Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film met l’accent sur la prestation de Jacques Gamblin qui fait découvrir à quel point les idées du président Deschanel étaient visionnaires. André Dussollier lui donne brillamment la réplique dans le rôle de Clémenceau.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par N.C.
Une comédie politique euphorique.
LCI
par Jérôme Vermelin
Jacques Gamblin et André Dussollier sont irrésistibles dans ce premier film réussi de Jean-Marc Peyrefitte.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par N.C.
Jacques Gamblin ne savait rien de Paul Deschanel et il est épatant dans ce rôle poétique et lunaire de président décalé, de président idéaliste, de président des rêves.
Ouest France
par G.K.
Une hésitation perturbante qui ne permet pas à cette proposition de décoller du statut de charmante comédie.
Télé 2 semaines
par Camille Brun
Un festival de bons mots qui roulent délicieusement sous la langue d'André Dussollier et Jacques Gamblin.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Jean-Marc Peyreffite s'inspire de faits réels méconnus et signe un premier long métrage spirituel, inattendu et irrésistible de drôlerie.
Voici
par La Rédaction
Ce premier film faussement classique réhabilite ce personnage poétique, grâce à deux acteurs investis avec gourmandise.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une épopée plus humaine que politique qui pourrait redonner le goût de l’Histoire à ceux qui l’avaient perdu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Jérôme Garcin
Dommage d’avoir tiré, de ce sujet passionnant, une comédie boulevardière à la Feydeau. Où, comme par hasard, Christian Hecq de la Comédie-Française excelle dans le rôle d’Alexandre Millerand, qui succéda à Deschanel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
La rivalité entre ces deux figures majeures de la IIIe République, l’idéaliste et le cynique, flanquées de Poincaré et Millerand, fournit un passionnant matériau scénaristique que le réalisateur maîtrise jusqu’au dernier tiers de son film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Olivier Delcroix
André Dussollier et Jacques Gamblin incarnent avec malice Georges Clemenceau et Paul Deschanel, ferraillant à l’élection présidentielle de 1920.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Pour son premier film, Jean-Marc Peyrefitte choisit de le remettre en lumière, par le biais d’une comédie maligne mais trop resserrée autour de son duo d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Adrien Gombeaud
Mis en scène sans grande audace, porté par une voix off un peu lancinante, Le Tigre et le Président est au moins instructif et original par son sujet.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Entre farce et hommage, cette comédie politique faussement désuète réhabilite joliment Paul Deschanel.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Jacques Gamblin burlesque à souhait, même si le film reste hésitant sur la manière d’appréhender le mystérieux Paul Deschanel.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par J. Ma.
La première partie du programme est des plus intéressantes (...). La seconde est, hélas, plus convenue, mais les comédiens y mettent tellement de plaisir qu’on pourra s’y divertir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Mais ces idées ne sont pas développées, tout se brouille dans des mots d’auteurs faits pour résonner avec l’époque actuelle et des performances d’acteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Jacques Morice
Guidés par le souci d’honorer la mémoire de ce perdant excentrique, les scénaristes ont le mérite de révéler une page méconnue d’histoire, tout en s’accordant des libertés. C’est un atout mais aussi un handicap : entre le réalisme et la fantaisie surréaliste, cette comédie a du mal à s’épanouir, souffrant d’un manque de densité narrative comme d’audace poétique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Inspiré de faits réels mais tordus sans vergogne, ce drame historique fait de ses personnages des caricatures, tant les acteurs, qui cabotinent à fond, forcent le trait jusqu’au ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Du coup, son film flotte, ses comédiens paraissent souvent laissés à l’abandon, en dépit du plaisir gourmand qu’ils ont d’évidence à croiser le fer.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Le film met l’accent sur la prestation de Jacques Gamblin qui fait découvrir à quel point les idées du président Deschanel étaient visionnaires. André Dussollier lui donne brillamment la réplique dans le rôle de Clémenceau.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une comédie politique euphorique.
LCI
Jacques Gamblin et André Dussollier sont irrésistibles dans ce premier film réussi de Jean-Marc Peyrefitte.
Le Dauphiné Libéré
Jacques Gamblin ne savait rien de Paul Deschanel et il est épatant dans ce rôle poétique et lunaire de président décalé, de président idéaliste, de président des rêves.
Ouest France
Une hésitation perturbante qui ne permet pas à cette proposition de décoller du statut de charmante comédie.
Télé 2 semaines
Un festival de bons mots qui roulent délicieusement sous la langue d'André Dussollier et Jacques Gamblin.
Télé Loisirs
Jean-Marc Peyreffite s'inspire de faits réels méconnus et signe un premier long métrage spirituel, inattendu et irrésistible de drôlerie.
Voici
Ce premier film faussement classique réhabilite ce personnage poétique, grâce à deux acteurs investis avec gourmandise.
aVoir-aLire.com
Une épopée plus humaine que politique qui pourrait redonner le goût de l’Histoire à ceux qui l’avaient perdu.
L'Obs
Dommage d’avoir tiré, de ce sujet passionnant, une comédie boulevardière à la Feydeau. Où, comme par hasard, Christian Hecq de la Comédie-Française excelle dans le rôle d’Alexandre Millerand, qui succéda à Deschanel.
La Croix
La rivalité entre ces deux figures majeures de la IIIe République, l’idéaliste et le cynique, flanquées de Poincaré et Millerand, fournit un passionnant matériau scénaristique que le réalisateur maîtrise jusqu’au dernier tiers de son film.
Le Figaro
André Dussollier et Jacques Gamblin incarnent avec malice Georges Clemenceau et Paul Deschanel, ferraillant à l’élection présidentielle de 1920.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier film, Jean-Marc Peyrefitte choisit de le remettre en lumière, par le biais d’une comédie maligne mais trop resserrée autour de son duo d’acteurs.
Positif
Mis en scène sans grande audace, porté par une voix off un peu lancinante, Le Tigre et le Président est au moins instructif et original par son sujet.
Télé 7 Jours
Entre farce et hommage, cette comédie politique faussement désuète réhabilite joliment Paul Deschanel.
La Voix du Nord
Jacques Gamblin burlesque à souhait, même si le film reste hésitant sur la manière d’appréhender le mystérieux Paul Deschanel.
Le Monde
La première partie du programme est des plus intéressantes (...). La seconde est, hélas, plus convenue, mais les comédiens y mettent tellement de plaisir qu’on pourra s’y divertir.
Le Parisien
Mais ces idées ne sont pas développées, tout se brouille dans des mots d’auteurs faits pour résonner avec l’époque actuelle et des performances d’acteur.
Télérama
Guidés par le souci d’honorer la mémoire de ce perdant excentrique, les scénaristes ont le mérite de révéler une page méconnue d’histoire, tout en s’accordant des libertés. C’est un atout mais aussi un handicap : entre le réalisme et la fantaisie surréaliste, cette comédie a du mal à s’épanouir, souffrant d’un manque de densité narrative comme d’audace poétique.
Le Journal du Dimanche
Inspiré de faits réels mais tordus sans vergogne, ce drame historique fait de ses personnages des caricatures, tant les acteurs, qui cabotinent à fond, forcent le trait jusqu’au ridicule.
Première
Du coup, son film flotte, ses comédiens paraissent souvent laissés à l’abandon, en dépit du plaisir gourmand qu’ils ont d’évidence à croiser le fer.