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defleppard
382 abonnés
3 375 critiques
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2,5
Publiée le 29 septembre 2006
Un bon polar à la francaise. Réalisation efficace avec des sc7nes de tir facon John Woo. Bon jeu d'acteur de Richard Berry et de Pascal Greggory. Efficace dans l'ensemble malgré quelques faiblesses de la part du scénario.
Bon petit thriller sympathique sans prétention, Un Ange est réalisé par Miguel Courtois (qui persévérera dans le thriller avec El Lobo et G.A.L.). Tourné dans la ville de Marseille, le film évite les clichés provinciaux et autres lourdeurs qui pourraient nuire à l'authenticité du métrage, ce qui ne l'empêche pourtant pas de copier allégrement ses prédécesseurs américains : plans à la John Woo, vendetta surenchérie, flic désabusé mais impitoyable, mère adoptive des bad guys aveugle mais voyante, etc... Mais sans forcément devenir culte, Un Ange parvient à nous tenir suffisamment en haleine à grands coups de gun fights léchés et de tension palpable pour demeure un film d'action tricolore convenable, violent et bien mené par un Richard Berry sous tension. À découvrir donc.
Une bonne grosse daube française qui essaie de faire du états-unien, avec tous les clichés... A se demander si les acteurs pourtant de renommés lisent le scénar ou bien s'ils font confiance aveuglément au réalisateur. Enfin tout y est : poursuite en voiture, mamie X-files, la scène improbable où les opposés/ants s'attirent, Willis-Rambo...
Sur le papier le pitch aurait pu donner quelques chose sauf que là c'est réalisé avec des moufles et que les incohérences s'amoncellent, Le real nous fait des grand effets, du zoom, de la grue, des pano, comme si le fait de savoir manipuler sa caméra suffisait à faire du bon cinéma. C'est prétentieux, emprunt d'un mysticisme bizarroïde avec voyante aveugle, apparition angélique, et final en mode ange exterminateur (pas celui de Buñuel, celui de la bible). Côté direction d'acteurs, si Zylberstein, Berry et Lecoq s'en sortent, Pascal Gregory nous pond une prestation calamiteuse, quant à Nicolas Siberg (de la comédie française, s'il vous plait) il ne se donne même pas la peine de jouer.spoiler: A sauver la scène d'amour sur le camion .
Je me suis revisionné le film pour la seconde fois depuis sa sortie et je dois dire que c'est efficace, bien fait, et surtout excellemment interprété par Richard Berry, Elsa Zylberstein, Pascal Gréggory et Vincent Martinez, assurément les grands atouts de ce film. Mais le rôle de Pascal Demolon ma bien fait rire, ce faux méchant au coeur tendre et maladroit, cela confirme se que je pense de lui, il va devenir un grand acteur je lui souhaite en tout cas...
Où se trouve la frontière entre parodie et intention ? Avec Un ange, on flotte en permanence entre le second degré (polar américain musclé sauce frenchy) et le premier degré (intrigue parfois un peu tirée par les cheveux). Finalement, l'impression générale du film est plus que bonne. L'image est soignée, le décor bien choisi et les acteurs sont à fond dans leur personnage. Mention spéciale pour Pascal Greggory en gangster cinq étoiles. Son jeu en finesse est très réussi. Quant à Berry et Le Coq, s'ils ne dénotent pas de leurs compositions habituelles, ils n'en sont pas moins très efficaces. Autre coup de chapeau au magnifique Vincent Martinez qui porte vraiment la gueule de l'ange... Un film à voir quand même et qui laisse un arrière-goût de reviens-y...
Certes, c'est un peu grandiloquent, se voulant grand film américain tendance "Le parrain", ce qu'il n'est évidemment pas. Mais aucune raison de bouder son plaisir. C'est efficace, bien fait, et surtout excellemment interprété par Richard Berry, Elsa Zylberstein, Pascal Gréggory et Vincent Martinez, assurément les grands atouts de ce film.
Bon petit thriller sympathique, ce film est agréable à regarder bien quil pompe allégrement ses prédécesseurs américains : plans à la John Woo, vendetta surenchérie, flic impitoyable et désabusé, mère des bad guys aveugle mais voyante, etc Sinon, jaime également ce film parce quil a été tourné à Marseille (représente !) et parce que feu-mon père y tient un tout petit rôle (le médecin légiste blond à droite de Vincent Martinez mort)
Rien de bien intéressant dans ce film, une série B (C?) assez banale en somme. Ni le scénario, ni les acteurs ne remontent le niveau. Eventuellement à voir un après-midi de congé en semaine, à la place des feux de l' amour ou de Derrick, pendant le ménage ou la vaisselle.
C'est mauvais. Rien ne va. Le scénario est bancal, ou kanmise en scène est médiocre ou les acteurs jouent mal, mais au final, on ne croit pas a cet enchaînement d'evenement improbable. Berry et zylberstein sont particulièrement peu crédibles. Au final un nanar boursouflé et grotesque. J'ai lâché au bout d' une heure 20. Ce qui est rare.