Je ne comprendrai jamais l'engouement des français pour ce que j'appelle une pure merde. Ce film est nul, archi nul, plus que nul. J'ai horreur de ce genre de navet, spécialité française, encore que, dans le domaine fadasse, les américains ne sont pas mal non plus. Un gros zéro pointé pour ce super navet. Dommage qu'on ne puisse mettre une note négative, par exemple moins 20.
Ce film est complètement ringard, il cible des individus à l'humour facile, et a une vision terriblement discriminatoire, méchante et outrante de l'homosexualité. Cependant, c'est pour cela qu'il correspond bien à son époque, avec des petits Français bien ignorants de ces cultures, de ces mondes inconnus... A noter que le travestisme et l'homosexualité sont des horizons très différents, que le premier n'est pas forcément à associer au second... J'ai l'impression de parler à des enfants peu éclairés, nourris à la connerie, et pourtant Je crois que cette petite leçon mériterait d'être amplement développée !
Je déplore vraiment d'être le premier à attribuer à cette sombre merde caricaturale sa vraie valeur. C'est un film honteux voire haineux, très grave, et absolument débile.
Et que si les homosexuels ressemblent à ça, ils n'ont qu'à se remettre en question, ou bien assumer d'être pathétique, parce que les "Zaza" ne sont rien de plus !
Gros succès populaire. Caricature outrancière (sans jamais être vulgaire, ni dégrante) des homosexuels, "La cage aux folles" n'a rperdu de sa drôlerie. Le personnage joué par Michel Serrault vaut à lui seul le détour. Ceci dit, uniquement se focaliser là-dessus serait faire injure au reste. Ce serait laisser de côté de répliques qui claquent bien comme il faut, ce serait laisser de côté bon nombre de séquences devenues cultes. Le beurrage de biscottes ou le dîner entre la famille du futur marié et celle de la future mariée sont une chose mais, je peux vous garantir que voir Michel Galabru grimé en travesti en est une autre, ça vaut tout l'or du monde. Le genre de truc qu'il faut voir pour y croire. Un film bien de son époque (on l'imagine difficilement être refait de nos jours) mais toujours imparable.
Film assez décevant comme beaucoup d’adaptations théâtrales. L’allure trépidante de la pièce, sa drôlerie permanente n’y sont pas et Ugo Tognazzi, bien que grand acteur, ne remplacera jamais Jean Poiret dans ce rôle. Seul Michel Serrault, toujours génial, drôle sans être ridicule, évaporé sans être vulgaire, parfois touchant et subtil, assure la performance. Un film-souvenir qui a bien vieilli !
Le film a bien vieilli. Mais la performance de Michel Serrault reste hilarante et impeccable, couronnée par le César du meilleur acteur. Les suites étaient franchement inutiles. Reste un bon moment et quelques scènes cultes où l'on rit toujours autant même si on connait le film par coeur...
Un grand classique , qui a la force de ne pas s'être trop démodé. Les effets comiques restent percutants, grâce à ce duo d'acteurs qui fonctionna à merveille. Et puis ce fut quand même un tournant "sociologique " où l'homosexualité était abordé en plein cadre, de manière burlesque mais respectueuse . Pour l'époque c'était une vraie modernité. Et toute la force de Serrault est dans son interprétation à la fois caricaturale, excessive, mais humaniste, empathique et pleine de compassion. Ce film apporta beaucoup plus que juste son heure et demie de franche rigolade.
Une enfilade de caricatures plus bêtes que méchantes, un scénario stupide, une mise en scène molle et une "pièce" très mal jouée. Tognazzi a l'air de se demander ce qu'il fait là. Nous aussi. Fade comme un oeuf sans sel, cette (h)omelette a pris. Deux "sequels" ont suivi, encore pires. Une catastrophe !
Molinaro adapte la pièce de théâtre d’une manière fidèle et efficace, y apportant son savoir-faire en matière de burlesque sans trop l’appuyer de sorte à générer une atmosphère capable de mêler la délicatesse au comique. Malgré quelques longueurs et une fin somme toute bâclée, on passe un agréable moment en compagnie d’excellents acteurs qui s’en donnent ici à cœur joie. Sans jamais tomber dans le vulgaire ou l’insulte, La Cage aux folles agit comme un espace de révélation comique où le comédien ose se travestir – ce qu’il fait d’ailleurs à chaque film, d’une certaine manière – et défend par la même occasion le droit à une sexualité autre.
Une comédie populaire et irrésistible qui aura donné à Michel Serrault l'un ses meilleurs rôles au cinéma. Certaines scènes sont hilarantes et les situations imprévues cocasses (surtout la fin). De plus la composition de Michel Galabru est parfaite. Une comédie culte.
On apprécie beaucoup la finesse comique de Michel Serrault, génial dans le rôle d'un travesti homosexuel hyper caricaturé et de Ugo Tognazzi, qui lui donne la réplique à merveille. Une bonne comédie.