Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Obs
par Jérôme Garcin
Ce film est somptueux. Et tellement loin des normes, des complaisances et des agitations de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Humanité
par Vincent Ostria
Puissance du plan-séquence, intégration idéale des éléments au récit et aux humeurs des personnages (le vent omniprésent, le soleil écrasant). Kaplanoglu est un expressionniste de la nature, dont la beauté et le mystère relativisent la complexité tortueuse de la « comédie humaine ».
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
L’intrigue est minimale et s’accorde pourtant parfaitement avec les 2 h 27 d’un film à la beauté subtile, sorte de plongée sensorielle et métaphorique dans la conscience d’un homme qui a de nombreux péchés à se faire pardonner.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un drame subtil, sensoriel et métaphorique qui prend son temps sans perdre en route le spectateur. Sa beauté plastique envoûte, comme son ambiance sonore (le chant du vent dans les arbres).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
D’une grande beauté formelle, un film délicat, tour à tour grinçant et doux-amer.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Ce que cette amère pastorale contient de plus beau relève d’une collection de moments bercés par les rythmes de la campagne, une carte solaire et sensorielle d’un paradis innervé tout entier par le son du vent dans les branches.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O’Neill
Les Promesses d’Hasan est le film le plus réussi du cinéaste. La mise en scène raffinée et poétique reflète la complexité de son univers.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une odyssée spirituelle et émotionnelle dans l’intériorité d’un père de famille que le capitalisme et les désastres écologiques sans limite poussent à une sorte de quête rédemptrice. Un film qui prend le temps de saluer la beauté des paysages et celle des gens qui les habitent, ravagés par leurs contradictions.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
On en sait gré à Semih Kaplanoglu d’éviter le récit accablant : tout malin qu’il est, Hasan avance dans un demi-sommeil, stupéfait. Aux portes de l’invisible, c’est bien l’expansion du monde néo-libéral qu’il pressent.
Le Monde
par Mathieu Macheret
[...] le film, plastiquement splendide, thématiquement riche, ne décolle pas complètement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thomas Baurez
Le film de Semih Kaplanoglu porte en lui une tension sous-jacente et permanente. Le poids dramatique du film repose sur les solides épaules de son formidable acteur principal Umut Karadag.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce sont les moments les plus simples qui disent le mieux la condition humaine, écartelée entre petitesse et élévation. Tout se joue alors dans les regards, les calculs vains comme les révélations essentielles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par Benjamin Puech
Les réflexions esquissées sur l'argent ou le remords s'étiolent au cours de scènes trop longues.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Obs
Ce film est somptueux. Et tellement loin des normes, des complaisances et des agitations de notre époque.
L'Humanité
Puissance du plan-séquence, intégration idéale des éléments au récit et aux humeurs des personnages (le vent omniprésent, le soleil écrasant). Kaplanoglu est un expressionniste de la nature, dont la beauté et le mystère relativisent la complexité tortueuse de la « comédie humaine ».
La Croix
L’intrigue est minimale et s’accorde pourtant parfaitement avec les 2 h 27 d’un film à la beauté subtile, sorte de plongée sensorielle et métaphorique dans la conscience d’un homme qui a de nombreux péchés à se faire pardonner.
Le Journal du Dimanche
Un drame subtil, sensoriel et métaphorique qui prend son temps sans perdre en route le spectateur. Sa beauté plastique envoûte, comme son ambiance sonore (le chant du vent dans les arbres).
Les Fiches du Cinéma
D’une grande beauté formelle, un film délicat, tour à tour grinçant et doux-amer.
Libération
Ce que cette amère pastorale contient de plus beau relève d’une collection de moments bercés par les rythmes de la campagne, une carte solaire et sensorielle d’un paradis innervé tout entier par le son du vent dans les branches.
Positif
Les Promesses d’Hasan est le film le plus réussi du cinéaste. La mise en scène raffinée et poétique reflète la complexité de son univers.
aVoir-aLire.com
Une odyssée spirituelle et émotionnelle dans l’intériorité d’un père de famille que le capitalisme et les désastres écologiques sans limite poussent à une sorte de quête rédemptrice. Un film qui prend le temps de saluer la beauté des paysages et celle des gens qui les habitent, ravagés par leurs contradictions.
Cahiers du Cinéma
On en sait gré à Semih Kaplanoglu d’éviter le récit accablant : tout malin qu’il est, Hasan avance dans un demi-sommeil, stupéfait. Aux portes de l’invisible, c’est bien l’expansion du monde néo-libéral qu’il pressent.
Le Monde
[...] le film, plastiquement splendide, thématiquement riche, ne décolle pas complètement.
Première
Le film de Semih Kaplanoglu porte en lui une tension sous-jacente et permanente. Le poids dramatique du film repose sur les solides épaules de son formidable acteur principal Umut Karadag.
Télérama
Ce sont les moments les plus simples qui disent le mieux la condition humaine, écartelée entre petitesse et élévation. Tout se joue alors dans les regards, les calculs vains comme les révélations essentielles.
Le Figaro
Les réflexions esquissées sur l'argent ou le remords s'étiolent au cours de scènes trop longues.