Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Casting sauvage, acteurs non-professionnels, tournage en 21 jours : l’émouvant et empathique premier film du scénariste et réalisateur finno-somalien Khadar Ahmed, découvert à la Semaine de la critique, à Cannes en 2021, est l’un de ses petits films qui tiennent miraculeusement debout avec trois fois rien.
L'Obs
par François Forestier
Film élégant et court, baigné par une lumière sublime (du chef op Arttu Peltomaa), le récit évite le piège du mélo pour se concentrer sur les sentiments et la description de l’intimité du couple.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un premier film émouvant et empathique.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Khadar Ayderus Ahmed mêle habilement drame social et grande histoire d’amour dans ce premier film sans pathos, avec de belles propositions de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
C’est ce que peut le meilleur cinéma populaire : ce genre de mélodrame sans affectation, où les sentiments valeureux – le courage, la peine, l’acharnement du destin – transcendent l’homme, la femme, l’enfant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un suspense intense qui ne tombe jamais dans le mélo.
Positif
par William Le Personnic
La Femme du fossoyeur se situe du côté de la vie, de la recherche des palpitations, même dans les instants les plus désespérés.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Khadar Ayderus Ahmed signe un récit dépouillé et lumineux, aux personnages magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un cinéma rare et précieux qui convoque notre devoir d’humanité en faveur des peuples déshérités du monde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par B. P.
Entre ces paysages blancs, secs et inhumains d'Afrique de l'Est, les personnages se battent avec tendresse contre la misère. Malheureusement, l'intrigue de ce film rude et sincère met du temps à se mettre en place.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
Malgré une narration lente, le film déploie une mise en scène complètement en empathie avec son sujet, à laquelle se greffent une photographie solaire et une interprétation poignante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Et grâce à une mise en scène sans fioriture, Ahmed trouve le ton juste pour ne jamais verser dans le mélo sirupeux sans pour autant couper le robinet à émotions.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Pour son premier long métrage, le Finno-Somalien Khadar Ahmed ne voit pas plus loin que ses personnages : leur amour est dépeint dans une longue suite de scènes démonstratives, aucun ailleurs ne semblant pouvoir émerger du récit.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Ce premier film se donne les atours d'un mélodrame emprunt d'un sentimentalisme souvent maladroit.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Marie Sauvion
Premier long métrage d’un Finlandais né à Mogadiscio, en Somalie, La Femme du fossoyeur ploie un peu sous la joliesse et les bonnes intentions. Il n’empêche, si le film manque de mise en scène, il lui arrive d’échapper à son scénario : touchant alors au documentaire, il laisse son protagoniste simplement exister, et relance l’intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
Casting sauvage, acteurs non-professionnels, tournage en 21 jours : l’émouvant et empathique premier film du scénariste et réalisateur finno-somalien Khadar Ahmed, découvert à la Semaine de la critique, à Cannes en 2021, est l’un de ses petits films qui tiennent miraculeusement debout avec trois fois rien.
L'Obs
Film élégant et court, baigné par une lumière sublime (du chef op Arttu Peltomaa), le récit évite le piège du mélo pour se concentrer sur les sentiments et la description de l’intimité du couple.
Le Dauphiné Libéré
Un premier film émouvant et empathique.
Les Fiches du Cinéma
Khadar Ayderus Ahmed mêle habilement drame social et grande histoire d’amour dans ce premier film sans pathos, avec de belles propositions de mise en scène.
Libération
C’est ce que peut le meilleur cinéma populaire : ce genre de mélodrame sans affectation, où les sentiments valeureux – le courage, la peine, l’acharnement du destin – transcendent l’homme, la femme, l’enfant.
Ouest France
Un suspense intense qui ne tombe jamais dans le mélo.
Positif
La Femme du fossoyeur se situe du côté de la vie, de la recherche des palpitations, même dans les instants les plus désespérés.
Sud Ouest
Khadar Ayderus Ahmed signe un récit dépouillé et lumineux, aux personnages magnifiques.
aVoir-aLire.com
Un cinéma rare et précieux qui convoque notre devoir d’humanité en faveur des peuples déshérités du monde.
Le Figaro
Entre ces paysages blancs, secs et inhumains d'Afrique de l'Est, les personnages se battent avec tendresse contre la misère. Malheureusement, l'intrigue de ce film rude et sincère met du temps à se mettre en place.
Le Journal du Dimanche
Malgré une narration lente, le film déploie une mise en scène complètement en empathie avec son sujet, à laquelle se greffent une photographie solaire et une interprétation poignante.
Première
Et grâce à une mise en scène sans fioriture, Ahmed trouve le ton juste pour ne jamais verser dans le mélo sirupeux sans pour autant couper le robinet à émotions.
Cahiers du Cinéma
Pour son premier long métrage, le Finno-Somalien Khadar Ahmed ne voit pas plus loin que ses personnages : leur amour est dépeint dans une longue suite de scènes démonstratives, aucun ailleurs ne semblant pouvoir émerger du récit.
Critikat.com
Ce premier film se donne les atours d'un mélodrame emprunt d'un sentimentalisme souvent maladroit.
Télérama
Premier long métrage d’un Finlandais né à Mogadiscio, en Somalie, La Femme du fossoyeur ploie un peu sous la joliesse et les bonnes intentions. Il n’empêche, si le film manque de mise en scène, il lui arrive d’échapper à son scénario : touchant alors au documentaire, il laisse son protagoniste simplement exister, et relance l’intérêt.