Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Présenté en séance spéciale au Festival de Cannes l’an passé, ce documentaire signé Shlomi Elkabetz revient sur les trois films écrits et réalisés avec sa sœur, la comédienne Ronit Elkabetz, aujourd’hui disparue. Il sillonne leur inspiration commune, leur vie, leurs liens. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Dans un documentaire-fleuve en deux parties, Shlomi Elkabetz dresse le portrait de sa sœur, la comédienne israélienne Ronit Elkabetz. Monument post-mortem intime et immense, ces « Cahiers noirs » racontent l'amour d'un frère pour une sœur, à jamais liés par la passion dévorante d'un art. Une œuvre exigeante qui mérite du temps et des efforts.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Avec deux films en miroir, Shlomi Elkabetz évoque sa sœur et boucle sa collaboration avec celle qui fut aussi son actrice et sa coréalisatrice, Ronit Elkabetz. Plus qu’un hommage ou un film de deuil, une œuvre de création vertigineuse et sublime.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Shlomi Elkabetz rend le plus bel hommage, à l’écran, qui pouvait être rendu à une actrice, une scénariste, une artiste passionnée, mais aussi une sœur et une femme inoubliable pour tous·tes celleux qui ont aimé ses films ou l’ont un jour croisée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Dans sa manière de le mêler si intimement à la vie, avec ses moyens tout à la fois rudimentaires et terrassants (des centaines d’heures d’archives personnelles tournées par Shlomi Elkabetz depuis trente ans), Cahiers noirs, film entièrement de montage, est un monument à portée de main, chef-d’œuvre artisanal dont se révèlent toutes les coutures à mesure qu’il épouse l’existence des créatures qui s’y agitent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Réalité et fiction, pudeur et impudeur, passé et présent : Cahiers noirs mêle les contraires et les paradoxes dans un même flux impressionniste et entraîne le spectateur dans sa poésie bouleversante. Un portrait d’actrice comme on n’en a jamais vu.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Ce jeu entre réalité et fiction, servi par un montage à la fluidité exceptionnelle, raconte de façon déchirante la femme d'exception qu'elle fut.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Une magnifique lettre à l’absente, comme une flèche en plein cœur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ophir Levy
C’est qu’en plus d’être un poignant hommage, un passionnant portrait de famille et un formidable document sur une actrice au travail, Cahiers noirs est avant tout un grand film de revenants.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
À la fois film de famille, journal intime et carnet de voyages, la force de Cahiers noirs réside dans sa manière d’élaborer une forme nouvelle, hybride et singulière, que l’on pourrait définir comme une élégie cinématographique.
L'Obs
par Sophie Grassin
De ses 600 heures de rushes, il a tiré un documentaire formidable en deux parties, ancré dans la banalité du quotidien, repentir de leur relation fusionnelle (ils ont coréalisé une trilogie), qui ambitionne d’abolir les frontières entre l’existence et le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Shlomi Elkabetz mêle extraits de films et archives personnelles pour rendre un hommage déchirant à sa sœur, trop tôt disparue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par A.C.
Puisé dans des centaines d'heures de rushes et d'archives personnelles magnifiques, déployé à la façon d'un poème lyrique, ce diptyque ressuscite et salue l'énergie dévorante que la défunte, actrice aussi incandescente que prodigieuse, déployait au nom de toutes les femmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Pour parvenir à ce résultat à mille lieux de tout hommage scolaire ou du banal récit chronologique d’un parcours artistique exceptionnel bien trop tôt interrompu, Shlomi Elkabetz fait montre d’un sens impressionnant du montage mais surtout d’une sensibilité d’autant plus renversante que jamais il ne verse dans l’impudeur (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Orchestrés avec amour, les souvenirs des Cahiers noirs deviennent une magnifique symphonie pour une femme, une présence, une actrice.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Michaël Melinard
Le film devient une réflexion sur le corps, sa capacité à endurer, à se sublimer dans la souffrance. C’est aussi le récit éclaté, poétique et sentimental d’une relation fusionnelle entre un frère et sa sœur dont les traumas familiaux n’ont jamais complètement été résolus.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Clarisse Fabre
Déclaration d’amour et hommage à sa sœur disparue, Ronit Elkabetz, laquelle a succombé à un cancer en 2016, à l’âge de 51 ans, Cahiers noirs, réalisé par son frère cadet Shlomi Elkabetz, déploie deux longs-métrages. A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro
par Etienne Sorin
En 2016, la grande actrice israélienne Ronit Elkabetz (Alila, Mon trésor) succombe à un cancer à l'âge de 51 ans. Avec son frère, Shlomi, elle signe une trilogie inspirée de ses parents. À partir de rushs et de films de famille, Shlomi lui rend hommage dans un diptyque réservé à ses admirateurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
Présenté en séance spéciale au Festival de Cannes l’an passé, ce documentaire signé Shlomi Elkabetz revient sur les trois films écrits et réalisés avec sa sœur, la comédienne Ronit Elkabetz, aujourd’hui disparue. Il sillonne leur inspiration commune, leur vie, leurs liens. Bouleversant.
Les Echos
Dans un documentaire-fleuve en deux parties, Shlomi Elkabetz dresse le portrait de sa sœur, la comédienne israélienne Ronit Elkabetz. Monument post-mortem intime et immense, ces « Cahiers noirs » racontent l'amour d'un frère pour une sœur, à jamais liés par la passion dévorante d'un art. Une œuvre exigeante qui mérite du temps et des efforts.
Les Fiches du Cinéma
Avec deux films en miroir, Shlomi Elkabetz évoque sa sœur et boucle sa collaboration avec celle qui fut aussi son actrice et sa coréalisatrice, Ronit Elkabetz. Plus qu’un hommage ou un film de deuil, une œuvre de création vertigineuse et sublime.
Les Inrockuptibles
Shlomi Elkabetz rend le plus bel hommage, à l’écran, qui pouvait être rendu à une actrice, une scénariste, une artiste passionnée, mais aussi une sœur et une femme inoubliable pour tous·tes celleux qui ont aimé ses films ou l’ont un jour croisée.
Libération
Dans sa manière de le mêler si intimement à la vie, avec ses moyens tout à la fois rudimentaires et terrassants (des centaines d’heures d’archives personnelles tournées par Shlomi Elkabetz depuis trente ans), Cahiers noirs, film entièrement de montage, est un monument à portée de main, chef-d’œuvre artisanal dont se révèlent toutes les coutures à mesure qu’il épouse l’existence des créatures qui s’y agitent.
Marianne
Réalité et fiction, pudeur et impudeur, passé et présent : Cahiers noirs mêle les contraires et les paradoxes dans un même flux impressionniste et entraîne le spectateur dans sa poésie bouleversante. Un portrait d’actrice comme on n’en a jamais vu.
Ouest France
Ce jeu entre réalité et fiction, servi par un montage à la fluidité exceptionnelle, raconte de façon déchirante la femme d'exception qu'elle fut.
Paris Match
Une magnifique lettre à l’absente, comme une flèche en plein cœur.
Positif
C’est qu’en plus d’être un poignant hommage, un passionnant portrait de famille et un formidable document sur une actrice au travail, Cahiers noirs est avant tout un grand film de revenants.
Cahiers du Cinéma
À la fois film de famille, journal intime et carnet de voyages, la force de Cahiers noirs réside dans sa manière d’élaborer une forme nouvelle, hybride et singulière, que l’on pourrait définir comme une élégie cinématographique.
L'Obs
De ses 600 heures de rushes, il a tiré un documentaire formidable en deux parties, ancré dans la banalité du quotidien, repentir de leur relation fusionnelle (ils ont coréalisé une trilogie), qui ambitionne d’abolir les frontières entre l’existence et le cinéma.
La Croix
Shlomi Elkabetz mêle extraits de films et archives personnelles pour rendre un hommage déchirant à sa sœur, trop tôt disparue.
Le Journal du Dimanche
Puisé dans des centaines d'heures de rushes et d'archives personnelles magnifiques, déployé à la façon d'un poème lyrique, ce diptyque ressuscite et salue l'énergie dévorante que la défunte, actrice aussi incandescente que prodigieuse, déployait au nom de toutes les femmes.
Première
Pour parvenir à ce résultat à mille lieux de tout hommage scolaire ou du banal récit chronologique d’un parcours artistique exceptionnel bien trop tôt interrompu, Shlomi Elkabetz fait montre d’un sens impressionnant du montage mais surtout d’une sensibilité d’autant plus renversante que jamais il ne verse dans l’impudeur (...).
Télérama
Orchestrés avec amour, les souvenirs des Cahiers noirs deviennent une magnifique symphonie pour une femme, une présence, une actrice.
L'Humanité
Le film devient une réflexion sur le corps, sa capacité à endurer, à se sublimer dans la souffrance. C’est aussi le récit éclaté, poétique et sentimental d’une relation fusionnelle entre un frère et sa sœur dont les traumas familiaux n’ont jamais complètement été résolus.
Le Monde
Déclaration d’amour et hommage à sa sœur disparue, Ronit Elkabetz, laquelle a succombé à un cancer en 2016, à l’âge de 51 ans, Cahiers noirs, réalisé par son frère cadet Shlomi Elkabetz, déploie deux longs-métrages. A voir.
Le Figaro
En 2016, la grande actrice israélienne Ronit Elkabetz (Alila, Mon trésor) succombe à un cancer à l'âge de 51 ans. Avec son frère, Shlomi, elle signe une trilogie inspirée de ses parents. À partir de rushs et de films de famille, Shlomi lui rend hommage dans un diptyque réservé à ses admirateurs.