Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Délicieusement vachard, drôle et tragique.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Faux film mineur, "May December", atteint sa plénitude entre incertitudes de fond et paradoxes formels, il hante, travaille, désarçonne autant qu’il fascine, captive et stimule, pendant et après sa découverte.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Symphonie de regards déroutés et sournois, "May December" est une mise à sac des passions de la bourgeoisie blanche américaine : amabilités exténuantes, sourires cannibales, embrassades suffocantes. Et comme en passant, une bastonnade des cynismes hollywoodiens.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
[...] un chef-d’œuvre tenant de l’art brut camp et donc pur classique hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Magistral.
Télérama
par Louis Guichard
Le cinéaste met en scène la relation ambiguë entre deux femmes, incarnées par Julianne Moore et Natalie Portman, sur fond de scandale passé. Un film magistral et envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Todd Haynes, chef d’orchestre à la présence discrète, a encore signé un beau film tout en délicatesse qui met en valeur ces dames aux talents complémentaires.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Le dixième long-métrage de Todd Haynes est un fascinant portrait de femmes et d’actrices, où les doubles embrasent l’écran. Mais aussi un hommage troublant au cinéma, avec deux joyaux : Natalie Portman et Julianne Moore.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Davantage que pour son morceau de bravoure actoral (la séquence inspirée des Communiants où Elizabeth joue face caméra la lettre d’amour de Gracie à son jeune amant), le film vaut pour son jeu de déconstruction du spectateur, transformé en un infatigable et impressionnable go-between.
Critikat.com
par Alexandre Moussa
May December joue et gagne sur les deux tableaux : l’émotion est d’autant plus forte qu’elle est servie à froid sous un glaçage ironique, tandis que la cruauté excessive de sa satire est tempérée par des sursauts de sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Todd Haynes ne déçoit pas avec cette nouvelle perle aussi cynique qu'intelligente, tandis que Julianne Moore et Natalie Portman brillent dans l'auto-parodie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
Avec Todd Haynes, c’est toujours ainsi : avec talent, humour, finesse, le cinéaste nous balade dans divers genres, soulève quelques questions morales, se délecte des références filmiques glissées çà et là, et s’amuse à dynamiter les conventions sexuelles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Dans son nouveau film, Todd Haynes offre une variation brillante sur les faux-semblants à Julianne Moore et Natalie Portman, dont les personnages sont pris au piège de leurs propres démons.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Sans aucun doute l’un des meilleurs films de son auteur.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
"May December" distille son poison de manière insidieuse dans un récit déviant où il est question de mimétisme, de perversité, de transgression et d'emprise.
Le Monde
par J.-F. R.
May December est l’histoire d’une impitoyable rivalité mimétique, un film incroyablement complexe, traversé d’affects troubles et peuplé de secrets, vrais ou faux, un film qui résonne de façon très inattendue aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Entre drame et comédie de moeurs, le réalisateur de « Carol » invente autour de Julianne Moore et de Natalie Portman un film flamboyant et dérangeant. Aussi singulier qu'obsédant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Dans la lignée de ses précédents films, Todd Haynes s’empare d’un sujet délicat et, polémique pour créer une œuvre dérangeante et toxique. Il parvient à distiller du malaise dans une atmosphère en apparence calme, grâce à une écriture fine et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Si cette fiction singulière et distanciée prend parfois des allures de « pur » exercice de style, elle nous entraîne néanmoins dans son charme vénéneux. Un petit Todd Haynes ? Certes, donc juste un très bon film.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Cheze
Le réalisateur offre un terrain de jeu idéal à Natalie Portman et Julianne Moore, époustouflantes.
Sud Ouest
par Julien Rousset
S’il n’atteint pas les sommets émotionnels de « Carol » ou « Loin du Paradis », Todd Haynes propose une farce brillante, qui navigue librement entre le tragique et le comique, et s'empare avec malice de ce fascinant motif : une actrice jouant une actrice.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On est happé par ce drame labyrinthique en clair-obscur, habité par Natalie Portman et Julianne Moore.
Voici
par La Rédaction
Un fascinant jeu de miroirs entre deux actrices (...).
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Ici, tout se joue dans l’intimité à peine bruyante, emprunte de méfiance et d’hostilité entre deux femmes qui révèlent petit à petit les alcôves sombres et impénétrables de leur personnalité. Proprement fascinant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
L’idée de départ de « May December » est plutôt excitante, le casting parfait, et la mise en scène exquise et drôle portée par la partition retravaillée du « Messager » (1971), signée Michel Legrand. Pourtant, le film de Todd Haynes souffre parfois d'un manque de flamme et de passion.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Mélodrame étouffé, à la fausse légèreté, le onzième film de Todd Haynes explore des thèmes familiers au réalisateur.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un processus assez trouble, finalement. A voir pour l'excellence des interprètes.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Voilà un propos hautement subversif, contrebalancé par une mise en scène discrète et très élégante, trop peut-être, avançant sans avoir l’air d’y toucher. Nous l’aurions sans doute espérée plus charnelle et vénéneuse.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Sur la ligne floue de la vérité et du réel, le scénario de Samy Burch inspiré d’un ,authentique fait divers capture à la fois l’innocence et la perversité d’un amour interdit.
Le Figaro
par V.B.
Un jeu de miroirs qui se veut troublant mais devient pesant à force d'insister sur les regards et les mimétismes entre le modèle original et celle qui va interpréter son rôle, entre Julianne Moore et Natalie Portman. Pourtant, ce face-à-face qui promettait ne convainc pas, nimbé dans une atmosphère étrange mais trop artificielle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le long-métrage de Todd Haynes aurait pu être très réussi s’il ne pêchait par un déséquilibre de casting qui nuit à sa crédibilité : alors que Julianne Moore sidère dans son interprétation époustouflante de l’énigmatique Gracie, Natalie Portman n’atteint jamais le même niveau, ratant totalement le coche au moment où elle devrait se lâcher… Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Cheze
Ce parti pris, des effets de style assumés créent de fait une distance avec ses personnages et limitent la capacité de ce film à se déployer émotionnellement. Mais accompagnées par le thème créé par Michel Legrand pour Le Messager – porteur d’une ironie ludique - Natalie Portman et Julianne Moore s’y déploient, elles, avec finesse et intensité (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
En mélangeant un fait divers à scandale, une réflexion sur le travail d'actrice et un mélodrame décalé, Todd Haynes s'emmêle les pinceaux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
C’est certes du Todd Haynes tout craché, tout en finesse et sentiments cachés. Et pourtant, ce nouvel opus laisse froid comme un exercice de style un peu futile où, finalement, seuls les acteurs et actrices tirent leur épingle du jeu.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par Florence Colombani
Un jeu de miroirs trop classique.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un film à l’intelligence forcément savoureuse mais au récit attendu, presque balisé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
CinemaTeaser
Délicieusement vachard, drôle et tragique.
Culturopoing.com
Faux film mineur, "May December", atteint sa plénitude entre incertitudes de fond et paradoxes formels, il hante, travaille, désarçonne autant qu’il fascine, captive et stimule, pendant et après sa découverte.
Les Inrockuptibles
Symphonie de regards déroutés et sournois, "May December" est une mise à sac des passions de la bourgeoisie blanche américaine : amabilités exténuantes, sourires cannibales, embrassades suffocantes. Et comme en passant, une bastonnade des cynismes hollywoodiens.
Libération
[...] un chef-d’œuvre tenant de l’art brut camp et donc pur classique hollywoodien.
Marie Claire
Magistral.
Télérama
Le cinéaste met en scène la relation ambiguë entre deux femmes, incarnées par Julianne Moore et Natalie Portman, sur fond de scandale passé. Un film magistral et envoûtant.
20 Minutes
Todd Haynes, chef d’orchestre à la présence discrète, a encore signé un beau film tout en délicatesse qui met en valeur ces dames aux talents complémentaires.
Bande à part
Le dixième long-métrage de Todd Haynes est un fascinant portrait de femmes et d’actrices, où les doubles embrasent l’écran. Mais aussi un hommage troublant au cinéma, avec deux joyaux : Natalie Portman et Julianne Moore.
Cahiers du Cinéma
Davantage que pour son morceau de bravoure actoral (la séquence inspirée des Communiants où Elizabeth joue face caméra la lettre d’amour de Gracie à son jeune amant), le film vaut pour son jeu de déconstruction du spectateur, transformé en un infatigable et impressionnable go-between.
Critikat.com
May December joue et gagne sur les deux tableaux : l’émotion est d’autant plus forte qu’elle est servie à froid sous un glaçage ironique, tandis que la cruauté excessive de sa satire est tempérée par des sursauts de sincérité.
Ecran Large
Todd Haynes ne déçoit pas avec cette nouvelle perle aussi cynique qu'intelligente, tandis que Julianne Moore et Natalie Portman brillent dans l'auto-parodie.
L'Obs
Avec Todd Haynes, c’est toujours ainsi : avec talent, humour, finesse, le cinéaste nous balade dans divers genres, soulève quelques questions morales, se délecte des références filmiques glissées çà et là, et s’amuse à dynamiter les conventions sexuelles.
La Croix
Dans son nouveau film, Todd Haynes offre une variation brillante sur les faux-semblants à Julianne Moore et Natalie Portman, dont les personnages sont pris au piège de leurs propres démons.
La Septième Obsession
Sans aucun doute l’un des meilleurs films de son auteur.
Le Journal du Dimanche
"May December" distille son poison de manière insidieuse dans un récit déviant où il est question de mimétisme, de perversité, de transgression et d'emprise.
Le Monde
May December est l’histoire d’une impitoyable rivalité mimétique, un film incroyablement complexe, traversé d’affects troubles et peuplé de secrets, vrais ou faux, un film qui résonne de façon très inattendue aujourd’hui.
Les Echos
Entre drame et comédie de moeurs, le réalisateur de « Carol » invente autour de Julianne Moore et de Natalie Portman un film flamboyant et dérangeant. Aussi singulier qu'obsédant.
Les Fiches du Cinéma
Dans la lignée de ses précédents films, Todd Haynes s’empare d’un sujet délicat et, polémique pour créer une œuvre dérangeante et toxique. Il parvient à distiller du malaise dans une atmosphère en apparence calme, grâce à une écriture fine et sensible.
Marianne
Si cette fiction singulière et distanciée prend parfois des allures de « pur » exercice de style, elle nous entraîne néanmoins dans son charme vénéneux. Un petit Todd Haynes ? Certes, donc juste un très bon film.
Ouest France
Le réalisateur offre un terrain de jeu idéal à Natalie Portman et Julianne Moore, époustouflantes.
Sud Ouest
S’il n’atteint pas les sommets émotionnels de « Carol » ou « Loin du Paradis », Todd Haynes propose une farce brillante, qui navigue librement entre le tragique et le comique, et s'empare avec malice de ce fascinant motif : une actrice jouant une actrice.
Télé 7 Jours
On est happé par ce drame labyrinthique en clair-obscur, habité par Natalie Portman et Julianne Moore.
Voici
Un fascinant jeu de miroirs entre deux actrices (...).
aVoir-aLire.com
Ici, tout se joue dans l’intimité à peine bruyante, emprunte de méfiance et d’hostilité entre deux femmes qui révèlent petit à petit les alcôves sombres et impénétrables de leur personnalité. Proprement fascinant.
CNews
L’idée de départ de « May December » est plutôt excitante, le casting parfait, et la mise en scène exquise et drôle portée par la partition retravaillée du « Messager » (1971), signée Michel Legrand. Pourtant, le film de Todd Haynes souffre parfois d'un manque de flamme et de passion.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mélodrame étouffé, à la fausse légèreté, le onzième film de Todd Haynes explore des thèmes familiers au réalisateur.
Femme Actuelle
Un processus assez trouble, finalement. A voir pour l'excellence des interprètes.
La Voix du Nord
Voilà un propos hautement subversif, contrebalancé par une mise en scène discrète et très élégante, trop peut-être, avançant sans avoir l’air d’y toucher. Nous l’aurions sans doute espérée plus charnelle et vénéneuse.
Le Dauphiné Libéré
Sur la ligne floue de la vérité et du réel, le scénario de Samy Burch inspiré d’un ,authentique fait divers capture à la fois l’innocence et la perversité d’un amour interdit.
Le Figaro
Un jeu de miroirs qui se veut troublant mais devient pesant à force d'insister sur les regards et les mimétismes entre le modèle original et celle qui va interpréter son rôle, entre Julianne Moore et Natalie Portman. Pourtant, ce face-à-face qui promettait ne convainc pas, nimbé dans une atmosphère étrange mais trop artificielle.
Le Parisien
Le long-métrage de Todd Haynes aurait pu être très réussi s’il ne pêchait par un déséquilibre de casting qui nuit à sa crédibilité : alors que Julianne Moore sidère dans son interprétation époustouflante de l’énigmatique Gracie, Natalie Portman n’atteint jamais le même niveau, ratant totalement le coche au moment où elle devrait se lâcher… Dommage.
Première
Ce parti pris, des effets de style assumés créent de fait une distance avec ses personnages et limitent la capacité de ce film à se déployer émotionnellement. Mais accompagnées par le thème créé par Michel Legrand pour Le Messager – porteur d’une ironie ludique - Natalie Portman et Julianne Moore s’y déploient, elles, avec finesse et intensité (...).
Franceinfo Culture
En mélangeant un fait divers à scandale, une réflexion sur le travail d'actrice et un mélodrame décalé, Todd Haynes s'emmêle les pinceaux.
L'Humanité
C’est certes du Todd Haynes tout craché, tout en finesse et sentiments cachés. Et pourtant, ce nouvel opus laisse froid comme un exercice de style un peu futile où, finalement, seuls les acteurs et actrices tirent leur épingle du jeu.
Le Point
Un jeu de miroirs trop classique.
Paris Match
Un film à l’intelligence forcément savoureuse mais au récit attendu, presque balisé.