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À trop jouer la boiterie, le « plaisir d’être volé » s’étiole, et A E I O U laisse transparaître un vernis faux-vrai chic au goût âpre. C’est par un curieux mélange de noirceur et de purs gestes pop que Krebitz renoue in extremis avec le charme premier de l’inconséquence, moteur honnête – quoique un brin naïf – de cet alphabet de l’amour.
À la fois conceptuelle et cocasse, cette romance zigzague de manière originale et audacieuse, de Berlin à la Côte d’Azur, où le couple fait les quatre cents coups. À l’unisson, les comédiens composent un joli ballet sentimental, ludique et libre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Lorgnant une légèreté à la Lubitsch, le film n’échappe pas complètement à la superficialité. La faute d’une part à des jongleries scénaristiques fleurant la crise d’inspiration, de l’autre à une forme trop lustrée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Remarquablement interprété par Sophie Rois, ce film prenant souffre cependant de maladresses qui en abime quelque peu l’intensité, à commencer par l’écriture de la voix off compliquant inutilement un récit qui ne nécessitait aucun artifice pour le renforcer.
La critique complète est disponible sur le site Première
L’intrigue, invraisemblable, nous promène de Berlin à Nice. Les deux personnages, assez antipathiques, n’évitent pas le ridicule, et la réalisation est passablement lourde et bavarde.
Cahiers du Cinéma
À trop jouer la boiterie, le « plaisir d’être volé » s’étiole, et A E I O U laisse transparaître un vernis faux-vrai chic au goût âpre. C’est par un curieux mélange de noirceur et de purs gestes pop que Krebitz renoue in extremis avec le charme premier de l’inconséquence, moteur honnête – quoique un brin naïf – de cet alphabet de l’amour.
Télérama
À la fois conceptuelle et cocasse, cette romance zigzague de manière originale et audacieuse, de Berlin à la Côte d’Azur, où le couple fait les quatre cents coups. À l’unisson, les comédiens composent un joli ballet sentimental, ludique et libre.
aVoir-aLire.com
Une comédie de mœurs charmante et agréable, qui se laisse regarder malgré quelques failles de scénario.
Le Monde
Lorgnant une légèreté à la Lubitsch, le film n’échappe pas complètement à la superficialité. La faute d’une part à des jongleries scénaristiques fleurant la crise d’inspiration, de l’autre à une forme trop lustrée.
Première
Remarquablement interprété par Sophie Rois, ce film prenant souffre cependant de maladresses qui en abime quelque peu l’intensité, à commencer par l’écriture de la voix off compliquant inutilement un récit qui ne nécessitait aucun artifice pour le renforcer.
Les Fiches du Cinéma
L’intrigue, invraisemblable, nous promène de Berlin à Nice. Les deux personnages, assez antipathiques, n’évitent pas le ridicule, et la réalisation est passablement lourde et bavarde.