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Votre avis sur Le Divorce de mes marrants ?
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Le film de Romy, très authentique, aborde avec une grande sensibilité les relations familiales face à la bipolarité d'un proche.
À travers les relations complexes entre un frère, une mère et la réalisatrice elle-même, le film met en lumière les "non-dits" et les difficultés qui marquent la vie de famille.
L'histoire, douloureuse par moment, est remplie d'amour et montre la force de leurs liens.
Ce film personnel nous plonge au cœur d’une famille complexe, touchant ceux qui ont vécu des expériences similaires, et offrant de vraies réflexions.
À travers les relations complexes entre un frère, une mère et la réalisatrice elle-même, le film met en lumière les "non-dits" et les difficultés qui marquent la vie de famille.
L'histoire, douloureuse par moment, est remplie d'amour et montre la force de leurs liens.
Ce film personnel nous plonge au cœur d’une famille complexe, touchant ceux qui ont vécu des expériences similaires, et offrant de vraies réflexions.
Film documentaire surprenant.
On se laisse emporter par une histoire de dysfonctionnement familial — l’histoire de la famille de Romy Trajman elle-même —. Romy (telle Maïwenn caméra au poing dans « Pardonnez-moi ») ose montrer les dénis, les maladies, les dires et les choses qui blessent, et ce, avec courage, délicatesse, beaucoup d’intelligence, de poésie et d’humilité. C’est un film qui semble être à la fois nécessaire pour cette famille qui se « réorganise » autour de la parole retrouvée, et à la fois édifiant pour les spectateurs et spectatrices qui sont témoins du cheminement des êtres filmés, de toutes les difficultés rencontrées, mais aussi de toutes les possibilités de compréhension entre les membres de la famille (alors même que certaines zones semblaient insolubles) et surtout, de tout l’amour (et l’humour) que Romy arrive à percevoir et infuser dans les terrains a priori minés de ses proches.
On se laisse emporter par une histoire de dysfonctionnement familial — l’histoire de la famille de Romy Trajman elle-même —. Romy (telle Maïwenn caméra au poing dans « Pardonnez-moi ») ose montrer les dénis, les maladies, les dires et les choses qui blessent, et ce, avec courage, délicatesse, beaucoup d’intelligence, de poésie et d’humilité. C’est un film qui semble être à la fois nécessaire pour cette famille qui se « réorganise » autour de la parole retrouvée, et à la fois édifiant pour les spectateurs et spectatrices qui sont témoins du cheminement des êtres filmés, de toutes les difficultés rencontrées, mais aussi de toutes les possibilités de compréhension entre les membres de la famille (alors même que certaines zones semblaient insolubles) et surtout, de tout l’amour (et l’humour) que Romy arrive à percevoir et infuser dans les terrains a priori minés de ses proches.
Un film très audacieux, très doux et très fragile à la fois. Qui nous touche en plein cœur par son traitement mais surtout la sincérité de la réalisatrice.
Très beau film de Romy Trajman. Elle explore son histoire avec beaucoup de sensibilité et d’ouverture. Les compositions musicales sont très belles également.
Un film qui fait réfléchir par rapport à son propre parcours familial !
Un film qui fait réfléchir par rapport à son propre parcours familial !
Je remercie la réalisatrice pour ce film d’un nouveau regard sur des sujets difficiles qui peuvent concerner beaucoup de monde. Ce film est bouleversant de positivité sur les préjugés ce qui ouvre nos esprits à la compréhension de la vie.
On s’attache facilement à ce personnage.
On s’attache facilement à ce personnage.
Ce documentaire musical, introspection de la co-réalisatrice Romy Trajman, qui signe également les chansons du film, se suit comme une enquête intimiste au sein de sa famille où résonnent des thématiques lourdes : la bipolarité du père, le souvenir de la Shoah, le déni de l'inceste... toutes abordées avec légèreté, et même avec une forme d'humour qu'on soupçonne cathartique, façon de donner forme à ce vécu et de l'exposer avec pudeur.
Le résultat est très réussi, on ne s'ennuie pas une seule seconde, et chemin faisant on est amené à s'interroger sur ces étranges dynamiques entre les êtres qui animent une famille, ici marquée par ce divorce qui constitue le fil directeur du film.
Le résultat est très réussi, on ne s'ennuie pas une seule seconde, et chemin faisant on est amené à s'interroger sur ces étranges dynamiques entre les êtres qui animent une famille, ici marquée par ce divorce qui constitue le fil directeur du film.
Un film/documentaire qui m'a subjugué.
Des sujets lourds, parfois même violent, et pourtant abordés avec légèreté notamment grâce aux parties chantés qui nous portent comme une comédie musicale.
Le film est touchant de résilience, le regard bienveillant de Romy nous apprend à transformer les drames de la vie en force.
Le tout fait avec intelligence et d'une très grande justesse.
Des sujets lourds, parfois même violent, et pourtant abordés avec légèreté notamment grâce aux parties chantés qui nous portent comme une comédie musicale.
Le film est touchant de résilience, le regard bienveillant de Romy nous apprend à transformer les drames de la vie en force.
Le tout fait avec intelligence et d'une très grande justesse.
Un film à la fois intense et sincère sur la quête de Romy Trajman, sur le divorce de ses parents, la maladie de son père mais plus largement son histoire familiale. Dans un regard très horizontal, elle bouscule son histoire pour mieux la comprendre et s'y inscrire dedans. Ce film mets de la joie là où il y a du sombre, de l'espoir là où il y a de la crainte, de la mélodie là où il manque de mots... Ca autorise et rend possible le regard de nos propres histoires d'un œil sensible et léger.
Romy Trajman réalisatrice et actrice de son propre film mène l’enquête sur la raison du divorce de ses parents. Cette exploration du passé indispensable pour sa vie future va faire exploser les non-dits. Un travail d'introspection... une aventure libératrice sur les vertus de la parole... Un film à voir, absolument qui ouvre aux échanges, à chacune de nos histoires et de nos vies... merci pour ce film courageux Pierre Lalart
Dans quelle catégorie ranger...cet ovni ? Film ? Film documentaire ? Film documentaire chanté ? Impossible. Inclassable et c'est ce qui le rend étonnant. Ce film montre avec une cruauté chirurgicale comment s'installe un tabou dans une famille et comment le déni vous explose en pleine figure. Romy Trajman est tout simplement bouleversante à se prendre cette histoire en plein visage. Sa caméra remplace nos yeux et son regard remplace notre effroi devant cette faillite familiale. Un seul mot, enfin deux : immense bravo !
Un joli film, un objet artistique... C'est avec beaucoup de justesse et de finesse que Romy nous entraîne sur le chemin qui la mènera à éclairer une partie de son histoire. Un moment offert avec ses douceurs, ses rugosités, ses fragilités ses doutes et ses blessures. Il n'y a pas de lumière sans ombres, chacun sait cela mais on ressort de la salle avec de l'amour dans le cœur.
Yves G.
Romy a été élevée par sa mère. À vingt ans passés, elle décide de renouer avec son père et de comprendre le motif du divorce de ses parents.
"Le Divorce de mes marrants" inspire des réactions contrastées. D'abord, on tombe immédiatement sous le charme de Romy, une jeune femme aussi séduisante que douée. Et on se méfie de cette inclination trop brutale qui risque d'altérer l'objectivité de notre jugement.
Prenant un pas de recul, on se méfie alors de la démarche de la réalisatrice. On se dit qu'elle fait, sur le dos du spectateur qui n'avait rien demandé, une analyse pour solder le traumatisme provoqué par la séparation de ses parents. On découvre un père maniaco-dépressif dont la maladie n'excuse pas les outrances et une mère qui en fut certes la victime mais qui semble elle aussi sacrément déjantée.
Puis finalement - troisième temps de cette valse-hésitation - on se laisse convaincre par ce projet dans lequel Romy nous a embarqué. On se laisse toucher par l'impudeur qu'elle a accepté de dépasser et on se laisse séduire par l'intelligence avec laquelle elle nous le présente.
En sortant de la salle, on n'est pas totalement convaincu d'avoir vu un grand documentaire - telle n'était d'ailleurs pas manifestement sa prétention ; mais on est content d'avoir rencontré une belle personne.
"Le Divorce de mes marrants" inspire des réactions contrastées. D'abord, on tombe immédiatement sous le charme de Romy, une jeune femme aussi séduisante que douée. Et on se méfie de cette inclination trop brutale qui risque d'altérer l'objectivité de notre jugement.
Prenant un pas de recul, on se méfie alors de la démarche de la réalisatrice. On se dit qu'elle fait, sur le dos du spectateur qui n'avait rien demandé, une analyse pour solder le traumatisme provoqué par la séparation de ses parents. On découvre un père maniaco-dépressif dont la maladie n'excuse pas les outrances et une mère qui en fut certes la victime mais qui semble elle aussi sacrément déjantée.
Puis finalement - troisième temps de cette valse-hésitation - on se laisse convaincre par ce projet dans lequel Romy nous a embarqué. On se laisse toucher par l'impudeur qu'elle a accepté de dépasser et on se laisse séduire par l'intelligence avec laquelle elle nous le présente.
En sortant de la salle, on n'est pas totalement convaincu d'avoir vu un grand documentaire - telle n'était d'ailleurs pas manifestement sa prétention ; mais on est content d'avoir rencontré une belle personne.
Formidable ! un 1er film décalé et inattendu. Intime et surprenant. C'est un film pop et musical. Romy est vraiment une jeune femme étonnante.
Excellent documentaire, très touchant qui arrive à aborder des sujets difficiles avec intelligence et subtilité. Réalisatrice à suivre avec attention !
Documentaire formellement audacieux et courageux sur le fond, le premier long-métrage de Romy Trajman est à la fois intime et universel, libérateur et transformateur, chantant et enchanteur. Ovni filmique, coloré par une esthétique qui a la saveur d’une lollipop arc-en-ciel, et orchestré sur fond d’une musique pop, Le Divorce de mes Marrants fait éclater avec candeur les cris du silence autant qu’il cisaille avec le tranchant de l’humour les liens d’une souffrance transgénérationnelle pour les métamorphoser en élans créateurs.
Lire la suite sur CinéFemme: http://www.cinefemme.be/spip.php?film2119
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