Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Venue des arts plastiques, la cinéaste compose une toile baroque, traversée de visions discrètement cosmiques, à partir de cette boue noire qui semble coller aux pieds de ses personnages. Et s’impose, en un mystérieux équilibre de douceur et d’insolence, parmi les plus belles promesses du cinéma fantastique contemporain.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet & Olivier Rossignot
Puissant et dévastateur, ce galop d’essai âpre et incarné fourmille de visions inoubliables et aucunement vaines. She Will titille la rétine et retourne les sens, constitue un véritable choc doublé de la révélation d’une cinéaste à suivre de très près.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Mad Movies
par François Cau
She Will saisit par sa forme volatile, sa capacité à glacer, émouvoir, déconcerter d'une scène à l'autre, dans une stimulation sensorielle permanente.
Ouest France
par La Rédaction
Un film de genre envoûtant et plastiquement sublime.
Ecran Large
par La rédaction
Malgré ses défauts, c'est pourtant lorsqu'il assume son regard sur un star-system très moderne que She Will est le plus intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Charlotte Colbert signe un récit fantastique sombre et joliment mis en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
À bien des égards, She Will cristallise les critiques souvent adressées à l’elevated horror, ce mouvement de fond du cinéma d’épouvante contemporain qui entend désenclaver le genre de ses racines bis et branchées sur courant alternatif. Reste son sujet de fond, salutaire et pour sa part bien mené, qui rend ce beau film fragile un peu plus robuste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Un voyage aussi déstabilisant que troublant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Ambitieux à l’image des scénarios imaginés jadis – et primés – par Charlotte Colbert, She Will surfe intelligemment et avec une vraie personnalité sur le phénomène #MeToo, sans jamais oublier son propos de base : transir, déranger.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Frédéric Strauss
Sur le thème de l’emprise, qui réunit l’imaginaire du cinéma fantastique et la violence masculine bien réelle, voilà un voyage qui séduit. On y croise, certes, d’incontournables sorcières, mais l’originalité reste vive, comme la sincérité de l’inspiration. Derrière la caméra, une artiste plasticienne est à l’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Trop de circonvolutions nuisent à une histoire forte, aux résonances très contemporaines.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Ecran Fantastique
par Jérémie Oro
Le film donne ainsi souvent l'impression de se reposer sur des facilités de mise en scène pour faire avancer son intrigue, finalement assez banale pour ce qui est de la dénonciation de la toxicité masculine et des rapports de domination entre réalisateurs et jeunes actrices.
L'Obs
par N. S.
Ce cauchemar horrifico-féministe en est une preuve, #MeToo ne produit pas que du bon.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Résolument féministe, le récit dénonce l’emprise du patriarcat tout en s’appuyant sur le folklore local, en dépit d’un rythme irrégulier.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Hélas, l’histoire paraît longue, alors que le générique de fin n’intervient qu’au bout d’une heure et demie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marius Chapuis
Dans ces trop rares instants, les plans de She Will, aussi soigneusement apprêtés que son héroïne, laissent entrer de la vie, des émotions. Ce qui rend d’autant plus frustrante la manière dont le film s’enivre de sa propre esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par M. Jo.
Singeant une puissance plastique et une folie narrative qui lui font défaut, She Will s’en tient à respecter scolairement son cahier des charges, celui d’une elevated horror (qu’on peut traduire par « film d’horreur art et essai ») saupoudrée de féminisme bon teint.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
Venue des arts plastiques, la cinéaste compose une toile baroque, traversée de visions discrètement cosmiques, à partir de cette boue noire qui semble coller aux pieds de ses personnages. Et s’impose, en un mystérieux équilibre de douceur et d’insolence, parmi les plus belles promesses du cinéma fantastique contemporain.
Culturopoing.com
Puissant et dévastateur, ce galop d’essai âpre et incarné fourmille de visions inoubliables et aucunement vaines. She Will titille la rétine et retourne les sens, constitue un véritable choc doublé de la révélation d’une cinéaste à suivre de très près.
Mad Movies
She Will saisit par sa forme volatile, sa capacité à glacer, émouvoir, déconcerter d'une scène à l'autre, dans une stimulation sensorielle permanente.
Ouest France
Un film de genre envoûtant et plastiquement sublime.
Ecran Large
Malgré ses défauts, c'est pourtant lorsqu'il assume son regard sur un star-system très moderne que She Will est le plus intéressant.
Les Fiches du Cinéma
Charlotte Colbert signe un récit fantastique sombre et joliment mis en scène.
Les Inrockuptibles
À bien des égards, She Will cristallise les critiques souvent adressées à l’elevated horror, ce mouvement de fond du cinéma d’épouvante contemporain qui entend désenclaver le genre de ses racines bis et branchées sur courant alternatif. Reste son sujet de fond, salutaire et pour sa part bien mené, qui rend ce beau film fragile un peu plus robuste.
Première
Un voyage aussi déstabilisant que troublant.
Rolling Stone
Ambitieux à l’image des scénarios imaginés jadis – et primés – par Charlotte Colbert, She Will surfe intelligemment et avec une vraie personnalité sur le phénomène #MeToo, sans jamais oublier son propos de base : transir, déranger.
Télérama
Sur le thème de l’emprise, qui réunit l’imaginaire du cinéma fantastique et la violence masculine bien réelle, voilà un voyage qui séduit. On y croise, certes, d’incontournables sorcières, mais l’originalité reste vive, comme la sincérité de l’inspiration. Derrière la caméra, une artiste plasticienne est à l’œuvre.
CinemaTeaser
Trop de circonvolutions nuisent à une histoire forte, aux résonances très contemporaines.
L'Ecran Fantastique
Le film donne ainsi souvent l'impression de se reposer sur des facilités de mise en scène pour faire avancer son intrigue, finalement assez banale pour ce qui est de la dénonciation de la toxicité masculine et des rapports de domination entre réalisateurs et jeunes actrices.
L'Obs
Ce cauchemar horrifico-féministe en est une preuve, #MeToo ne produit pas que du bon.
Le Journal du Dimanche
Résolument féministe, le récit dénonce l’emprise du patriarcat tout en s’appuyant sur le folklore local, en dépit d’un rythme irrégulier.
Le Parisien
Hélas, l’histoire paraît longue, alors que le générique de fin n’intervient qu’au bout d’une heure et demie.
Libération
Dans ces trop rares instants, les plans de She Will, aussi soigneusement apprêtés que son héroïne, laissent entrer de la vie, des émotions. Ce qui rend d’autant plus frustrante la manière dont le film s’enivre de sa propre esthétique.
Le Monde
Singeant une puissance plastique et une folie narrative qui lui font défaut, She Will s’en tient à respecter scolairement son cahier des charges, celui d’une elevated horror (qu’on peut traduire par « film d’horreur art et essai ») saupoudrée de féminisme bon teint.