Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de « Tamara » confirme ici qu’il sait capter et restituer la force vive de la jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
L'école est à nous fourmille de situations réjouissantes, qui pourraient nourrir des réflexions sur la refonte de l’enseignement, comme la séquence où sont expliquées la théorie des jeux, l’importance toute relative de la notation, celle, fondamentale, de la confiance en soi ou la notion de flow favorable à l’apprentissage et au bien-être de chacun.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Monde
par J. Ma.
Cette dialectique de l’idéalisme et du réalisme, de l’enchantement et de la désillusion, de la comédie et du drame, droit héritée de Frank Capra, Alexandre Castagnetti la distribue avec talent. C’est elle qui rend son film si plaisant et, en même temps, propice à la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
À 41 ans Sarah Suco, révélée comme réalisatrice dans « Les éblouis », où elle racontait son enfance dans une secte, porte cette comédie sociale qui lui permet de décrocher son premier premier rôle, amplement mérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 2 semaines
par Philomène Durand
Le jeu sensible et nuancé de Sarah Suco est en parfaite adéquation avec la complexité et la fragilité de son personnage: une femme qui aime vraiment enseigner.
L'Obs
par X. L.
Souvent drôle et formidablement interprété (mention spéciale à Sarah Suco), le film de l’auteur de « la Colle » vise juste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Un vivifiant plaidoyer pour une école apte à accompagner les choix et épanouissements individuels, porté par l’interprétation de Sarah Suco, dont la spontanéité fait écho aux interprétations de ces adolescents en quête d’eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Alexandre Castagnetti fait le récit d’une belle utopie. Pour autant, il n’omet jamais de rappeler la dure réalité scolaire.
Télé Loisirs
par Philomène Durand
Le jeu sensible et nuancé de Sarah Suco est en parfaite adéquation avec la complexité et la fragilité de son personnage.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le premier long métrage d’Alexandre Castagnetti se situe, lui, en tête de classe grâce à la qualité d’écriture de ses dialogues, à des personnages qui, pour la plupart, dépassent les clichés, et à une vision de l’enseignement résolument positive sans tomber dans l’angélisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si cette comédie scolaire – dans tous les sens du terme – coche toutes les cases du genre, son message sur l’épanouissement personnel au détriment du formatage peut séduire, d’autant qu’elle est sympathique et portée par de bons comédiens, Sarah Suco en tête.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par La Rédaction
Un film attachant mais ses belles intentions finissent par se perdre dans un trop-plein de sensiblerie.
Première
par Thierry Chèze
Solidement interprété, rythmé, L’Ecole est à nous perd cependant de son impact à cause d’un trop plein de bonnes intentions.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Propos louable, mais démonstration sans surprise et peu convaincante. On a même droit à un parallèle entre collège et dictature (sic). Ça doit être pour rire.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par O.D.
Laissons à l'enfant-roi le droit de révolutionner l'Éducation nationale, tellement arriérée : tel est le message simpliste de ce film bourré de clichés et de certitudes pseudo-bien pensantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Le réalisateur de « Tamara » confirme ici qu’il sait capter et restituer la force vive de la jeunesse.
Bande à part
L'école est à nous fourmille de situations réjouissantes, qui pourraient nourrir des réflexions sur la refonte de l’enseignement, comme la séquence où sont expliquées la théorie des jeux, l’importance toute relative de la notation, celle, fondamentale, de la confiance en soi ou la notion de flow favorable à l’apprentissage et au bien-être de chacun.
Le Monde
Cette dialectique de l’idéalisme et du réalisme, de l’enchantement et de la désillusion, de la comédie et du drame, droit héritée de Frank Capra, Alexandre Castagnetti la distribue avec talent. C’est elle qui rend son film si plaisant et, en même temps, propice à la réflexion.
Le Parisien
À 41 ans Sarah Suco, révélée comme réalisatrice dans « Les éblouis », où elle racontait son enfance dans une secte, porte cette comédie sociale qui lui permet de décrocher son premier premier rôle, amplement mérité.
Télé 2 semaines
Le jeu sensible et nuancé de Sarah Suco est en parfaite adéquation avec la complexité et la fragilité de son personnage: une femme qui aime vraiment enseigner.
L'Obs
Souvent drôle et formidablement interprété (mention spéciale à Sarah Suco), le film de l’auteur de « la Colle » vise juste.
La Croix
Un vivifiant plaidoyer pour une école apte à accompagner les choix et épanouissements individuels, porté par l’interprétation de Sarah Suco, dont la spontanéité fait écho aux interprétations de ces adolescents en quête d’eux-mêmes.
Télé 7 Jours
Alexandre Castagnetti fait le récit d’une belle utopie. Pour autant, il n’omet jamais de rappeler la dure réalité scolaire.
Télé Loisirs
Le jeu sensible et nuancé de Sarah Suco est en parfaite adéquation avec la complexité et la fragilité de son personnage.
Télérama
Le premier long métrage d’Alexandre Castagnetti se situe, lui, en tête de classe grâce à la qualité d’écriture de ses dialogues, à des personnages qui, pour la plupart, dépassent les clichés, et à une vision de l’enseignement résolument positive sans tomber dans l’angélisme.
Le Journal du Dimanche
Si cette comédie scolaire – dans tous les sens du terme – coche toutes les cases du genre, son message sur l’épanouissement personnel au détriment du formatage peut séduire, d’autant qu’elle est sympathique et portée par de bons comédiens, Sarah Suco en tête.
Ouest France
Un film attachant mais ses belles intentions finissent par se perdre dans un trop-plein de sensiblerie.
Première
Solidement interprété, rythmé, L’Ecole est à nous perd cependant de son impact à cause d’un trop plein de bonnes intentions.
La Voix du Nord
Propos louable, mais démonstration sans surprise et peu convaincante. On a même droit à un parallèle entre collège et dictature (sic). Ça doit être pour rire.
Le Figaro
Laissons à l'enfant-roi le droit de révolutionner l'Éducation nationale, tellement arriérée : tel est le message simpliste de ce film bourré de clichés et de certitudes pseudo-bien pensantes.