sa mise en scène troublante du corps.
Les Fiches du Cinéma
Après une première partie prenante et singulière, le film perd de vue son sujet et passe à côté de ses personnages.