Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Un film atypique et visionnaire.
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
Anisia Uzeyman et Saul Williams invitent autant à la prise de conscience idéologique qu’au lâcher-prise, au voyage, au rêve. C'est en conciliant l’inconciliable, en joignant les contraires, en faisant rimer lyrique et informatique, technologie et battement de coeur qu’il est le plus fascinant, dans l’émotion des circuits, le tragique des réseaux et des soudures.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Si sa forme n'est pas toujours des plus accessibles, Neptune Frost bouscule et enchante son spectateur grâce à un propos politique puissant, mis en scène avec force couleurs et musique. Un film qui donne la sensation d'avoir traversé un rêve étrange et pénétrant, et qui sera probablement la seule comédie musicale africaine de science-fiction que vous verrez cette année (pour ne pas dire de votre vie).
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Plus que par le discours et le langage, c’est par l’entremêlement du corps africain et d’un transhumanisme artisanal que Neptune Frost accomplit sa vision futuriste et révolutionnaire [...].
L'Obs
par Sophie Grassin
Esthétiquement bluffant, le film se voit plombé par ses dialogues poético-idéologico-ésotériques en plusieurs langues. Le geste a quand même une certaine gueule.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Une comédie musicale afrofuturiste aussi ambitieuse qu’originale, mais terriblement confuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Mêlant afrofuturisme, décolonialisme et spiritualité, le couple Saul Williams-Anisia Uzeyman se livre à un exercice de style brouillon et sentencieux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Une comédie musicale singulière, mais qui part trop dans tous les sens.
Télérama
par Michel Bezbakh
Audacieux ? Maladroit ? Les deux ? On cherche assez vite, hélas, la sortie de ce labyrinthe, qui aurait pu faire un très bon court métrage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Joffrey Liagre
Derrière ses discours révolutionnaires, Neptune Frost embrasse en réalité des codes particulièrement standardisés.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par J. Ma.
Beau programme, qu’on peine à suivre toutefois, tant le geste de mise en scène, qui surjoue lui-même l’affranchissement des règles du cinéma, démontre d’arrogance et d’ignorance à l’égard de l’art qu’il prétend révolutionner.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thomas Baurez
Tout ça est bien joli, mais l’ensemble, objet aux hybridations infinies, est trop brouillon pour réussir à nous captiver.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
Un film atypique et visionnaire.
Culturopoing.com
Anisia Uzeyman et Saul Williams invitent autant à la prise de conscience idéologique qu’au lâcher-prise, au voyage, au rêve. C'est en conciliant l’inconciliable, en joignant les contraires, en faisant rimer lyrique et informatique, technologie et battement de coeur qu’il est le plus fascinant, dans l’émotion des circuits, le tragique des réseaux et des soudures.
Ecran Large
Si sa forme n'est pas toujours des plus accessibles, Neptune Frost bouscule et enchante son spectateur grâce à un propos politique puissant, mis en scène avec force couleurs et musique. Un film qui donne la sensation d'avoir traversé un rêve étrange et pénétrant, et qui sera probablement la seule comédie musicale africaine de science-fiction que vous verrez cette année (pour ne pas dire de votre vie).
Transfuge
Plus que par le discours et le langage, c’est par l’entremêlement du corps africain et d’un transhumanisme artisanal que Neptune Frost accomplit sa vision futuriste et révolutionnaire [...].
L'Obs
Esthétiquement bluffant, le film se voit plombé par ses dialogues poético-idéologico-ésotériques en plusieurs langues. Le geste a quand même une certaine gueule.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie musicale afrofuturiste aussi ambitieuse qu’originale, mais terriblement confuse.
Libération
Mêlant afrofuturisme, décolonialisme et spiritualité, le couple Saul Williams-Anisia Uzeyman se livre à un exercice de style brouillon et sentencieux.
Ouest France
Une comédie musicale singulière, mais qui part trop dans tous les sens.
Télérama
Audacieux ? Maladroit ? Les deux ? On cherche assez vite, hélas, la sortie de ce labyrinthe, qui aurait pu faire un très bon court métrage.
Critikat.com
Derrière ses discours révolutionnaires, Neptune Frost embrasse en réalité des codes particulièrement standardisés.
Le Monde
Beau programme, qu’on peine à suivre toutefois, tant le geste de mise en scène, qui surjoue lui-même l’affranchissement des règles du cinéma, démontre d’arrogance et d’ignorance à l’égard de l’art qu’il prétend révolutionner.
Première
Tout ça est bien joli, mais l’ensemble, objet aux hybridations infinies, est trop brouillon pour réussir à nous captiver.