Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Aya, le premier long métrage de fiction du cinéaste belge Simon Coulibaly Gillard, avec ses tons bleu et rose, a la douceur de l'innocence. Et d'un rêve duquel on finit toujours par se réveiller.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un premier film lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Le résultat épouse une forme d’apesanteur, opère par déplacement d’ondes sur la surface fluide des images, comme s’il imitait les mouvements d’un corps dans l’eau. [...] Ainsi le film parvient-il à faire corps avec le quotidien d’une communauté, en fuyant le didactisme de l’exposé à spectacle sur les réfugiés climatiques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
La rumeur constante de l’océan, qui enveloppe Aya, nourrit la mélodie d’un effondrement, individuel et cosmique, où le chagrin d’une jeune fille déracinée révèle à quel point il n’existe de paradis que perdu.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Flirtant par moments avec les facilités d’un certain cinéma world, se repaissant quelque peu de l’exotisme du lieu et de sa situation, Aya reste néanmoins un joli récit d’initiation non exempt de tristesse et d’amertume, dont la dimension documentaire peut également servir d’alerte écologique [...].
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Positif
par Louise Dumas
Le réalisateur transforme un fait géologique et climatique réel (le village du Grand-Lahou est en effet mis en péril par l’avancée de l’Atlantique) en une métaphore de la disparition d’un peuple et de traditions séculaires, englouties par la modernité occidentale.
Première
par Thomas Baurez
La mise en scène filme avec force et sensualité son monde extérieur et intérieur. La dimension documentaire, elle, agit autant comme un supplément d’âme qu’un rappel à l’ordre : ce qui se joue là n’a rien d’un fantasme de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Marchand Ménard
Dans ce conte d’apprentissage traversé par les conséquences palpables et dramatiques du changement climatique, le réalisateur oscille entre naturalisme et onirisme. Mais c’est toujours avec empathie et tendresse qu’il s’attache à décrire le cheminement de son héroïne solaire, poussée à partir pour finalement grandir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
Aya, le premier long métrage de fiction du cinéaste belge Simon Coulibaly Gillard, avec ses tons bleu et rose, a la douceur de l'innocence. Et d'un rêve duquel on finit toujours par se réveiller.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film lumineux.
Libération
Le résultat épouse une forme d’apesanteur, opère par déplacement d’ondes sur la surface fluide des images, comme s’il imitait les mouvements d’un corps dans l’eau. [...] Ainsi le film parvient-il à faire corps avec le quotidien d’une communauté, en fuyant le didactisme de l’exposé à spectacle sur les réfugiés climatiques.
Cahiers du Cinéma
La rumeur constante de l’océan, qui enveloppe Aya, nourrit la mélodie d’un effondrement, individuel et cosmique, où le chagrin d’une jeune fille déracinée révèle à quel point il n’existe de paradis que perdu.
Culturopoing.com
Flirtant par moments avec les facilités d’un certain cinéma world, se repaissant quelque peu de l’exotisme du lieu et de sa situation, Aya reste néanmoins un joli récit d’initiation non exempt de tristesse et d’amertume, dont la dimension documentaire peut également servir d’alerte écologique [...].
Positif
Le réalisateur transforme un fait géologique et climatique réel (le village du Grand-Lahou est en effet mis en péril par l’avancée de l’Atlantique) en une métaphore de la disparition d’un peuple et de traditions séculaires, englouties par la modernité occidentale.
Première
La mise en scène filme avec force et sensualité son monde extérieur et intérieur. La dimension documentaire, elle, agit autant comme un supplément d’âme qu’un rappel à l’ordre : ce qui se joue là n’a rien d’un fantasme de cinéaste.
Télérama
Dans ce conte d’apprentissage traversé par les conséquences palpables et dramatiques du changement climatique, le réalisateur oscille entre naturalisme et onirisme. Mais c’est toujours avec empathie et tendresse qu’il s’attache à décrire le cheminement de son héroïne solaire, poussée à partir pour finalement grandir.