Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Cet exode placé sous le signe de l'amour et de la tendresse est une splendeur.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Quelle bonne surprise que ce road movie iranien, qui nous téléporte dans la voiture d'une famille en voyage avec le petit garçon espiègle, le grand frère inquiet, la mère émue, le chien malade... Leur destination ? Il faut la faire avec eux, découvrir ce chemin de tendresse et d'humour (...).
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
Visuellement éblouissant, filmé dans des paysages grandioses, ce road-movie réjouit bouleverse par l’intelligence et l’originalité avec lesquelles il traite le sujet douloureux de l’exil.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Louise Dumas
Panah Panahi a certes hérité de ses mentors un sens aigu de la composition du cadre, une expertise dans l’euphémisme et le non-dit, et une maîtrise absolue de la direction d’acteurs (notamment d’enfants). Mais le ton burlesque, le dialogue pétaradant, l’intrusion d’un onirisme débridé et le goût pour les intermèdes musicaux font preuve d’une liberté de création rafraîchissante [...].
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Hymne à la famille, l’amour et la vie, le premier film de Panah Panahi est une merveille du cinéma iranien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
En s’affirmant comme un jeu, une série de performances pour la caméra, le film suscite des sentiments flamboyants. Dans les passages musicaux, les personnages transcendent leur rôle pour mimer le chant d’un ou d’une autre et se transformer par la danse.
Critikat.com
par Bastien Gens
Si le premier film de Panah Panahi gagnerait à être resserré par endroits, il est traversé par une joie manifeste qui l'empêche de tomber dans l'esbrouffe.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
Les situations incongrues traversées par les héros et leurs réactions décalées dessinent en creux les contradictions et les absurdités d’une société exsangue, meurtrie par les non-dits et les contraintes.(...) Réussissant avec brio son premier essai, Panah Panahi rejoint ici les grands noms qui l’ont précédé et qu’il va maintenant accompagner.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Un premier long métrage novateur, drôle et souvent brillant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ne ratez pas ce beau film qui dit la douleur de l’oppression par la majesté des paysages, la pudeur des sentiments et le peps d’un gosse « trop occupé à faire le clown pour être triste longtemps ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Découvert l’année dernière à Cannes, le premier film de Panah Panahi, fils de Jafar Panahi, est un petit bijou de tendresse et de poésie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Panah Panahi revisite le genre du road-movie dans un beau conte d'exil, drôle, mélancolique et malicieux. Constamment surprenant, bourré d'astuces visuelles et de cadres précis comme ceux d'une bande dessinée, « Hit the Road » slalome sans cesse entre la comédie burlesque et la mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Le premier film de Panah Panahi - fils du grand Jafar - s’amuse avec les figures de style du cinéma iranien, leur conférant des couleurs pop et une fantaisie très séduisantes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
D’une scène à l’autre, Panahi enrichit la palette du film en captant le clapotis des relations entre les personnages, la fausse rudesse avec laquelle chacun s’adresse aux autres. Son lyrisme revêt suffisamment d’aspérités pour ne pas paraître complètement lisse sous les doigts.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le tout agrémenté d'un sens indéniable du cinéma.
Télérama
par Frédéric Strauss
Cinématographiquement parlant, le passage de relais est superbe. Il y a une telle vitalité dans ces plans sur la voiture, les visages et les paysages qu’on peut en être sûr : un metteur en scène est né.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Panahi gradue subtilement ses effets grâce, entre autres, à un redoutable sens du timing de la séquence (souvent en plan fixe et unique) qui cristallise l’angoisse silencieuse (il ne faut rien dire devant le benjamin) de cette famille tout en l’accidentant de bouffées d’humour décalé et absurde.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Panah Panahi préfère imprimer le drame sur le visage de ses acteurs, en fabriquant quelques images marquantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Alors, certes, une fois le motif de ce voyage connu, Hit the road perdra de ce mystère qui faisait son charme et les dialogues explicatifs auront tendance à prendre un peu trop le pouvoir. Mais sans abimer l’espièglerie fantasque et l’humanité poétique de ce voyage vers l’inconnu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Panah Panahi, fils du réalisateur iranien Jafar Panahi, offre un road movie tendre, émouvant et politique, d’une grande beauté formelle.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Séverine Danflous
S’il n’a pas encore la puissance de ses aînés, Panah Panahi tente néanmoins de tracer son propre chemin au creux des héritages.
Elle
Cet exode placé sous le signe de l'amour et de la tendresse est une splendeur.
Femme Actuelle
Quelle bonne surprise que ce road movie iranien, qui nous téléporte dans la voiture d'une famille en voyage avec le petit garçon espiègle, le grand frère inquiet, la mère émue, le chien malade... Leur destination ? Il faut la faire avec eux, découvrir ce chemin de tendresse et d'humour (...).
Le Journal du Dimanche
Visuellement éblouissant, filmé dans des paysages grandioses, ce road-movie réjouit bouleverse par l’intelligence et l’originalité avec lesquelles il traite le sujet douloureux de l’exil.
Positif
Panah Panahi a certes hérité de ses mentors un sens aigu de la composition du cadre, une expertise dans l’euphémisme et le non-dit, et une maîtrise absolue de la direction d’acteurs (notamment d’enfants). Mais le ton burlesque, le dialogue pétaradant, l’intrusion d’un onirisme débridé et le goût pour les intermèdes musicaux font preuve d’une liberté de création rafraîchissante [...].
aVoir-aLire.com
Hymne à la famille, l’amour et la vie, le premier film de Panah Panahi est une merveille du cinéma iranien.
Cahiers du Cinéma
En s’affirmant comme un jeu, une série de performances pour la caméra, le film suscite des sentiments flamboyants. Dans les passages musicaux, les personnages transcendent leur rôle pour mimer le chant d’un ou d’une autre et se transformer par la danse.
Critikat.com
Si le premier film de Panah Panahi gagnerait à être resserré par endroits, il est traversé par une joie manifeste qui l'empêche de tomber dans l'esbrouffe.
Culturopoing.com
Les situations incongrues traversées par les héros et leurs réactions décalées dessinent en creux les contradictions et les absurdités d’une société exsangue, meurtrie par les non-dits et les contraintes.(...) Réussissant avec brio son premier essai, Panah Panahi rejoint ici les grands noms qui l’ont précédé et qu’il va maintenant accompagner.
L'Humanité
Un premier long métrage novateur, drôle et souvent brillant.
L'Obs
Ne ratez pas ce beau film qui dit la douleur de l’oppression par la majesté des paysages, la pudeur des sentiments et le peps d’un gosse « trop occupé à faire le clown pour être triste longtemps ».
La Croix
Découvert l’année dernière à Cannes, le premier film de Panah Panahi, fils de Jafar Panahi, est un petit bijou de tendresse et de poésie.
Les Echos
Panah Panahi revisite le genre du road-movie dans un beau conte d'exil, drôle, mélancolique et malicieux. Constamment surprenant, bourré d'astuces visuelles et de cadres précis comme ceux d'une bande dessinée, « Hit the Road » slalome sans cesse entre la comédie burlesque et la mélancolie.
Les Fiches du Cinéma
Le premier film de Panah Panahi - fils du grand Jafar - s’amuse avec les figures de style du cinéma iranien, leur conférant des couleurs pop et une fantaisie très séduisantes.
Libération
D’une scène à l’autre, Panahi enrichit la palette du film en captant le clapotis des relations entre les personnages, la fausse rudesse avec laquelle chacun s’adresse aux autres. Son lyrisme revêt suffisamment d’aspérités pour ne pas paraître complètement lisse sous les doigts.
Ouest France
Le tout agrémenté d'un sens indéniable du cinéma.
Télérama
Cinématographiquement parlant, le passage de relais est superbe. Il y a une telle vitalité dans ces plans sur la voiture, les visages et les paysages qu’on peut en être sûr : un metteur en scène est né.
La Septième Obsession
Panahi gradue subtilement ses effets grâce, entre autres, à un redoutable sens du timing de la séquence (souvent en plan fixe et unique) qui cristallise l’angoisse silencieuse (il ne faut rien dire devant le benjamin) de cette famille tout en l’accidentant de bouffées d’humour décalé et absurde.
Le Monde
Panah Panahi préfère imprimer le drame sur le visage de ses acteurs, en fabriquant quelques images marquantes.
Première
Alors, certes, une fois le motif de ce voyage connu, Hit the road perdra de ce mystère qui faisait son charme et les dialogues explicatifs auront tendance à prendre un peu trop le pouvoir. Mais sans abimer l’espièglerie fantasque et l’humanité poétique de ce voyage vers l’inconnu.
Sud Ouest
Panah Panahi, fils du réalisateur iranien Jafar Panahi, offre un road movie tendre, émouvant et politique, d’une grande beauté formelle.
Transfuge
S’il n’a pas encore la puissance de ses aînés, Panah Panahi tente néanmoins de tracer son propre chemin au creux des héritages.