Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Ludique et hilarant, Le Divorce de mes marrants invente une forme originale - et musicale - de documentaire, pour résoudre une quête existentielle, celle d’une jeune femme artiste-comédienne qui ne comprend pas pourquoi ses parents se sont séparés.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Autant dire qu’il y a, dans ce film oxymorique qu’elle réalise avec Anaïs Straumann-Lévy, du très lourd et du très léger.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Mathilde Blottière
Contrebalancé par des séquences chantées, l’amateurisme de la réalisation, gênant au début, devient peu à peu un atout propice à une créativité de bouts de ficelle. Et ce drôle d’objet à la fantaisie non formatée finit par charmer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
Mais, malgré cette originalité formelle, on finit régulièrement par se sentir de trop dans cette enquête et ces échanges. Le surgissement de la question d’un possible inceste nous place ainsi, malgré les efforts de Romy Traujman et malgré nous, en position de voyeur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
Ludique et hilarant, Le Divorce de mes marrants invente une forme originale - et musicale - de documentaire, pour résoudre une quête existentielle, celle d’une jeune femme artiste-comédienne qui ne comprend pas pourquoi ses parents se sont séparés.
Le Monde
Autant dire qu’il y a, dans ce film oxymorique qu’elle réalise avec Anaïs Straumann-Lévy, du très lourd et du très léger.
Télérama
Contrebalancé par des séquences chantées, l’amateurisme de la réalisation, gênant au début, devient peu à peu un atout propice à une créativité de bouts de ficelle. Et ce drôle d’objet à la fantaisie non formatée finit par charmer.
Première
Mais, malgré cette originalité formelle, on finit régulièrement par se sentir de trop dans cette enquête et ces échanges. Le surgissement de la question d’un possible inceste nous place ainsi, malgré les efforts de Romy Traujman et malgré nous, en position de voyeur.