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Un visiteur
5,0
Publiée le 18 août 2010
Film remake d'une pièce de théâtre culte et incontournable. Michel Serrault est vraiment à mourir de rire dans ce film. Mention spéciale pour le passage de la biscotte. C'est une des rares comédies à mon sens qui fait toujours autant rire même après l'avoir vu 15 fois. Alors ne la manquez pas!
Une comédie française une peu surestimée, car si les mimiques d'un Michel Serrault survolté face à Tomazzi et de nombreuses lignes de dialogues valent le coup d'oeil (notamment la célèbre scène de la biscotte !), l'ensemble manque tout de même de punch, et ne se révèle jamais vraiment hilarant. A voir pour sa réputation, tout de même.
Mis à part deux trois scènes (le maître d hôtel obligé de porter des chaussures, ou la fameuse scène de la biscotte) la cage aux folles ne m a pas réellement fait rire. La faute a des personnages trop caricaturaux trop "boulevard", de plus il a vraiment mal vieilli et fait ringard. En revanche il est encore assez réussi sur le discours sur la différence et sur le poids que fait peser le regard des autres sur un individus. Le personnage d Albin (joué par un incroyable Serrault) le dis très bien quand il s habille "normalement" pour pour le dîner :" c est encore comme ça que je suis le plus ridicule".
Il faut bien admettre que sans la prestation absolument hilarante de Michel Serrault (qui lui vaut le César du meilleur acteur en 1979), cette adaptation théâtrale d’Edouard Molinaro serait proche du nanar. En jouant le rôle d’un homosexuel travesti, il donne la pleine mesure de son immense talent. L’histoire quant à elle s’apparente à une farce, permettant de développer de manière caricaturale le thème de l’acceptation de la différence. Ugo Tognazzi et Michel Galabru apportent également une touche d’humour dans cette comédie, dont le sommet est atteint lors de la fameuse séquence de la biscotte. Bref, un joyeux délire.
Cette comédie, même si elle a un peu vieilli (ça manque parfois un peu de rythme), reste un divertissement de grande qualité. Michel Serrault est impérial, Ugo Tognazzi fait bien le contre-poids face à l’exubérance de ce dernier, Michel Galabru fait du Galabru et... Jacob ("Maîtresseee !") est... Les autres personnages (en particuliers les enfants) sont un peu fades à côté (à part peut-être la femme de Galabru, un peu sous exploitée, c'est dommage, car elle est bien jolie). Au final, "La Cage aux Folles", 35 ans après sa sortie nous fait encore sourire, même si on connait pratiquement par coeur toutes ses scènes, cela veut bien dire que c'est une comédie culte.
Un tres bon film d'Edouard Molinaro ! Le cinéaste joue, comme a son habitude, sur le comique de situation, qu'il maitrise décidément a merveille ! "La Cage Aux Folles" est un film tres tres drôle, dans lequel jouent une belle tripotée d'acteurs, avec surtout en tête de liste l'extraordinarissime Michel Serrault dans l'un de ses rôles les plus célèbres ! Un film culte.
Comédie hilarante qui suit les pérégrinations d'un couple d'homosexuels tenant une boîte de cabaret de transformistes. Le fils de l'un d'eux va se marier avec la fille d'un député membre de l'Union pour l'Ordre Moral et qui essuie un scandale sexuel à cause du président du parti. Il faut alors tout changer, sans oublier de se débarrasser d'Albin, le plus extravagant du couple, le plus capricieux aussi. Albin est le moteur du film, machine à gags interprété avec brio par M. Serrault, qui frise la caricature sans jamais tomber dans ce piège. Il est épaulé par un U. Tognazzi brillant sans oublier M. Galabru, à qui le rôle de député moral va comme un gant ou encore Jacob, le majordome noir court vêtu. Le film culmine dans 2 scènes passées à la postérité : celle du bar (avec l'inénarrable séquence de la biscotte) et celle du dîner avec le député, feu d'artifice comique. Une belle tranche de rire, un classique indémodable. D'autres critiques sur
Hélas, je n'ai pas eu la chance de voir la pièce de théâtre mais on se console forcément avec ce fantastique michel serrault qui nous fait mourir de rire. Irrésistible!
J'ai ri devant un film de 1978 ce qui est plutôt rare. Oui le film fait ultra daté que ce soit par le filtre cheap, les blagues dépassées tout comme le jeu d'acteur et l'intrigue caricaturale. Mais en vrai ça marche ! Le duo de comédien est super attachant (je dis plus duo car on a plus l'impression que ce sont des amis qu'un vrai couple d'ailleurs c'est assez problématique qu'ils n'aient jamais d'affection). On joue sur les clichés (mais à l'époque c'était vraiment des stéréotypes et des stigmates très présents). Les dialogues sont vraiment bien écrit et il y a des phrases super impactantes même aujourd'hui tel que la tirade de Ugo Tognazzi face a son fils (oui je, oui je, et je vous emm***) ou à la fin (il n'a qu'une mère : Albert). Il joue vraiment bien sur le parodique en reprenant la structure narrative qu'aujourd'hui on voit partout. C'est finalement un film très moderne. Mais c'est vrai que l'image est horrible, le son très mal pris et que on voit un cliché de gay/folle et qu'on s'en moque. J'arrive pas trop à me positionner sur ça car je trouve que le Real a tout de même une grande tendresse pour Albert par moment. Ah et le côté théâtre (car c'est une adaptation) est complètement invisible !
"La Cage aux folles" est un film culte, typique de cette période 60-80's qu'est l'âge d'or de la comédie à la française. Le métrage n'a d'ailleurs (quasiment) pas pris une ride et se laisse toujours visionner avec un plaisir non feint. C'est d'ailleurs à cela que l'on reconnaît, à mon sens, les grands films: on ne s'en lasse pas. Les comédiens sont tous excellents (mention spéciale à un Michel Galabru absolument hilarant) et les scènes cultes abondent (la visite des futurs beaux-parents, et tout ce qui s'ensuit, notamment). Je suis d'ailleurs étonnée de la moyenne des notes accordée à ce film sur le site. A mon sens, "La Cage aux folles" aurait mérité, au moins, 4 étoiles!
« La Cage Aux Folles » est une comédie endurante qui semble capturer le cœur de tous, peu importe d'où vous venez ou votre orientation sexuelle. Dans le film, Michael Serrault brille particulièrement en tant que vedette de la revue « La Cage » et en tant que « mère » du jeune homme qui souhaite épouser la fille d'un politicien extrêmement « moral » (ou coincé). Sa performance est ponctuée par des cris aigus qui soulignent la comédie du film. Reconnu comme l'un des rares films cultes véritablement méritants, « La Cage » est un incontournable. Je trouve ce film révolutionnaire pour son époque, et même s’il est parfois critiqué pour ses représentations stéréotypées des personnages homosexuels, je le perçois comme un des sommets de la farce française, pleine de quiproquos hilarants et de situations délicieusement ridicules. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).