Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La comédienne révèle un beau talent de cinéaste dans « Jane par Charlotte ». Elle touche à l’universel en explorant leur relation.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par O.C.
Pourtant, on se laisse embarquer par la beauté des images, la visite inédite de la maison de Serge et la sincérité sans fard de ma muse de l'homme à la tête de chou.
Elle
par M.B.
Un émouvant tête-à-tête sur les non-dits entre mère et fille, plein de tendresse.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Charlotte Gainsbourg consacre à sa mère Jane Birkin son premier film. Plus qu’un portrait, il se situe dans l’émouvante intimité du tête-à-tête où chacune se confie à l’autre avec pudeur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pourtant, le spectateur reste sur une impression de pudeur. Le temps semble figé lors de cette incroyable première visite en duo de la fameuse maison de la rue de Verneuil, à Paris. En contrepoint, on retrouve Jo Attal, la fille de Charlotte et Yvan Attal, qui incarne l’avenir.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Olivier Nuc
Aucune photo de Serge Gainsbourg n’est montrée, mais le démiurge est présent au détour de chaque plan de ce film à la fois sensible et distant, selon le point de vue que l’on adopte.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
On se sent d’abord de trop, frappé par l’impudeur de cette thérapie familiale. Mais les deux femmes réussissent à faire de leur intimité partagée un patchwork universel de grâce et de douceur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Malgré parfois des moments inutiles, plus banals, quelle grâce d’avoir saisi cette vulnérabilité au quotidien, cette douceur du lien mère-fille dont ce film exprime le témoignage de gratitude.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Charlotte Gainsbourg filme Jane Birkin. Un documentaire intime et délicat qui raconte autant l'amour maternel que le temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Charlotte Gainsbourg perpétue ici, d’une certaine façon, cette tradition familiale de la surexposition mais elle en complexifie la portée voyeuriste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Un document émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Un moment de cinéma presque volé, tendre et mélancolique.
Ouest France
par Thierry Chèze
Un magnifique film sur la transmission.
Positif
par Yann Tobin
Il est [...] inédit voire bouleversant de surprendre Jane en train de confier son anxiété et sa tendresse à la caméra de sa fille, y compris lors de séances photo où Charlotte Gainsbourg, derrière l’objectif, révèle un talent de capture du réel que l’on croyait jusqu’ici réservé à son métier d’actrice.
Transfuge
par Serge Kaganski
Un objet bricolé attachant, bel outil de rapprochement filial tardif qui se clôt sur un très émouvant plan-séquence.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Joli, tendre, émouvant, intelligent. Une réussite.
Télérama
par Marie Sauvion
Si le film serre le cœur, c’est qu’il est plein de fantômes. Notre lot à tous.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un voyage sentimental plein de nostalgie et de tendresse.
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
La mise en scène va en se dépouillant (...) pour aller vers une sobriété de captation. Le désir de proximité de Charlotte s’assouvit sous nos yeux, au gré d’un abondant échange où la parole semble donner accès à ce que la pudeur dissimule.
L'Obs
par Sophie Grassin
Cousin de « Boxes », le film de Jane Birkin (2007), sa miniature convoque les fantômes de Serge et de Kate Barry, autopsie les culpabilités maternelles, se perd dans un épisode sur les chiens pour se retrouver dans une très belle lettre finale écoutée par Jane sur la plage. Franc, intense, parfois moins, mais en aucun cas un « petit rien ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Charlotte Gainsbourg pose un regard impudique et tendre sur Birkin.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Charlotte Gainsbourg se filme avec sa mère, en voyage, chez elle, dans la maison de son père, composant peu à peu un portrait de leur relation plus que de Jane Birkin. Un film parfois un peu bricolé, mais dont plusieurs moments de vérité font le prix.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
. Ici, le titre plus approprié serait Charlotte par Jane… et inversement. Et on en ressort le sourire aux lèvres et les yeux embués.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une mère et sa fille, rien de plus au fond, quelle que soit la singularité de leurs destins, et ce fil qui les relie l’une à l’autre se dévide avec la délicatesse d’une chanson triste.
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Les principales contradictions du film se nichent dans cette visite mortuaire de la maison de Serge Gainsbourg, qui déséquilibre l’ensemble, l’écrase sous une tonalité sépulcrale. Comme si la maison normande de Jane n’avait été là que pour préfigurer le retour vers la statue du Commandeur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Charlotte Gainsbourg nous fait découvrir sa mère, Jane Birkin, et semble la redécouvrir par la même occasion. Salvateur pour elle, peut-être plus dispensable pour le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
La comédienne révèle un beau talent de cinéaste dans « Jane par Charlotte ». Elle touche à l’universel en explorant leur relation.
Closer
Pourtant, on se laisse embarquer par la beauté des images, la visite inédite de la maison de Serge et la sincérité sans fard de ma muse de l'homme à la tête de chou.
Elle
Un émouvant tête-à-tête sur les non-dits entre mère et fille, plein de tendresse.
La Croix
Charlotte Gainsbourg consacre à sa mère Jane Birkin son premier film. Plus qu’un portrait, il se situe dans l’émouvante intimité du tête-à-tête où chacune se confie à l’autre avec pudeur.
La Voix du Nord
Pourtant, le spectateur reste sur une impression de pudeur. Le temps semble figé lors de cette incroyable première visite en duo de la fameuse maison de la rue de Verneuil, à Paris. En contrepoint, on retrouve Jo Attal, la fille de Charlotte et Yvan Attal, qui incarne l’avenir.
Le Figaro
Aucune photo de Serge Gainsbourg n’est montrée, mais le démiurge est présent au détour de chaque plan de ce film à la fois sensible et distant, selon le point de vue que l’on adopte.
Le Journal du Dimanche
On se sent d’abord de trop, frappé par l’impudeur de cette thérapie familiale. Mais les deux femmes réussissent à faire de leur intimité partagée un patchwork universel de grâce et de douceur.
Le Parisien
Malgré parfois des moments inutiles, plus banals, quelle grâce d’avoir saisi cette vulnérabilité au quotidien, cette douceur du lien mère-fille dont ce film exprime le témoignage de gratitude.
Les Echos
Charlotte Gainsbourg filme Jane Birkin. Un documentaire intime et délicat qui raconte autant l'amour maternel que le temps qui passe.
Les Inrockuptibles
Charlotte Gainsbourg perpétue ici, d’une certaine façon, cette tradition familiale de la surexposition mais elle en complexifie la portée voyeuriste.
Libération
Un document émouvant.
Marie Claire
Un moment de cinéma presque volé, tendre et mélancolique.
Ouest France
Un magnifique film sur la transmission.
Positif
Il est [...] inédit voire bouleversant de surprendre Jane en train de confier son anxiété et sa tendresse à la caméra de sa fille, y compris lors de séances photo où Charlotte Gainsbourg, derrière l’objectif, révèle un talent de capture du réel que l’on croyait jusqu’ici réservé à son métier d’actrice.
Transfuge
Un objet bricolé attachant, bel outil de rapprochement filial tardif qui se clôt sur un très émouvant plan-séquence.
Télé 7 Jours
Joli, tendre, émouvant, intelligent. Une réussite.
Télérama
Si le film serre le cœur, c’est qu’il est plein de fantômes. Notre lot à tous.
Voici
Un voyage sentimental plein de nostalgie et de tendresse.
Cahiers du Cinéma
La mise en scène va en se dépouillant (...) pour aller vers une sobriété de captation. Le désir de proximité de Charlotte s’assouvit sous nos yeux, au gré d’un abondant échange où la parole semble donner accès à ce que la pudeur dissimule.
L'Obs
Cousin de « Boxes », le film de Jane Birkin (2007), sa miniature convoque les fantômes de Serge et de Kate Barry, autopsie les culpabilités maternelles, se perd dans un épisode sur les chiens pour se retrouver dans une très belle lettre finale écoutée par Jane sur la plage. Franc, intense, parfois moins, mais en aucun cas un « petit rien ».
Le Monde
Charlotte Gainsbourg pose un regard impudique et tendre sur Birkin.
Les Fiches du Cinéma
Charlotte Gainsbourg se filme avec sa mère, en voyage, chez elle, dans la maison de son père, composant peu à peu un portrait de leur relation plus que de Jane Birkin. Un film parfois un peu bricolé, mais dont plusieurs moments de vérité font le prix.
Première
. Ici, le titre plus approprié serait Charlotte par Jane… et inversement. Et on en ressort le sourire aux lèvres et les yeux embués.
Sud Ouest
Une mère et sa fille, rien de plus au fond, quelle que soit la singularité de leurs destins, et ce fil qui les relie l’une à l’autre se dévide avec la délicatesse d’une chanson triste.
Critikat.com
Les principales contradictions du film se nichent dans cette visite mortuaire de la maison de Serge Gainsbourg, qui déséquilibre l’ensemble, l’écrase sous une tonalité sépulcrale. Comme si la maison normande de Jane n’avait été là que pour préfigurer le retour vers la statue du Commandeur.
aVoir-aLire.com
Charlotte Gainsbourg nous fait découvrir sa mère, Jane Birkin, et semble la redécouvrir par la même occasion. Salvateur pour elle, peut-être plus dispensable pour le spectateur.