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    Le Tigre et le Président
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    Yves G.
    Yves G.

    1 481 abonnés 3 497 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 octobre 2022
    Inconnu du public, Paul Deschanel, qui présidait la Chambre des députés depuis 1912, souffle en janvier 1920 la présidence de la République à Georges Clémenceau, le « Tigre », auréolé de la gloire de la Victoire, mais fragilisé par les nombreuses inimitiés que sa personnalité autoritaire a fait naître sur les bancs de droite comme de gauche. Le nouveau Président n’entend pas se cantonner au rôle purement protocolaire auquel la pratique constitutionnelle de la IIIème République condamne le Chef de l’Etat. Mais sa santé fragile et sa chute accidentelle en mai 1920 du train qui l’emmenait à Montrbrison en déplacement officiel l’obligeront à démissionner sept mois plus tard.

    Mais quelle mouche a donc piqué Jean-Marc Peyrefitte pour consacrer son premier film à l’un des Présidents de la république les plus éphémères de notre histoire (le mandant de Jaen Casimir-Périer en 1894-1895 fut plus bref encore) dont la seule trace marquante qu’il ait laissé dans l’histoire fut sa chute ridicule du train de Montbrison ? Une sorte d’Alain Poher en plus maigre….

    Le réalisateur dit avoir voulu faire le portrait d’un « perdant magnifique ». Pourquoi pas ? Mais il le fait au prix de tant de libertés avec la réalité historique que sa méticuleuse reconstitution en perd toute authenticité. Ainsi Deschanel est-il présenté dès la première scène comme un opposant au Traité de Versailles dont il aurait critiqué les conditions trop rigoureuses faites à l’Allemagne et pressenti qu’elles porteraient en germe un nouveau conflit mondial. En fait, s’il était hostile au traité, c’est parce que, favorable à une ligne dure contre l’Allemagne, il en jugeait les stipulations trop peu contraignantes. Lorsque la Ruhr se soulève en mars 1920, il critique le gouvernement d’Alexandre Millerand non pas pour la dureté de sa réaction mais au contraire pour sa modération.

    Paul Deschanel est présenté dans ce film comme un esprit progressiste qui a défendu des réformes en avance sur son temps : le droit de vote des femmes, l’abolition de la peine de mort…. Il est exact qu’il était favorable à l’abolition de la peine capitale (Clémenceau l’était aussi d’ailleurs) ; mais le film se garde bien d’évoquer ses positions moins politiquement correct comme le rétablissement des relations avec le Saint-Siège – qui lui avait valu le soutien de la droite catholique et de l’Action française de Charles Maurras.
    Si Deschanel, comme Casimir-Périer avant lui et Millerand après lui, avait espéré restaurer la fonction présidentielle, il est inimaginable qu’il se fut permis – et que le Président du Conseil lui eut permis – d’exclure un ministre d’une séance du Conseil des ministres comme une scène du film le laisse penser. L’expression « inaugurer les chrysanthèmes » que le scénario met dans la bouche de Raymond Poincaré lors de l’investiture de Deschanel est un anachronisme.

    Ce qui est le plus gênant dans ce film est ce qui constitue son cœur : la confrontation entre le « tigre » et le « président ». Certes, Deschanel a soufflé l’élection de 1920 à Clémenceau. Mais après sa défaite, Clémenceau se retire de la vie politique. En avril 1920, il part en voyages en Egypte. En septembre, il n’est pas aux Etats-Unis (il ne s’y rendra qu’à l’automne suivant) le jour de la démission de Deschanel mais en France qu’il quitte le lendemain pour Ceylan. Sans doute n’avait-il que peu d’estime pour le président de la République élu contre lui. Pour autant, imaginer le face à face des deux hommes et a fortiori leur duel n’est pas conforme à la réalité historique.

    On me rétorquera qu’il s’agit là de détails qui ne troublent que quelques historiens vétilleux. On n’aurait qu’à moitié raison. Car, si on passe par-dessus les libertés que le film prend avec l’histoire, on ne trouve pas grand-chose pour le sauver. Qu’on ne me parle pas de son interprétation ! André Dussolier m’a en particulier paru caricatural dans le rôle d’un gros chat matois et avide de vengeance. Reste Anne Mouglalis dont la voix m’ensorcele et dont je n’ose pas avouer que les brèves apparitions en mère maquerelle dun bordel dont les décors ont été filmés au premier étage du quai d’Orsay, dans la salle de bains Art déco attenante à la Chambre du Roi, ne m’ont pas laissé de marbre…
    circusstar
    circusstar

    138 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2022
    Un moment d'histoire de France peut être peu connu. Les acteurs sont parfaitement irréprochables cependant il n'y a pas d'enjeu et un manque de rythme qui fait que je me suis ennuyée assez vite.
    Patrice O.
    Patrice O.

    16 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 octobre 2022
    C'est une honte de ramener les politiques à une telle caricature. Deschanel avait certainement endossé un costume trop grand pour lui, il n'en n'est pas moins plein de convictions plus que louables. Quant à Clemenceau, en 1919,il a dramatiquement manqué de vision sur l'avenir, mais il reste l'un des plus grands politiques français de tous les temps. Le ramener à ce qu'on montre ici c'est choquant.
    Lepetitgone
    Lepetitgone

    55 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 septembre 2022
    Quel déception .... Un film long ... Après l'ennui , l'endormissement . La bande annonce faisait penser à un film historique parfois drôle. On ressort de la salle perplexe avec le sentiment d'un beau gâchis. Certaines scènes sont complètement loufoques. En cherchant bien : le décor sauve peut-être le film ?
    Jules
    Jules

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 octobre 2022
    Une étoile, pour la découverte de ce président. Le Belge que je suis ne connaissait pas Monsieur Deschanel. Il est pourtant né à Schaerbeek!

    J'étais à l'avant-première à Bruxelles. J'ai eu plusieurs fois la tentation de quitter la salle avant la fin, mais je me trouvais loin de la sortie. J'ai donc pris sur moi pour subir les tentatives d'humour et les bouffonneries. Entre deux micros siestes.
    Jusque là rien de dramatique. Après tout, les goûts et les couleurs...

    Là où la pilule passe moins bien, c'est que je découvre après la vision, que le scénariste a pris d'énoooooormes libertés avec la réalité. Pourquoi?
    Angélique de Lassus
    Angélique de Lassus

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 septembre 2022
    Un film enrichissant et étonnant, sur un politicien oublié dont je n’avais jamais entendu parler. L’histoire est très romancée mais les idées principales sont le reflet d’une réalité surprenante. Les acteurs sont bons, les décors sont beaux, le film n’est pas trop long. Bravo !
    levirois
    levirois

    4 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2022
    Au départ j'avais un peu peur de m'ennuyer, pas du tout.
    Jacques Gambelin en Paul Descanel et surtout André Dossolier en Georges Clémenceau sont impeccables
    Le mélange des images en couleur et celles en noir et blanc avec les actualités de l'époque donne un plus au film c'est bien vu.
    Bref on passe un bon moment
    Gerard H
    Gerard H

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2022
    Gamblin et Dussolier ainsi que Hecq incarnent des personnages humains et attachants dans une comédie politique drolatique qui décrit un épisode méconnu de l'Histoire de France. Un
    Bon premier film.
    christophe D10
    christophe D10

    17 abonnés 641 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 août 2023
    La première partie du film est plutôt réussie.
    La mise en scène est rythmée, les acteurs sont bons et les dialogues assez percutants.
    Malheureusement après environ 30 minutes, le rythme s’effondre et le film s’enlise dans un ennui profond…
    Si on rajoute les libertés prises avec la vérité historique, cela donne au final un résultat pas terrible…
    martial7178
    martial7178

    14 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 septembre 2022
    1920, les années folles. Georges Clemenceau (André Dussollier) vient de perdre l'élection présidentielle face à l'inconnu Paul Deschanel (Jacques Gamblin), un idéaliste qui veut changer le pays. Mais un soir, ce dernier tombe d'un train et se volatilise. Au petit matin, la France cherche son Président, une occasion en or pour le Tigre Clemenceau...

    Voici pour le synopsis officiel de ce film, qui ne correspond d'ailleurs pas tout à fait à l'histoire telle qu'elle est traitée. On nous annonce d'ailleurs dès le départ que des libertés ont été prises avec la réalité historique. Et comme on ne connaît pas dans les détails ce qui s'est passé, on se demande ce sui est au final vrai. Ce n'est donc pas, de ce fait, un véritable film historique.
    Ce n'est pas non plus une pure comédie, et c'est là que ma déception est la plus grande, car la bande-annonce laissait entendre un film rythmé avec des mots percutants, dans la tradition ce que Clemenceau avait coutume de faire. Au lieu de quoi, le film est assez lent, répétitif, quelque peu brouillon et les bons mots tombent parfois à plat.
    Certaines scènes sont répétitives, comme celles du lustre, et le mélange rêve-réalité n'est pas toujours des plus heureux. Et que vient faire une flamand rose dans une des scènes ?!
    En fait, le début du film est bon, la fin aussi, mais entre les deux je me suis assez souvent ennuyé. Et pourtant j'aime les films qui traitent de l'Histoire, d'autant plus qu'il s'agit de celle d'un Président oublié car raillé à l'époque et qui, à ma connaissance, a eu le mandat le plus court.
    Et puis, ce film nous dit que Millerand, joué par Christian Hecq, était en quelque sorte l'espion de Clemenceau. Or, c'est lui qui s'est présenté et a été élu Président à la suite de la démission de Deschanel, mais le film ne nous dit de la réaction de Clemenceau face à ce qui s'apparente à une trahison.
    Ce résultat en demi-teinte est d'autant plus regrettable avec deux acteurs, Dussollier et Gamblin, de cette trempe.
    Wyzigard
    Wyzigard

    5 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2022
    Ce film, qui est à la fois historique et inventif, met en avant un président de la république que personnellement je ne connaissais pas : Paul Deschanel, président de la république française de février à septembre 1920. On a une France qui est sorti de la guerre contre l’Allemagne, qui veut se reconstruire et faire payer l’agresseur, et cet homme assez singulier va contre toute attente être élu président et apporter des idées innovantes et ambitieuses pour son époque.
    Ainsi avec cette œuvre nous avons une comédie historique, nous avons dans l’ensemble quelque chose de bien fait, avec des points forts plutôt intéressants, et quelques faiblesses tout de même identifiées.
    Dans les points forts on peut dire que le scénario est bien écrit, fluide et sans fausse note, et malgré l’absence de surprise qui aurait pu être intéressant on a plaisir à suivre l’histoire. Le sujet sous-entendu de l’histoire va parler à un très grand nombre de personnes, un sujet d’actualité en 2022, et le mettre en lumière (aussi bien sur le fond que sur la forme) est nécessaire pour éveiller certaines consciences encore endormies. Un film très humaniste, qui montre les qualités mais également les faiblesses, les limites, de la société (qui, pour certaines, n’ont pas évolué).
    Enfin, dans les points faibles, je regrette le passage de la « garden party » qui est un choix artistique qui ne m’a pas plus, un humour parfois pas assez « mordant », et une absence de surprise dans une histoire qui se veut coller à la réalité mais aurait pu être plus fantaisiste.

    Voici un point sur les trois acteurs principaux :
    - Jacques Gamblin interprète parfaitement Paul Deschanel : ambitieux et conquérant, fragile et instable, ou encore tenace et courageux. Un personnage avec différentes facettes, bien tenu, et on a plaisir à le voir évoluer tout au long de ce film.
    - André Dussollier, ici Georges Clemenceau, tient un personnage qui va surtout avoir de l’influence sur le côté comédie du film. Il va être plutôt passif, subir les actions plutôt qu’en être acteur, et avoir toujours le mot juste par rapport à la situation. Pas de fausse note.
    - Christian Hecq, qui joue le personnage d’Alexandre Millerand, n’est pas assez exploité : il aurait pu être plus présent pour mettre en place des scènes comiques, lui qui fait la passerelle entre Deschanel et Clemenceau.

    Je mets une note de 3.5/5 au film : un bon film, mêlant histoire et invention, on a plaisir à suivre cette narration plutôt bien écrite. Au niveau de l’humour il est un poil décevant, l’invention ne va pas assez loin à mon goût, et le passage de la « garden party » aurait pu être mieux travaillé.
    Sylvain P
    Sylvain P

    339 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 septembre 2022
    Malgré quelques longueurs, Le Tigre et le Président est une comédie fine et qui nous apprend des faits historiques, certes romancés mais crédibles. Jacques Gamblin livre une impeccable partition d'un Paul Deschanel idéaliste mais débordé de travail. Tout le cynisme de Clémenceau transpire dans l'interprétation d'André Dussolier. Une comédie intelligente.
    L_huitre
    L_huitre

    83 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2022
    Film léger comme un voile de filigrane. Il s'imprègne heureusement dans votre conscient le temps de la projection pour être aussitôt oublié à la sortie. L'objectif est louable, sortir de l'anonymat un président de la république, Paul Deschanel, qui est rentré dans l'histoire uniquement pour une mésaventure rocambolesque, la chute d'un train. Un homme peut-il se résumer à si peu de choses ? Certainement pas... Les pages Wikipedia sur Paul Deschanel sont d'ailleurs passablement longues. Il valait sans doute beaucoup mieux que ce que la postérité a retenu de lui. C'était assurément un homme de consensus, député moultes fois plébiscité dans sa région l'Eure et Loir, un politicien modéré dans une époque qui ne l'était pas, un homme aux grandes ambitions dans le domaine des idées, tout cela force déjà le respect. Cet inconnu qui réussit à battre à la régulière le candidat naturel à la présidence, auréolé de la victoire qu'était Georges Clémenceau, mérite assurément l'attention. C'est ce à quoi s'attèle ce film avec un extraordinaire interprète en la personne de Jacques Gamblin. Il donne à son personnage un sourire lumineux, une élégance folle, une grande naïveté contrebalancée par le verbe d'un tribun, et surtout le regard d'un honnête homme aux idées en avance sur son temps. Gamblin nous le rend bien sympathique et touchant, ce doux dingue qui est en proie à une folle anxiété. Un homme dévoré de l'intérieur par le poids de sa fonction, et une volonté de bien faire qui l'anesthésie. Le film procure un bon moment, détaché du temps... C'est déjà pas si mal.
    Jorik V
    Jorik V

    1 274 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 décembre 2022
    En voilà un projet qui s’annonçait à la fois original mais aussi très casse-gueule. En effet, faire une comédie politique n’est pas donné à tout le monde et le peu de films du genre dont on peut se souvenir sont davantage américains tels que « Des hommes d’influence » de Barry Levinson ou l’excellent et méconnu « In the loop ». Trouver un exemple français est presque impossible ou en tout cas il ne nous vient pas en tête, c’est dire si ce « Le Tigre et le Président » développait une aura toute particulière du fait même de sa rareté. Et il ajoute une donnée contextuelle qui le rend encore plus singulier : c’est un film d’époque, se situant juste après la Grande Guerre. On y suit donc les manœuvres de Georges Clémenceau et du président oublié Paul Deschanel pour être à la tête de la France sur une tonalité humoristique, presque burlesque, dans une reconstitution de la France des années folles et avec deux grands acteurs français.

    Un super programme alléchant et si original qu’on ne peut s’empêcher de faire la grimace à la vue du résultat plutôt tiède pour ne pas dire décevant et peu réussi. En effet, « Le Tigre et le Président » démarre fort et nous met dans le bain direct avec ses intrigues politiques de couloir et ses petits arrangements, tout cela baigné dans une verve comique bien sentie. Le verbe est haut, le rythme est bon et la reconstitution de l’époque est admirable en plus d’une mise en scène inspirée et vivante, loin de l’académisme dans lequel un tel sujet (ainsi qu’une époque) aurait pu la circonscrire. Alors qu’est-ce qui coince me direz-vous. Et bien d’abord l’intrigue semble gaspiller toutes ces munitions dans le premier tiers. La suite de l’histoire devient plus classique et fait du surplace, on est moins surpris, on sourit moins également et la dernière partie finit même par complètement nous désintéresser à force de redondances et d’un script au final très limité. Si on ne voit pas ce président méconnu que fut Paul Deschanel tenter d’écrire son discours dix fois... C’est donc l’ennui poli et la torpeur qui nous gagne alors que tout cela démarrait sur les chapeaux de roue.

    On aura donc eu droit à des répliques drôles et bien mises en bouche mais limitées à un laps de temps bien trop court et même si la mise en scène reste élégante durant tout le film. Mais on en oublierait presque que c’est le premier film de Jean-Marc Peyrefitte et que l’indulgence se doit d’être de mise, notamment au vu de la belle esthétique de « Le Tigre et le Président ». Cela ne suffit cependant pas et, lassé d’un film qui tourne en rond, on se désintéresse. De plus, et c’est un peu plus gênant à écrire, le duo principal semble pâtir des premiers pas encore incertains du cinéaste en herbe en tant que directeur d’acteurs. En effet, aussi doués et talentueux soient-ils, les grands comédiens que sont André Dussollier et Jacques Gamblin surjouent plus que de raison et semblent en totale roue libre. Si c’est amusant au début et provoque quelques rires, sur le long terme ça frôle le cabotinage. Une belle idée donc mais mal maîtrisée, pas toujours bien exploitée ni traitée sur la durée. Dommage!

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    Hotinhere
    Hotinhere

    560 abonnés 4 972 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 novembre 2023
    Une comédie politique fantaisiste et pleine de bons mots mais sur courant alternatif, qui évoque la rivalité entre Deschanel/Clémenceau, deux figures de la IIIe République, interprétés par l’excellent duo Gamblin/Dussolier. 2,75
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