Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
À travers le parcours douloureux et imprégné de violence de trois artistes de rap, tandis qu’approche l’ouragan Harvey, Nicolas Peduzzi explore avec brio et puissance le lien ontologique reliant Houston et la musique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Ghost Song, un documentaire sur les oubliés du rêve américain. Superbe.
Bande à part
par Benoit Basirico
Ce documentaire vibrant sur des marginaux de Houston emprunte à la fiction pour capter la poésie d’un désespoir.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Comme si les univers déliquescents de Harmony Korine s’étaient emparé de l’écran « Ghost Song » raconte l’Amérique tourmentée par ses clichés.
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Portrait - à travers celui de trois êtres et d’une ville - de l’Amérique d’aujourd’hui, pas si différente de celle d’hier, Ghost Song est une superbe fable sociale et musicale, et le récit d’une éternelle quête de rédemption dans un monde n’attendant plus que l’Apocalypse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Nicolas Peduzzi nous invite à une errance funèbre dans un Houston au bord du gouffre. Véritable diamant noir, Ghost Song captive, hypnotise, touche et terrifie à travers une danse fascinante entre documentaire et fiction. Un portrait fascinant d'une certaine Amérique qui capte avec brio une tension latente qui traverse le monde dans lequel nous vivons.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Étonnant de vérifier combien des documentaristes français captent l’Amérique dans trois films remarquables récents : Jean-Baptiste Thoret (We Blew It, Michael Cimino : un mirage américain), François Busnel (Seule la Terre est éternelle) et Nicolas Peduzzi avec Ghost Song. Tous abordent avec tact, art et talent, très différemment, un sujet multiforme qui fascine la France.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dans le documentaire Ghost Song, Nicolas Peduzzi capte avec une proximité rare la « vida loca » d’une poignée de déclassés et de figures du ghetto de la ville texane.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Arnaud Hallet
Le documentaire est superbement alimenté par les bizarreries de ces gens qui ne se croisent que par la mise en scène, reliés entre eux comme des étoiles dans une même nuit.
Le Parisien
par La Rédaction
Documentaire aussi beau qu’ahurissant, « Ghost Song », signé du Français Nicolas Peduzzi, raconte la face cachée d’une ville à la façon d’une promenade nocturne, au cours de laquelle on peut sentir les bourrasques souffler et l’humidité envahir les rues et les corps à cause de l’arrivée imminente de l’ouragan.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Didier Péron
Le film est à la fois compact et ramassé (1h16), il prend ses personnages, ses situations, sans préambules ni explications, jetant dans ce bouillon tropical éclats et débris arrachés aux vies et à la ville, le cinéaste se plaçant tout à la fois dans la position du voyeur submergé et de l’œil en surplomb, alternant l’un et l’autre dans ce clignotement bipolaire qui évoque les grandes heures perchées d’Abel Ferrara.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Des personnages fascinants.
Positif
par Eithne O’Neill
Autour de la mort et du deuil, mais avec vigueur, ce documentaire d’une inquiétante étrangeté, voire mélancolique, illustre la tendance actuelle à une subjectivité assumée, jusqu’à ressembler à une œuvre de fiction. À voir.
Rolling Stone
par Samuel Regnard
Un documentaire envoûtant et sensoriel.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Ghost Song est bien plus qu’un documentaire. C’est une expérience de cinéma immersive et fascinante où les couleurs et les sons des images racontent le désir de liberté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Le cinéaste n’entend pas offrir une description sociologique. Le rapport qu’il entretient avec l’Amérique relève plutôt de la fascination. (…) Force est de constater que le mythe continue à faire effet – sur les habitants comme sur le spectateur.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
[...] il se dégage une atmosphère tragique dressant le portrait sensible de cette ville connue pour être celle de Beyoncé et de George Floyd.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Sans colonne vertébrale, le film travaille une progression nébuleuse. Un flottement alimenté par les effluves du screw, ce rap sous codéine typique de Houston.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Un trip envoûtant pour peu qu’on accepte de jouer son jeu en s’y abandonnant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Des bourgeois et des marginaux mais peu de gagnants, des fantômes et une certaine énergie du désespoir composent ce beau chant envoûtant sur un monde au bord du précipice.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Emergent quelques instantanés forts d’une Amérique de la marge dans un documentaire décousu au suspense lourdement symbolique autour de l’approche de l’ouragan Harvey.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
À travers le parcours douloureux et imprégné de violence de trois artistes de rap, tandis qu’approche l’ouragan Harvey, Nicolas Peduzzi explore avec brio et puissance le lien ontologique reliant Houston et la musique.
Transfuge
Ghost Song, un documentaire sur les oubliés du rêve américain. Superbe.
Bande à part
Ce documentaire vibrant sur des marginaux de Houston emprunte à la fiction pour capter la poésie d’un désespoir.
CinemaTeaser
Comme si les univers déliquescents de Harmony Korine s’étaient emparé de l’écran « Ghost Song » raconte l’Amérique tourmentée par ses clichés.
Culturopoing.com
Portrait - à travers celui de trois êtres et d’une ville - de l’Amérique d’aujourd’hui, pas si différente de celle d’hier, Ghost Song est une superbe fable sociale et musicale, et le récit d’une éternelle quête de rédemption dans un monde n’attendant plus que l’Apocalypse.
Ecran Large
Nicolas Peduzzi nous invite à une errance funèbre dans un Houston au bord du gouffre. Véritable diamant noir, Ghost Song captive, hypnotise, touche et terrifie à travers une danse fascinante entre documentaire et fiction. Un portrait fascinant d'une certaine Amérique qui capte avec brio une tension latente qui traverse le monde dans lequel nous vivons.
Franceinfo Culture
Étonnant de vérifier combien des documentaristes français captent l’Amérique dans trois films remarquables récents : Jean-Baptiste Thoret (We Blew It, Michael Cimino : un mirage américain), François Busnel (Seule la Terre est éternelle) et Nicolas Peduzzi avec Ghost Song. Tous abordent avec tact, art et talent, très différemment, un sujet multiforme qui fascine la France.
L'Humanité
Dans le documentaire Ghost Song, Nicolas Peduzzi capte avec une proximité rare la « vida loca » d’une poignée de déclassés et de figures du ghetto de la ville texane.
La Septième Obsession
Le documentaire est superbement alimenté par les bizarreries de ces gens qui ne se croisent que par la mise en scène, reliés entre eux comme des étoiles dans une même nuit.
Le Parisien
Documentaire aussi beau qu’ahurissant, « Ghost Song », signé du Français Nicolas Peduzzi, raconte la face cachée d’une ville à la façon d’une promenade nocturne, au cours de laquelle on peut sentir les bourrasques souffler et l’humidité envahir les rues et les corps à cause de l’arrivée imminente de l’ouragan.
Libération
Le film est à la fois compact et ramassé (1h16), il prend ses personnages, ses situations, sans préambules ni explications, jetant dans ce bouillon tropical éclats et débris arrachés aux vies et à la ville, le cinéaste se plaçant tout à la fois dans la position du voyeur submergé et de l’œil en surplomb, alternant l’un et l’autre dans ce clignotement bipolaire qui évoque les grandes heures perchées d’Abel Ferrara.
Ouest France
Des personnages fascinants.
Positif
Autour de la mort et du deuil, mais avec vigueur, ce documentaire d’une inquiétante étrangeté, voire mélancolique, illustre la tendance actuelle à une subjectivité assumée, jusqu’à ressembler à une œuvre de fiction. À voir.
Rolling Stone
Un documentaire envoûtant et sensoriel.
aVoir-aLire.com
Ghost Song est bien plus qu’un documentaire. C’est une expérience de cinéma immersive et fascinante où les couleurs et les sons des images racontent le désir de liberté.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste n’entend pas offrir une description sociologique. Le rapport qu’il entretient avec l’Amérique relève plutôt de la fascination. (…) Force est de constater que le mythe continue à faire effet – sur les habitants comme sur le spectateur.
Le Journal du Dimanche
[...] il se dégage une atmosphère tragique dressant le portrait sensible de cette ville connue pour être celle de Beyoncé et de George Floyd.
Le Monde
Sans colonne vertébrale, le film travaille une progression nébuleuse. Un flottement alimenté par les effluves du screw, ce rap sous codéine typique de Houston.
Première
Un trip envoûtant pour peu qu’on accepte de jouer son jeu en s’y abandonnant.
Télérama
Des bourgeois et des marginaux mais peu de gagnants, des fantômes et une certaine énergie du désespoir composent ce beau chant envoûtant sur un monde au bord du précipice.
L'Obs
Emergent quelques instantanés forts d’une Amérique de la marge dans un documentaire décousu au suspense lourdement symbolique autour de l’approche de l’ouragan Harvey.