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    May December
    Note moyenne
    3,3
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    239 critiques spectateurs

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    grey_egg
    grey_egg

    15 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Film d'une rare lourdeur, mais c'est sans doute parce que je ne comprends pas la psychologie du personnage, parce qu'à Hollywood on filme dans une esthétique de pub pour parfum (Portman ne fait plus que ça) mais n'empêche qu'on fait des films psychologiques, alors tu vois il faut que tu fasses le regard ténébreux parce que ton personnage il souffre mais il réfléchit parce que c'est psychologique, mais quand il a bien réfléchi il pleure parce qu'il souffre... Et aussi, le personnage est toujours filmé face au bord du csdre, regard vers le bord, parce qu'il est face à un obstacle, tu vois... Et la musique, c'est pas compliqué, à chaque fois que c'est psychologique tu mets de la musique qui souffre, tu vois.... Et puis aussi il y a plein de coïncidences dans le scénario parce qu'en fait le personnage il est victime du destin, tu vois....
    Bref, on ne peut guère faire plus caricatural.
    Allez voir Pauvres creatures !
    Vana Elu
    Vana Elu

    6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 janvier 2024
    d'un ennui sans nom, j'ai failli roupiller pendant la séance quoi même les vieux autour de moi me stimulait plus que ce navet ambulant
    comment on peut penser à un scénario aussi éclaté que celui là ? qu'est-ce que le réal s'est dit quoi ? heureusement que Portman est fraîche dedans y a que ça qui m'a fait tenir
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Todd Haynes aime les actrices et leur a souvent donner de très beaux rôles. Son dernier film ne fait pas exception à la règle en affrontant 2 actrices majeures actuelles Julianne Moore et Natalie Portman. Si la première, sublime dans leur film commun "Au plus près du paradis" est de nouveau juste, elle ne nous surprend pas vraiment par rapport à ses prestations antérieures. Par contre, Natalie Portman impressionne dans son rôle d'actrice dont elle va révéler la part d 'ombre grise (comme dit dans le film). Ce qui ne veut pas dire que les 2 actrices éclipsent leurs partenaires, bien au contraire, Charles Melton jouant le mari de Julianne Moore est époustouflant.
    Coté mise en scène, Todd Haynes y va sans complexe et c'est tant mieux : utilisant la musique d' un chef d'œuvre de Losey (The go between) pour évoquer comme le maître anglais une liaison somme toute dangereuse en tout cas non conventionnelle semble finalement assez logique. Mais, c'est ouvertement que Todd Haynes s'inspire du cinéma bergmanien dans sa façon de filmer les 2 actrices principales face à face ou face à un miroir et surtout bien évident lors de la scène où Natalie Portman s'identifie au personnage de Julianne Moore, c'est tout simplement superbe.
    Reste le scénario qui prend, reconnaissons le, un peu de temps avant de nous submerger dans le trouble et l'émotion, mais l'attente en vaut vraiment la peine.
    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2024
    "May December" du réalisateur Todd Haynes (Carol, Loin du paradis) est une romance dramatique qui finit par s'avérer convaincante. En effet même si l'histoire met du temps à décoller et que je n'ai pas compris toutes les intentions du réalisateur, cette histoire inspirée d'une affaire qui a défrayé la chronique aux Etats Unis (une enseignante a eu une liaison avec son élève de collège) distille savamment son poison évoquant les faux-semblants, la manipulation, le mimétisme avec un trio d'acteurs très bon dans leurs rôles (Natalie Portman, Charles Melton et surtout Julianne Moore injustement snobée par les oscars cette année).
    Joce2012
    Joce2012

    204 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 janvier 2024
    Film inintéressant au possible, scénario confus, malgré la présence de Natalie Portman et Julianne Moore ce film reste très ennuyeux
    jerome S.d.c.
    jerome S.d.c.

    25 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Tout au long du film, une question lancinante ; pourquoi s'intéresser à cette histoire certes bien jouée mais sans relief véritable ni rythme. A découper en morceaux et à passer à la télé, ça mérite pas plus.
    Claudine G
    Claudine G

    203 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2024
    J'avoue qu'analyser les personnages de ce film n'est pas chose aisée. Savoir faire la différence entre le passé et le présent de cette famille demande une philosophie à toute épreuve. Film très bien interprété et le thème à la fois intrigant et horrible (lorsque l'on a comme moi beaucoup de principes) n'est pas inintéressant. Les deux actrices principales jouent très bien leurs rôles, par contre vouloir tirer de cette histoire vécue un film...pas très sympa pour la famille...
    evariste75
    evariste75

    154 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    La présence en chair et en os de Natalie Portman au cinéma du Panthéon rajoute une étoile à la critique ! Véritable cohue au Panthéon, archi-complet, je me suis précipité au Grand Action, connecté par vidéo au Panthéon...

    J'ai adoré Natalie Portman à 13 ans dans Léon, je l'ai détestée dans Sex friends, elle se goinfrait de gâteaux dans un délire orgiaque, en route vers l'obésité...

    J'ai retrouvé dans ce film, et surtout dans ses commentaires in vivo retransmis du Panthéon - merci Telerama ! - une Natalie Portman incroyablement belle, profonde, subtile...

    Film profond, mystérieux, un véritable thriller psychologique à rebours, presque un "cold case"...

    Pour peaufiner don rôle, l'actrice à succès que joue Natalie Portman se mue subrepticement en inspecteur de police...

    Aux yeux de Natalie Portman, elle l'a répété plusieurs fois au cours de l'interview, au risque de s'attirer les foudres des féministes germano-pratins qui étaient légion dans la salle, le détournement de mineur(e) est un crime, y compris quand l'adulte est une femme, ce qui reste en filigrane tout au long du film.

    L'analyse de la domination oppressante qu'exerce Juliane Moore sur son jeune conjoint (Va te doucher ! Enlève-moi ces "bestioles" - les chenilles qui deviendront papillons et seront, à ce titre, libérées, puissante métaphore - ...) vise à montrer qu'il y a quand-même quelque chose de pas normal, de pathologique, dans ce couple "May December".

    "May December" est une expression typiquement américaine qui désigne métaphoriquement un couple avec des âges très différents, printemps de sa vie, hiver...
    Baruch Jorgell
    Baruch Jorgell

    15 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 janvier 2024
    Il y a des films qui donnent tout et tout de suite. Le spectateur n’a pas d’effort à faire, tout est prémâché d’avance. Exit le mystère ! May December n’est pas de cette trempe.
    Une actrice (Natalie Portman) doit interpréter le rôle d’une femme (Julianne Moore), héroïne malheureuse d’un fait-divers qui défraya la chronique. Afin de travailler son rôle, l’actrice va s’immiscer dans la vie de son modèle afin de l’observer.
    Quel est ce fait-divers ? On l’apprendra petit à petit. Inutile de griller toutes les cartouches. L’écriture est une précieuse mécanique.
    De plus en plus, on voit des films où les personnages sont réduits à une fonction, le fameux stéréotype. Pas ici. May December a le bon goût de nous montrer des protagonistes ambigus. Tout est affaire d’apparence. On pense à John Cheever, l’écrivain de la « banlieue américaine ». Un recueil de nouvelles de Cheever porte le titre : « Le ver dans la pomme ». On pourrait appliquer cette formule à May December. Tout est idyllique en façade mais l’arrivée d’un élément extérieur (l’actrice jouée par Portman) va tout dérégler.
    Beaucoup de séquences de miroirs rythment May December : qu’est-ce que l’on a à cacher ? On pense à Douglas Sirk, grand cinéaste des apparences. On pense à Ingmar Bergman (Persona) pour les relations pas toujours cordiales entre les deux femmes. On pense à une sitcom pour certaines répliques absurdes (est-ce qu’il y aura assez de saucisses ?).
    Au milieu de cette relation ambiguë entre les deux femmes, se trouve un homme (Charles Melton) le vrai protagoniste principal. À la fois rassurant mais également perdu tel un petit garçon qui n’a jamais grandi. May Dember raconte également l’histoire d’une renaissance et c’est bouleversant.
    Avec May December, Todd Haynes signe un de ses plus beaux films. Tout simplement sublime.
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2024
    Gracie Atherton (Julianne Moore) et Joe Yoo avaient défrayé la chronique deux décennies plus tôt lorsque leur liaison avait été rendue publique : mariée et déjà mère de trois enfants, Gracie avait à l’époque des faits trente-six ans et Joe, stagiaire dans l’animalerie gérée par Gracie, treize à peine. Vingt-quatre ans plus tard, alors que le tohu-bohu autour de cette affaire est retombé et que Gracie, une fois purgée sa peine de prison, est revenue vivre à Savannah avec Joe et a fondé avec lui une famille, Hollywood s’apprête à tirer de leur histoire hors normes un film. L’actrice Elizabeth Berry (Natalie Portman) se voit confier le rôle de Gracie. Pour préparer le tournage, la production l’a envoyée à Savannah et a obtenu de Gracie qu’elle ouvre à Elizabeth les portes de sa maison.

    Le titre de ce film pourra sembler bien opaque aux non anglophones. Je suis d’ailleurs surpris que les distributeurs français – et encore plus les Québecois – ne l’aient pas traduit. J’ai moi-même dû aller en chercher la signification sur Internet : « A “May-December romance” is when someone in the “May” or “spring” of life (youth) is romantically involved with someone in the “December” or “winter” of life (old age). The saying is from a song, “An Old Man Would Be Wooing,” a ballad from at least 1818 ».

    L’affaire Russier remonte à 1969. On se souvient de cette enseignante de trente ans qui s’était suicidée après avoir été condamnée – à une peine légère de sursis – pour avoir entretenu une relation inappropriée avec son élève de quinze ans. La mémoire collective n’a pas oublié les paroles inhabituellement poétiques que le Président de la République de l’époque avait prononcées à son sujet après sa mort : « Moi, mon remords, ce fut la victime raisonnable au regard d’enfant perdu, celle qui ressemble aux morts qui sont morts pour être aimés. » On pourrait d’ailleurs se demander les réactions wokistes que susciterait aujourd’hui cette réaction qui semble amnistier, au nom de la passion amoureuse, ce détournement de mineur.

    Depuis 1969, les différences d’âge entre les membres de certains couples sont devenues des sujets brûlants. Nul besoin de citer les noms de Brigitte Macron, de Frédéric Beigbeder – qui consacra à ce sujet un livre entier, Oona & Salinger – ou ceux de Judith Godrèche et de Benoît Jacquot. Pour autant, à ma connaissance, aucun film ne s’en est emparé. C’est la principale qualité de "May December", de prendre à bras le corps ce couple improbable et en apparence si mal assorti. Il le fait d’une façon doublement intelligente.

    Premièrement, il ne nous inflige pas un voyeurisme malaisant en évitant de raconter au présent la rencontre des deux amants. Il les montre au contraire vingt-quatre ans plus tard, formant un couple harmonieux et soudé, avec leurs trois enfants : l’aînée a déjà quitté le nid familial et les deux cadets, dont la cérémonie de remise de diplômes marquant la fin de leurs études secondaires approche, sont sur le point de le faire. Cette apparente félicité est la meilleure des défenses face à tous ceux qui doutaient de la sincérité de leur passion. Voire – mais ce point n’est jamais développé dans le film et c’est dommage – il questionne le bien-fondé de la peine de prison qui a été infligée à Gracie.

    Deuxièmement, "May December" ne se borne pas à raconter l’histoire de Gracie. Elle raconte celle d’Elizabeth, la star hollywoodienne chargée d’interpréter son rôle. Le film se dote ainsi d’une couche de complexité supplémentaire. Il n’y est plus seulement question de la différence d’âge entre Gracie et Joe, mais de celle entre Gracie et Elizabeth, qui a l’âge de Gracie au moment de sa rencontre avec Joe… et donc à quelques mois près l’âge de Joe aujourd’hui !

    Il faut ajouter à la finesse de ces deux partis pris deux autres atouts de taille. Le premier est le réalisateur, Todd Haynes, sans doute l’un des plus stimulants du cinéma américain contemporain. Héritier revendiqué de Douglas Sirk, il a signé quelques chefs d’oeuvre : "Carol", "I’m not There", "Loin du paradis"… Sa mise en scène embrasse le parti pris audacieux de ressusciter la patine des films des années 70 avec la musique mythique de Michel Legrand et l’usage aujourd’hui passé de mode des zooms arrière.
    Le second est les deux stars du film. Julianne Moore accompagne depuis près de trente ans Todd Haynes. "Safe" en 1995 l’a révélée autant qu’il l’a révélé. Elle est ici d’une troublante ambiguïté jusqu’au dernier plan du film : femme-enfant naïve et fragile ou femme-mère castratrice ? L’autre star est Natalie Portman dont le rôle, en apparence plus lisse, se révèle tout aussi complexe; car elle aussi révèle lentement une vie sentimentale compliquée.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    36 abonnés 2 367 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Jadis, Gracie fit la une des tabloïds américains en se rendant coupable d'un détournement de (jeune) mineur et en ayant des enfants de lui. Aujourd'hui, l'actrice Elizabeth Berry s'immisce dans leur famille pour y nourrir le rôle de Gracie qu'elle tiendra au cinéma. "May december" est à ce propos une locution anglo-saxonne pour exprimer la différence d'âge dans une relation sentimentale.
    La bonne idée de Todd Haynes est d'avoir piqué la partition musicale de Michel Legrand dans le film de Joseph Losey "Le messager" (ou, selon les références de chacun, la musique de générique de "Faites entrer l'accusé"). Elle introduit du mystère dans ce film qui n'en manque déjà pas. Pour quelle raison Gracie et Joe acceptent-ils la présence chez eux de l'actrice, au risque de réveiller des souvenirs douloureux et d'attirer à nouveau l'attention des médias? je ne sais pas, cela m'a peut-être échappé. Et pourquoi la critique se pâme-t-elle devant cette chronique intimiste, parsemée de symboles traduisant l'identification d'Elizabeth à son modèle, ou reflétant la désormais tranquille (plan-plan?) vie de famille d'un ancien couple vedette de la presse à scandale? Je ne vois pas trop. Peut-être une consonance féministe dans l'air du temps. Ou bien la promesse d'un face-à-face mémorable entre les deux stars Julianne Moore et Natalie Portman.
    Les deux comédiennes ont en effet quelques scènes ensemble mais rien que de très anodin. Le reste du temps, Elizabeth explore les lieux, interroge la famille de Gracie et de Joe et découvre quelques menus secrets. Pas de quoi remplir une feuille de tabloïd ni de faire un film de deux heures. On observe le cheminement courtois et sans éclat de Natalie Portman, qui est le rôle principal et le point de vue du spectateur, et très vite une seule question me taraude: Elizabeth poussera-t-elle l'introjection jusqu'à coucher avec Joe?
    En définitive, dans ce film feutré et neutre, parce que les émotions y sont contenues, aucun des personnages, passé les présentations, ne suscite un réel intérêt ni une quelconque empathie ou antipathie. Leur histoire est indifférente et frôle l'encéphalogramme plat.
    Abus Dangereux
    Abus Dangereux

    49 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2024
    Gracie (Julianne Moore) a défrayé la chronique en ayant eu une liaison avec un tout jeune garçon, Joe (Charles Melton). Plus de vingt après, elle reçoit chez elle Elisabeth (Nathalie Portmann), actrice reconnue, qui va jouer prochainement son rôle dans une fiction et qui pour le préparer, vient la rencontrer ainsi que sa famille. Gracie a connu la prison, a eu trois enfants avec Joe et malgré le temps qui passe, la petite communauté qui entoure la famille se partage entre les bienveillants et les autres, qui ne pardonnent pas cette relation May December (formule qui marque la différence d’âge). Elisabeth va se livrer à une véritable enquête de proximité afin de cerner au mieux Gracie et de choisir un axe à son interprétation (ce que l’on découvrira à la toute dernière scène du film). Les deux femmes vont être dans une méfiance réciproque tout au long du film derrière des amabilités de façade, et vont se donner quelques coups de griffes. Le pauvre Joe, vampirisé par sa femme, sera manipulé par la jeune actrice et son passe temps qui consiste à élever des chenilles en cage jusqu’à leur métamorphose puis de donner leur liberté aux papillons sera la grosse métaphore du film. May December est un vrai drame psychologique avec consentement et acting comme thèmes principaux. C’est superbement interprété, mais Todd Haynes a déjà été plus subtil notamment avec « Carol ».
    Climax
    Climax

    5 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2024
    Todd Haynes nous livre, comme à son habitude, un très beau drame plein de non-dits et de sous-entendus, des personnages complexes qui ne se laissent pas enfermer dans une case. Il risque de déstabiliser plus d'un spectateur. La mise en scène est impeccable, rien de trop, toujours la parfaite recette pour faire monter et descendre le mal-être de ses personnages. Nathalie Portman nous livre une de ses meilleures performances.
    El_galu31
    El_galu31

    88 abonnés 340 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2024
    Le film est bon mais il manque un petit truc qui peu faire la différence
    Mais le duo Portman y Moore marche à merveille
    remyll
    remyll

    188 abonnés 433 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 janvier 2024
    Ayant réservé ce film sans regarder le synopsis au préalable mais confiant puisque la présence de Natalie Portman et de Julianne Moore pouvait laisser à penser que le film serait bon. Grave erreur!!! Le film est d'un ennui quasi abyssal. Dès les quinze premières minutes on se demande ce qu'on fait là, et passé la première heure on regrette juste d'avoir pris un fauteuil au beau milieu de la salle, alors, inexorablement, on s'endort, car le sujet ne m'a vraiment pas intéressé.
    Pourtant le sujet se révèle assez brûlant, et je n'aurais pas dû m'endormir. C'est ma faute apparemment, car nombre de critiques presse trouvent ce film très bon. Dont acte. Mais songez donc, le fond du sujet est en fait assez glauque : il tourne autour d'une femme d'âge mûr qui est tombée amoureuse il y a un bon moment d'un adolescent de 14-15 ans ! Ce n'est pas une blague, elle va même faire de la prison! Ah les Etats-Unis....Vraiment rien de passionnant, non ??? C'est long, prétentieux, empesé, et en fait tout à fait barbant.
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