Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
L’idée géniale de ce premier film est d’embrasser le réalisme magique et la poésie burlesque pour dépeindre le quotidien. Le misérabilisme est évacué, et la complaisance inexistante. Tout n’est que finesse de construction, de l’écriture à la mise en scène, des décors au montage.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
C’est le beau paradoxe de ce film extrêmement original : le monde y est impitoyablement montré dans son agonie, mais la vie suinte de toutes parts.
Libération
par Sandra Onana
Avec cette fable pince-sans-rire où le patriarche d’une famille pauvre est transformé en poulet, l’Egyptien Omar el-Zohairy signe un formidable premier film entre réalisme social et inquiétante étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Sophie Grassin
Entre hyperréalisme et théâtre de l’absurde, la fable de l’Egyptien Omar El Zohairy conte la lente et belle émancipation d’une chef de famille soumise à la précarité et au harcèlement. Brechtien, brillant, gonflé. Ici, nul spectateur ne se fera plumer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Omar El Zohairy transcende la critique sociale pour signer une fable déroutante irriguée par un humour très particulier, à la frontière du réalisme crasseux et de l’absurde poétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Une fable grinçante d'une drôlerie furieuse.
Le Parisien
par La Rédaction
Si un humour acide vient parfois tempérer cette critique sociale, qui pourra s’avérer trop extrême pour le grand public, ce premier film constitue l’acte de naissance d’un grand cinéaste, dont il faut retenir le nom, Omar El Zohairy.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Noir et radical, ce premier film est un cri fort et magistral pour l’émancipation d’une mère lasse d’être servile.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
L’humour y est grinçant mais pas grimaçant et c’est sans doute l’une des qualités de ce film à mi-chemin entre le film noir et le western.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
(... ) l’égyptien Omar El Zohairy manie brillamment le burlesque pour raconter les dérives du patriarcat dans son pays. Une pépite.
Positif
par Yann Tobin
Un apologue social entre Brecht et Ionesco [...].
Critikat.com
par Bastien Gens
Ce qui frappe ici tient moins dans l'originalité affichée du film que dans la puissance oppressive de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Bizarrement, ce personnage de femme reste triste et taciturne. Le récit d'émancipation finit par avoir du plomb dans l'aile.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Thierry Chèze
Rien ici n’est appuyé. On peut même s’y perdre mais Omar El Zoha tient bon la barre pour raconter un pays dont il juge la mutation obligatoire, à commencer par la place accordée aux femmes. Il n’a pas volé son Grand Prix à la Semaine de la Critique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Grand Prix de la Semaine de la critique au dernier Festival de Cannes, ce drôle de drame venu d’Égypte peut aussi prétendre à la palme du film le plus déroutant : le réalisateur y insère très naturellement de l’absurde au sein d’un réel miséreux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
L’idée géniale de ce premier film est d’embrasser le réalisme magique et la poésie burlesque pour dépeindre le quotidien. Le misérabilisme est évacué, et la complaisance inexistante. Tout n’est que finesse de construction, de l’écriture à la mise en scène, des décors au montage.
Cahiers du Cinéma
C’est le beau paradoxe de ce film extrêmement original : le monde y est impitoyablement montré dans son agonie, mais la vie suinte de toutes parts.
Libération
Avec cette fable pince-sans-rire où le patriarche d’une famille pauvre est transformé en poulet, l’Egyptien Omar el-Zohairy signe un formidable premier film entre réalisme social et inquiétante étrangeté.
L'Obs
Entre hyperréalisme et théâtre de l’absurde, la fable de l’Egyptien Omar El Zohairy conte la lente et belle émancipation d’une chef de famille soumise à la précarité et au harcèlement. Brechtien, brillant, gonflé. Ici, nul spectateur ne se fera plumer.
Le Journal du Dimanche
Omar El Zohairy transcende la critique sociale pour signer une fable déroutante irriguée par un humour très particulier, à la frontière du réalisme crasseux et de l’absurde poétique.
Le Monde
Une fable grinçante d'une drôlerie furieuse.
Le Parisien
Si un humour acide vient parfois tempérer cette critique sociale, qui pourra s’avérer trop extrême pour le grand public, ce premier film constitue l’acte de naissance d’un grand cinéaste, dont il faut retenir le nom, Omar El Zohairy.
Les Fiches du Cinéma
Noir et radical, ce premier film est un cri fort et magistral pour l’émancipation d’une mère lasse d’être servile.
Les Inrockuptibles
L’humour y est grinçant mais pas grimaçant et c’est sans doute l’une des qualités de ce film à mi-chemin entre le film noir et le western.
Ouest France
(... ) l’égyptien Omar El Zohairy manie brillamment le burlesque pour raconter les dérives du patriarcat dans son pays. Une pépite.
Positif
Un apologue social entre Brecht et Ionesco [...].
Critikat.com
Ce qui frappe ici tient moins dans l'originalité affichée du film que dans la puissance oppressive de sa mise en scène.
Le Figaro
Bizarrement, ce personnage de femme reste triste et taciturne. Le récit d'émancipation finit par avoir du plomb dans l'aile.
Première
Rien ici n’est appuyé. On peut même s’y perdre mais Omar El Zoha tient bon la barre pour raconter un pays dont il juge la mutation obligatoire, à commencer par la place accordée aux femmes. Il n’a pas volé son Grand Prix à la Semaine de la Critique.
Télérama
Grand Prix de la Semaine de la critique au dernier Festival de Cannes, ce drôle de drame venu d’Égypte peut aussi prétendre à la palme du film le plus déroutant : le réalisateur y insère très naturellement de l’absurde au sein d’un réel miséreux.