Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
(...) cette adaptation d'un manga japonais est un bijou d'animation, dont le côté mal poli assumé ne constitue pas la moindre de ses qualités.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Coloré, ensoleillé, chaleureux et rythmé : Anzu combine les caractéristiques de l’animé traditionnel, où l’expression des sentiments est exagérée, à la beauté d’un décor qui oscille entre l’estampe japonaise et l’ultra-réalisme teinté de pastels.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Closer
par V.C.
À la fois serviable, généreux, capricieux et imprévisible, ce griffu garde une certaine distance vis-à-vis des humains, mais leur ressemble finalement beaucoup.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Avec son chat plus humain que les hommes, Anzu, chat-fantôme est une très belle variation sur la rencontre entre l’enfance et le monde surnaturel.
Femme Actuelle
par La rédaction
Un charmant petit conte, drôle, dépaysant, graphiquement séduisant, et pas dénué de sens. Que du bonheur !
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Malgré son scénario piochant allégrement dans le genre du fantastique (on y explore notamment le royaume des morts), c’est le naturel qui domine dans le film.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Anzu, chat-fantôme livre aussi, à travers les mots de ses deux héros magnifiques et de personnages puissants, son flot de très jolis messages sur le deuil et les moyens d’avancer lorsqu’une tragédie familiale vous touche au plus jeune âge. Le tout illustré par une très belle et réussie charte graphique en 2D… Étonnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Une délicieuse fable sur la pré-adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par A.P.
Ce rendu inhabituel trouve sa raison d'être dans un dernier acte galvanisant.
Première
par Sylvestre Picard
Vous faites comme vous voulez, mais on préfère mille fois avoir Anzu comme patronus que toutes les nouvelles Emotions que Pixar pourrait nous pondre. Anzu vit désormais dans nos têtes, et sans payer de loyer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Déborah Lechner
Malgré quelques qualités indéniables (notamment esthétiques), on retiendra surtout Anzu, chat-fantôme pour sa production inhabituelle qui, on l’espère, ouvrira la voie à d’autres collaborations du genre entre la France et le Japon.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ce film d’animation un rien trop doux dans son trait assume sa causticité, son bordel joyeux, sa profusion d’idées visuelles. Et déploie une réflexion cruelle sur l’entrée dans le monde des adultes d’ados pas toujours prêts à dire adieu à l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Adaptée du manga éponyme, cette comédie souffre au départ de son rythme lent et de son enjeu dramatique indéfini, mais heureusement s’emballe en basculant dans le fantastique dans une deuxième partie revigorante et passionnante, ancrée dans la croyance animiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par V. Cau.
L’occasion est trop belle pour prendre la poudre d’escampette, et rompre avec la plaisante et poétique lenteur dans laquelle le film avait trouvé son rythme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Arnaud Combe
Oscillant constamment entre prosaïsme et onirisme, harmonie et chaos, Anzu, chat-fantôme semble tout entier conçu comme une mise en pratique de ce principe chancelant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Colliaux
Animé à partir d’images réelles, le récit d’initiation japonais reste trop mignonnet pour être original.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Ce personnage du folklore japonais et Karin, cousine nippone de Fifi Brindacier, sont les héros insolites de ce conte joyeux, abrasif et un peu âpre sur l'enfance malmenée.
Télérama
par Cécile Mury
Un joli dessin animé japonais, qui s’égare parfois, où les divinités enchantent le quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
C’est lorsque chacun devient vraiment félin pour l’autre que le film exploite davantage son potentiel, marchant cette fois sur les brisées du Voyage de Chihiro pour accéder à une autre dimension.
Critikat.com
par Thomas Grignon
À rebours de son originalité d’apparat, le film se fond dans plusieurs académismes du cinéma d'animation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par O.D.
L’animation lorgne tantôt du côté de l’occident, tantôt du côté de Mon Voisin Totoro. Cela pourrait être un atout. C’est en réalité un inconvénient, car assez rapidement, on se désintéresse de la quête initiatique de l’héroïne. Surtout, on finit par trouver le chat Anzu très agaçant !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Eithne O'Neill
Il manque une caractérisation adéquate des personnages, surtout du chat ingrat, comme un sentiment d'initiation accomplie des humains. Même les voyous sont peu attachants ; dommage pour les couleurs pastel et les jolis détails.
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Anzu va entraîner la jeune fille dans des aventures peuplées de créatures grotesques et d'esprits facétieux qui évoquent inévitablement l'univers panthéiste de Miyazaki, sans toutefois en avoir la force narrative et émotionnelle.
Ouest France
(...) cette adaptation d'un manga japonais est un bijou d'animation, dont le côté mal poli assumé ne constitue pas la moindre de ses qualités.
CinemaTeaser
Coloré, ensoleillé, chaleureux et rythmé : Anzu combine les caractéristiques de l’animé traditionnel, où l’expression des sentiments est exagérée, à la beauté d’un décor qui oscille entre l’estampe japonaise et l’ultra-réalisme teinté de pastels.
Closer
À la fois serviable, généreux, capricieux et imprévisible, ce griffu garde une certaine distance vis-à-vis des humains, mais leur ressemble finalement beaucoup.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Avec son chat plus humain que les hommes, Anzu, chat-fantôme est une très belle variation sur la rencontre entre l’enfance et le monde surnaturel.
Femme Actuelle
Un charmant petit conte, drôle, dépaysant, graphiquement séduisant, et pas dénué de sens. Que du bonheur !
Le Dauphiné Libéré
Malgré son scénario piochant allégrement dans le genre du fantastique (on y explore notamment le royaume des morts), c’est le naturel qui domine dans le film.
Le Parisien
Anzu, chat-fantôme livre aussi, à travers les mots de ses deux héros magnifiques et de personnages puissants, son flot de très jolis messages sur le deuil et les moyens d’avancer lorsqu’une tragédie familiale vous touche au plus jeune âge. Le tout illustré par une très belle et réussie charte graphique en 2D… Étonnant.
Les Fiches du Cinéma
Une délicieuse fable sur la pré-adolescence.
Mad Movies
Ce rendu inhabituel trouve sa raison d'être dans un dernier acte galvanisant.
Première
Vous faites comme vous voulez, mais on préfère mille fois avoir Anzu comme patronus que toutes les nouvelles Emotions que Pixar pourrait nous pondre. Anzu vit désormais dans nos têtes, et sans payer de loyer.
Ecran Large
Malgré quelques qualités indéniables (notamment esthétiques), on retiendra surtout Anzu, chat-fantôme pour sa production inhabituelle qui, on l’espère, ouvrira la voie à d’autres collaborations du genre entre la France et le Japon.
L'Obs
Ce film d’animation un rien trop doux dans son trait assume sa causticité, son bordel joyeux, sa profusion d’idées visuelles. Et déploie une réflexion cruelle sur l’entrée dans le monde des adultes d’ados pas toujours prêts à dire adieu à l’enfance.
Le Journal du Dimanche
Adaptée du manga éponyme, cette comédie souffre au départ de son rythme lent et de son enjeu dramatique indéfini, mais heureusement s’emballe en basculant dans le fantastique dans une deuxième partie revigorante et passionnante, ancrée dans la croyance animiste.
Le Monde
L’occasion est trop belle pour prendre la poudre d’escampette, et rompre avec la plaisante et poétique lenteur dans laquelle le film avait trouvé son rythme.
Les Inrockuptibles
Oscillant constamment entre prosaïsme et onirisme, harmonie et chaos, Anzu, chat-fantôme semble tout entier conçu comme une mise en pratique de ce principe chancelant.
Libération
Animé à partir d’images réelles, le récit d’initiation japonais reste trop mignonnet pour être original.
Télé 7 Jours
Ce personnage du folklore japonais et Karin, cousine nippone de Fifi Brindacier, sont les héros insolites de ce conte joyeux, abrasif et un peu âpre sur l'enfance malmenée.
Télérama
Un joli dessin animé japonais, qui s’égare parfois, où les divinités enchantent le quotidien.
Cahiers du Cinéma
C’est lorsque chacun devient vraiment félin pour l’autre que le film exploite davantage son potentiel, marchant cette fois sur les brisées du Voyage de Chihiro pour accéder à une autre dimension.
Critikat.com
À rebours de son originalité d’apparat, le film se fond dans plusieurs académismes du cinéma d'animation.
Le Figaro
L’animation lorgne tantôt du côté de l’occident, tantôt du côté de Mon Voisin Totoro. Cela pourrait être un atout. C’est en réalité un inconvénient, car assez rapidement, on se désintéresse de la quête initiatique de l’héroïne. Surtout, on finit par trouver le chat Anzu très agaçant !
Positif
Il manque une caractérisation adéquate des personnages, surtout du chat ingrat, comme un sentiment d'initiation accomplie des humains. Même les voyous sont peu attachants ; dommage pour les couleurs pastel et les jolis détails.
Télé Loisirs
Anzu va entraîner la jeune fille dans des aventures peuplées de créatures grotesques et d'esprits facétieux qui évoquent inévitablement l'univers panthéiste de Miyazaki, sans toutefois en avoir la force narrative et émotionnelle.