Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Ce documentaire immersif épate par sa puissance existentielle. C’est aussi la révélation d’une réalisatrice au regard frontal et humaniste : Yé Yé.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est touchant, instructif, dur, drôle et passionnant.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Un film sidérant montre les conséquences d’un système de santé cédant aux sirènes du capitalisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Cette immersion, filmée avec une justesse chirurgicale, dans l’hôpital tentaculaire de Shanghai est une radiographie de la Chine d’aujourd’hui, où l’archaïsme nargue la modernité, la tragédie flirte avec la comédie et la poésie en impose à la technologie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Il est moins question pour Ye Ye de porter un regard critique sur son pays que d’en montrer le versant intime. Celui d’une humanité confrontée à la souffrance qui se révèle avec sa pudeur, un certain fatalisme mais aussi une bonne dose d’humour et d’optimisme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Autant de situations et de personnages dont l'humanité nous bouleverse au fil de dialogues pudiques et crus, et où la souffrance n'interdit pas l'humour ni l'entrain.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce film ne se résume pas toutefois à l’intolérable étreinte de la souffrance et du dénuement. Il est aussi plein de vie, de résistance, d’espoir. Il est, à sa manière, un bel et pathétique éloge de l’endurance du peuple chinois.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Ye Ye, avec un œil aussi élégant qu’efficace, soigne son cadre pour portraiturer ces délaissés dans leur dignité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Ye Ye filme avec beaucoup d’humanité et de talent cinq familles confrontées à l’injustice et aux contradictions du système de santé chinois.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
En suivant cinq familles dans l’immensité de l’Hôpital du peuple n°6 de Shanghai, la cinéaste Ye Ye offre une plongée fascinante dans le tentaculaire réseau de santé chinois pré-Covid, radiographie d’un microcosme social autant que d’une modernité économiquement sans pitié.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par William Le Personnic
La belle idée de ce long métrage est de montrer ces corps forcés à l’immobilisme sous la verve étonnante de l’optimisme, la résilience, et d’un boute-en-train salvateur. La société chinoise semble refuser de se laisser abattre, de fondre dans le miroitement des humeurs négatives même dans les situations préoccupantes et inespérées.
Première
par Gael Golhen
Poétique, drôle, touchant, émouvant... H6 est la photographie d'un lieu et des gens qui y passent. A un niveau plus symbolique, le film raconte aussi le rapport d'un peuple à la maladie, à la vie et à la mort. A sa culture. C’est assez fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Devant la caméra de Ye Ye, l’hôpital devient le précipité du gigantisme et de la misère sociale, en Chine, mais c’est bien l’étrange mélancolie joyeuse d’un peuple en constante résilience qui domine, et force l’admiration.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Eva Markovits
En révélant le travail à la chaîne de cet hôpital, H6 n’échappe pas totalement à la mécanisation, dans la redondance de certaines séquences ou le montage uniforme dans lequel il s’enferme. Mais il offre avant tout une dignité à ces êtres, leur créant un autre espace, plus hospitalier que le huis clos implacable dans lequel ils sont confinés.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Tourné avant le Covid, H6 marche à l'émotion. Cela ne suffit pas tout à fait pour captiver.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Si le film n’est pas à charge contre l’hôpital chinois, la réalisatrice semble avoir pris le parti de démontrer à quel point ce sont les élans de solidarité individuels qui pallient les lacunes d’une froide organisation collective. Un parti pris brûlant d’actualité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Plusieurs semaines de la vie de cinq familles qui ont recours à l’hôpital H6 de Shanghai. Un témoignage étonnant d’humanité dans l’un des plus grands hôpitaux chinois.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Corentin Lê
Roublard et par endroits douteux, H6 cherche à émouvoir au forceps.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
Ce documentaire immersif épate par sa puissance existentielle. C’est aussi la révélation d’une réalisatrice au regard frontal et humaniste : Yé Yé.
Ouest France
C'est touchant, instructif, dur, drôle et passionnant.
L'Humanité
Un film sidérant montre les conséquences d’un système de santé cédant aux sirènes du capitalisme.
L'Obs
Cette immersion, filmée avec une justesse chirurgicale, dans l’hôpital tentaculaire de Shanghai est une radiographie de la Chine d’aujourd’hui, où l’archaïsme nargue la modernité, la tragédie flirte avec la comédie et la poésie en impose à la technologie.
La Croix
Il est moins question pour Ye Ye de porter un regard critique sur son pays que d’en montrer le versant intime. Celui d’une humanité confrontée à la souffrance qui se révèle avec sa pudeur, un certain fatalisme mais aussi une bonne dose d’humour et d’optimisme.
Le Journal du Dimanche
Autant de situations et de personnages dont l'humanité nous bouleverse au fil de dialogues pudiques et crus, et où la souffrance n'interdit pas l'humour ni l'entrain.
Le Monde
Ce film ne se résume pas toutefois à l’intolérable étreinte de la souffrance et du dénuement. Il est aussi plein de vie, de résistance, d’espoir. Il est, à sa manière, un bel et pathétique éloge de l’endurance du peuple chinois.
Le Parisien
Ye Ye, avec un œil aussi élégant qu’efficace, soigne son cadre pour portraiturer ces délaissés dans leur dignité.
Les Fiches du Cinéma
Ye Ye filme avec beaucoup d’humanité et de talent cinq familles confrontées à l’injustice et aux contradictions du système de santé chinois.
Libération
En suivant cinq familles dans l’immensité de l’Hôpital du peuple n°6 de Shanghai, la cinéaste Ye Ye offre une plongée fascinante dans le tentaculaire réseau de santé chinois pré-Covid, radiographie d’un microcosme social autant que d’une modernité économiquement sans pitié.
Positif
La belle idée de ce long métrage est de montrer ces corps forcés à l’immobilisme sous la verve étonnante de l’optimisme, la résilience, et d’un boute-en-train salvateur. La société chinoise semble refuser de se laisser abattre, de fondre dans le miroitement des humeurs négatives même dans les situations préoccupantes et inespérées.
Première
Poétique, drôle, touchant, émouvant... H6 est la photographie d'un lieu et des gens qui y passent. A un niveau plus symbolique, le film raconte aussi le rapport d'un peuple à la maladie, à la vie et à la mort. A sa culture. C’est assez fascinant.
Télérama
Devant la caméra de Ye Ye, l’hôpital devient le précipité du gigantisme et de la misère sociale, en Chine, mais c’est bien l’étrange mélancolie joyeuse d’un peuple en constante résilience qui domine, et force l’admiration.
Cahiers du Cinéma
En révélant le travail à la chaîne de cet hôpital, H6 n’échappe pas totalement à la mécanisation, dans la redondance de certaines séquences ou le montage uniforme dans lequel il s’enferme. Mais il offre avant tout une dignité à ces êtres, leur créant un autre espace, plus hospitalier que le huis clos implacable dans lequel ils sont confinés.
Le Figaro
Tourné avant le Covid, H6 marche à l'émotion. Cela ne suffit pas tout à fait pour captiver.
Les Inrockuptibles
Si le film n’est pas à charge contre l’hôpital chinois, la réalisatrice semble avoir pris le parti de démontrer à quel point ce sont les élans de solidarité individuels qui pallient les lacunes d’une froide organisation collective. Un parti pris brûlant d’actualité.
aVoir-aLire.com
Plusieurs semaines de la vie de cinq familles qui ont recours à l’hôpital H6 de Shanghai. Un témoignage étonnant d’humanité dans l’un des plus grands hôpitaux chinois.
Critikat.com
Roublard et par endroits douteux, H6 cherche à émouvoir au forceps.