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Golden54
5 abonnés
98 critiques
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3,5
Publiée le 21 mai 2022
Un film français très efficace. Un scénario simple. Quelques scènes sont très bien pensées. MB14 est dans un rôle sur-mesure pour lui, il faut voir si il confirmera dans un rôle différent. J'ai été happé par la force de l'opéra et ses classiques sur l'on peut entendre ici. L'émotion dont parle le film je l'ai ressenti et à la fin j'ai juste versé ma larme tellement c'était puissant et évident. Le film se perd malheureusement dans certaines caricatures et effets de scénarios au final pas nécessaires. La copine qui part à l'armée (pas utile) Le grand frère betiot et beaucoup trop caricatural (respect ! frère) Cette maladie au second plan totalement inutile. Et le 93, forcément, à chaque fois qu'il y a un film sur le 93, faut que ça soit dans les 10% du 93 qui sont craignos .. la caricature ultime. Ce film malgré ces choix mérite d'être vu.
Ce film est une très belle surprise ! Un jeu d'acteur excellent avec une Michèle Laroque au top et un MB14 incroyable... les seconds rôles sont également très touchant. Je recommande cette jolie comédie française comme on les aime.
Voilà le genre de film qui ne m'intéresse pas. Rien ne colle dans ce ratage complet. La bande annonce n'était déjà pas réussie mais dans sa version longue ce n'est pas mieux. Du cinéma grand public qui ne fera pas de mal à une mouche.
"Ténor" est un film que j'ai adoré. L'histoire est sympa mais banale, les personnages sont attachants et les répliques sont satisfaisants. Les acteurs sont top et la durée du film est parfaite.
TENOR : DES VOIX A SUIVRE, UN FILM A VOIR. Beaucoup d’entre nous n’avons assisté à un Opéra ni à un concert de Rap. L’un n’est pas toujours compris et l’autre n’est pas forcément entendu. Si Ténor et Rappeur ne riment pas tout à fait, ils cohabitent aisément dans nos playlists. L’art c’est éprouver une émotion, faire vibrer notre imagination. L’Opéra éveille un frisson (et réveille celui qui s’est endormi sur ce confortable fauteuil), le Rap nous transporte vers ces complaintes scandées sur un rythme régulier. Antoine, jeune de banlieue, suit des cours de comptabilité pour son avenir, travaille dans un Shushi shop pour vivre au présent, improvise son quotidien en rappant. Une livraison de shushis à l’Opéra lui fera découvrir l’art lyrique et prendre le « maki » vers cette discipline qui le bouleverse. Son rêve parait incompatible avec la réalité de son milieu. Ce dilemme l’oblige à se réfugier dans le mensonge. Sweat à capuche vs costard cravate, Nike vs Weston, nous sommes des fashion victimes de ces Dress Codes imposés par nos milieux et nos tribus ! Mais « why not » ce sont toujours des notes, et fi des attributs et que ce soit mal vu. Certaines frontières ne sont pas infranchissables malgré les aprioris de chacun. MB14 a tout à fait « sa place » dans ce rôle émouvant, attendrissant et décline ainsi l’un de ses nombreux talents. La carrure et la carrière de Michèle Laroque lui permettent d’endosser ce très joli rôle de « marraine » ou « bonne fée ». Maéva El Aroussi (Samia) est également « un si grand soleil » dans ce film qui fait du bien. Un feel good réussi à mon avis. Si l’histoire parait attendue, il faut aller voir ce film pour l’ambiance, la performance des interprètes. On peut imaginer un jour qu’il existera un « Opéra-Rap ». Même si vous n’êtes pas « Soprano » allez voir « Ténor », poussez la note et la porte du cinoche pour découvrir ce monde obscur.
On passe un bon moment . Un peu convenu , le scénario nous emporte grâce au talent de MB14, véritable révélation de ce film. Pour le reste, rien de nouveau , c'est toujours le mariage difficile entre la banlieue et le Paris chic intra-muros... la partie pathos de M Laroque n'apporte rien. Cependant, c'est un bon film ...
Ténor n'est pas un mauvais film. Il fait simplement ce qui a déjà été fait et refait un nombre incalculable de fois. Il est, à mon sens, sauvé par son casting très surprenant mais assez juste. Des soucis de narration viennent se glisser mais l'ensemble est rattrapé par certaines fulgurances par-ci et par-là. J'ai passé une bonne séance mais force est de constater que j'ai déjà vu ce film, ses thèmes, ses personnages, son histoire et ses enjeux dans d'autres œuvres. Bien mais dommage.
Un vrai good feel movies à la française. 2 mondes qui se rencontrent ,opéra vs rap , banlieue vs grande bourgeoisie. Bien sûr on frise souvent l'utopie, mais cela fait tellement de bien qu'il y ait des passerelles entre tous. Et puis tous les acteurs sont excellents MB14 en tête . Claude Zidi Jr réussit une jolie comédie bien rythmée ou humour et émotion sont dosés avec justesse. N'attendez pas que le film passe à la TV courrez y.
Ce film est une pépite que je recommande à 200%. Michèle Laroque est épatante en mentor lyrique, quant à MB14 c'est La révélation de ce feel good moovie. Ce film séduira les mélomanes ( Roberto Alagna en guest star, le palais Garnier filmé sous un autre angle) et plaira aux cinéphiles par sa réalisation parfaitement maîtrisée, drôle et émouvante.CLaude Zidi junior est le digne héritier de son père !!!
On a adoré ! Michèle Laroque magnifique, on n'est jamais déçus avec elle. Toute l'équipe du film, la photographie, la musique, c'était un pur bonheur et un gros mélange de sentiments mais aussi d'humour et de beauté. À voir et à revoir !
Ténor Beaucoup de promotions pour ce film sur la rencontre entre un vrai rappeur, MB 14 et un professeur de chant à l'Opéra Garnier, interprété avec finesse par Michèle Laroque, César possible. C'est la rencontre entre les deux styles musicaux, comme "En corps" était celle entre deux types de danse, avec quelques facilités et des histoires sentimentales peu crédibles mais encore plus d'émotion. On pleure beaucoup, enfin moi, surtout à la fin, la même que "Billy Elliot" et donc "En corps", quand toute la banlieue débarque à Garnier, un lieu hautement photogénique. On ne comprends pas un mot d'une des premières scènes qui montre une "battle" de rappeurs, mais l'articulation de Roberto Alagna est comme d'habitude parfaite quand il enseigne Rigoletto à MB 14 ou encore quand ce dernier et Michèle Laroque rappent sur le poème élégiaque de Victor Hugo sur la mort de sa fille Léopoldine : "Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, je partirai.....". Les deux protagonistes s'échangent un CD, d'un côté un best of de Pavarotti et de l'autre celui de 2Pac (prononcer two Pac) . Bande son à base de grands airs des deux styles. C'est mis en scène par Claude Zidi junior, fils de, le papa est l'inoubliable auteur des Ripoux, pas le même style que son père mais très original d'autant que l'idée est du fiston. Mérite la même note que le film de Klapisch 4/5
ça se laisse regarder mais rien d'innovant, c'est du vu et revu, c'est très caricatural, et le film n'apporte rien d'intéressant au cinéma, après il se laisse regarder tranquillement.