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    À l'intérieur
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    42 critiques spectateurs

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    Mumuse777
    Mumuse777

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 novembre 2023
    ce film est Génial, aussi bien l'idée que la réalisation, et aussi le jeu d'acteur, un petit bijou dans le genre
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    169 abonnés 1 119 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 novembre 2023
    Un voleur chevronné à la recherche d'un auto-portrait d'Egon Schiele se retrouve prisonnier de l'appartement qu'il cambriole. La qualité principale de ce trop long film, vu sur quoi il tient, est le lieu en lui-même, j'adorerais vivre dans un endroit pareil où le minimalisme se mêle à une collection d'art contemporain de toute beauté. La seconde qualité du film est Willem Dafoe qui même s'il cabotine un peu le sauve par sa présence. Sinon tout est très ennuyeux et sans grand intérêt.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 320 abonnés 4 102 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2023
    Le premier film de Vasilis Katsoupis est un huis clos qui enferme Willem Dafoe dans un appartement luxueux au sommet dans gratte-ciel new-yorkais. "A l'intérieur" suit en cambrioleur qui se retrouve piégé par un système de sécurité qui bloque toutes les sorties. Pendant des semaines, le personnage devra se débrouiller pour survivre. Sous ses apparences sophistiquées, la mise en scène est en fait brute de décoffrage. Suivant ses instincts primaires, Willem Dafoe explore la nature humaine. Si sa prestation est remarquable, le scénario manque d'ambition et ne raconte finalement pas grand-chose.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 986 abonnés 7 439 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 novembre 2023
    Un cambrioleur chevronné se retrouve piégé dans un penthouse new-yorkais alors qu’il s’apprêtait à dérober plusieurs oeuvres d’art. Livré à lui-même et sans échappatoire, il va devoir faire preuve de ténacité pour pouvoir s’en sortir…

    Passer près de 120 minutes à voir Willem Dafoe déambuler tout seul dans un luxueux appartement, pris au piège au sommet d’un building avec vue sur la skyline de New York, tel un oiseau en cage… Pour être honnête, il faut être courageux, car non seulement le film est rébarbatif, mais en plus de cela, il a de sérieux problèmes de longueur et de rythme, si bien qu’il aurait gagné à être resserré, quitte à nous épargner une bonne grosse demi-heure.

    Le high concept de la domotique qui se retourne contre son occupant, ça va 5min, mais à force, c’est redondant spoiler: (le système de sécurité qui déconne avec la clim réversible qui passe du chaud ou froid et le frigidaire qui nous balance sa "Macarena" de Los Del Rio).
    Cette prison dorée qui contraint son hôte à devoir spoiler: se sustenter de nourriture pour chiens ou des poissons de l’aquarium et de devoir ch!er dans la baignoire (merci pour le plan purement gratuit),
    non seulement c’est prévisible, mais pire, on n’en n’attend jamais rien et on ne s’attend même pas à le voir s’en sortir vivant.

    Alors certes, Willem Dafoe fait le job, mais Willem Dafoe face à lui-même, ses métaphores sur l’art et ses remises en questions philosophiques (pseudos branlettes intellectuelles), on finit rapidement par s’ennuyer et tourner en rond comme Nemo dans sa prison dorée.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    171 abonnés 2 247 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2023
    « A l’intérieur », c’est avant tout un beau numéro d’acteur de Willem Dafoe et un superbe décor : un penthouse New Yorkais gigantesque. En revanche, l’histoire pouvait à la rigueur tenir dans un court-métrage mais là c’est vraiment trop trop long. Une seule salle le projette à Paris la semaine de sa sortie et je comprends maintenant pourquoi.
    Yves G.
    Yves G.

    1 420 abonnés 3 445 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 novembre 2023
    Un cambrioleur pénètre dans un luxueux penthouse new-yorkais pour y dérober des oeuvres d’art. Il s’y retrouve piégé, sans contact avec l’extérieur. La crainte d’y être à tout jamais enfermé se substitue bientôt à celle d’y être cueilli par la police. D’autant que l’eau y a été coupée et que la climatisation fait des siennes.

    À l’intérieur a évité de justesse la sortie en bac. Il n’est guère distribué que dans une seule salle parisienne, l’UGC Ciné Cité des Halles, où une foule nombreuse s’y pressait hier après-midi. Elle était composée de quelques cinéphages comme moi, qui ne ratent aucune sortie, et de beaucoup de jeunes mangeurs de pop-corn, attirés par un pitch qui leur faisait miroiter un thriller. Ils sont sortis de la salle dépités, s’insultant joyeusement : « Trop nul ce film ! Plus jamais je te laisserai choisir le programme ! »

    C’est qu’À l’intérieur joue sur deux ou trois registres. Le premier, qui a attiré ces jeunes spectateurs, est celui du survival movie. On connaît les lois du genre et quelques précédents d’anthologie : Tom Hanks échoué sur une île déserte ("Seul au monde" rediffusé ce soir), Robert Redford prisonnier d’un voilier en perdition ("All is lost"), James Franco, le bras coincé sous un rocher ("127 Heures")… Sacré gageure pour le scénario que de ménager des rebondissements à une histoire qui se déroule avec un seul acteur dans un lieu unique. Et de lui trouver une conclusion qui sorte de l’inévitable alternative : le héros est sauvé/pas sauvé.

    Mais, à cette dimension là, "À l’intérieur" en greffe une autre, plus audacieuse. Voire deux autres. La première, à peine ébauchée, mais bien présente, est une critique anticapitaliste des hyper-riches, de leurs privilèges scandaleux, des oeuvres d’art qu’ils entassent dans des appartements qu’ils désertent. La seconde, plus approfondie, est une réflexion sur l’Art. Très alambiquée, elle se résume tout compte fait à pas grand-chose : la destruction est créatrice. Car notre Arsène Lupin new-yorkais, incarné par un William Dafoe incandescent qui, à près de soixante-dix ans, garde une forme olympique tout en portant sur son corps marqué les stigmates de l’âge, se pique d’être artiste lui aussi. Et, moitié par désœuvrement, moitié par l’effet de la folie qui gagne, il transforme l’appartement où il est piégé en gigantesque oeuvre d’art.

    On ressort du film, sans doute moins catégorique que ses voisins mangeurs de pop corn. Tout n’est certes pas à jeter dans ce film. Mais, faute d’être un survival movie palpitant, faute de proposer sur l’Art une réflexion stimulante, il échoue sur tous les tableaux. Un comble pour un film sur la peinture !
    Nicolas
    Nicolas

    3 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2023
    Si vous avez aimé "127 heures", il est probable que vous appréciez ce film. Si vous êtes intéressé par tout ce qui relève de la survie, vous aimerez aussi probablement. Pour ma part, j'ai vu le film comme une œuvre d'art dont le but est d'être immersive pour nous faire ressentir le sentiment d'enfermement et d'impuissance. En tout cas ce film ne m'a pas laissé indifférent, et si l'on sait à quoi s'attendre avant d'aller le voir, il y'a de grandes chances qu'on l'apprécie.
    JUJUBE20
    JUJUBE20

    25 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 novembre 2023
    William Defoe transforme un loft bien rangé d'un amateur d'art contemporain en œuvre d'art totale, dans un film survivaliste nietzschéen (le surhomme doit affronter les éléments, l'adversité, le destin comme dans une jungle primitive). Il est perdu, mais dans un espace confiné et réduit. Il est seul, mais voit les autres. Il veut fuir, et d'abord sa propre folie. A la fin l'appartement ressemble à un mélange du facteur Cheval, de Thomas Hirshhorn, de la maison cassée de Raynaud, avec un peu de Tapies et même de figuration narrative (chacun choisira son univers préféré). Cela ne casse pas trois pattes à un canard, mais le film va quand même loin et ose - parfois dans le kitsch. Pas entièrement réussi, mais ça sort du tout-venant.
    Joce2012
    Joce2012

    199 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 novembre 2023
    Film assez pessimiste et pas drôle, qui tourne autour des mêmes choses et des métaphores pour montrer que la solitude et le luxe peuvent se côtoyer sans que personne ne s'en préoccupe
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    336 abonnés 1 738 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2023
    À l'intérieur est un huis clos dans le sens noble du terme. Au côté d’un cambrioleur, nous sommes enfermés dans un appartement qui se transforme en un piège pour lui. Impossible de sortir, privé d’eau et de nourriture, il va devoir survivre comme il peut. Ce lieu à première vue luxueux devient alors un endroit des plus hostiles. Plus le temps passe, plus il devient oppressant. L’aspect soigné du départ se transforme en un taudis à mesure que cette cage dorée se dégrade.

    Durant ce thriller, nous aurons donc affaire à un seul véritable protagoniste. Dans un premier temps, il est captivant de voir comment celui-ci va se débrouiller dans ce marasme. Loin d’être bête, ce cambrioleur use d’ingéniosité pour ne pas se laisser mourir. C’est surtout la seconde partie qui est profonde. À partir de ce moment-là, tout l’aspect psychologique ressort. En tête à tête avec lui-même, le cambrioleur sombre logiquement dans la folie.


    Pour jouer cet esprit qui devient torturé, qui mieux que William Defoe. Son aura suffi à faire transpirer cette dégradation psychologique du personnage. Bien qu’il n’ait pas beaucoup de dialogue, son attitude permet de voir le basculement. D’autant plus qu’il exploite parfaitement chaque mot. Son attrait pour l’art ajoute un côté esthétique appréciable.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    151 abonnés 949 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 octobre 2023
    Inside, c'est le presque septuagénaire Willem Dafoe qui doit survivre dans un appart d'un millionnaire amateur d'art après avoir essayer de lui cambrioler ces tableaux. Et puis c'est tout. Même si l'idée était bonne, on s'endort devant ce vide scénaristique et un trop grand soin porté aux plans estéthiques. Une revisite de Robinson Crusoe sans réel intérêt.
    djsteps
    djsteps

    1 abonné 91 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 juillet 2023
    perso, j'étais dégouté d'avoir perdu 1h45 pour arriver à une fin aussi nul !
    trop philosophique pour moi, ça fini sur rien, ou tout, en fait on ne sait pas on imagine ce qu'on veut....c'est vraiment pas ma came ce genre de film
    PrinceWoodly
    PrinceWoodly

    83 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juin 2023
    une ambiance super chiante, rien a voir avec du thriller, si ce film avait une touche fantastique, ca aurait été cool, ce foutu homme ignoble devrait rester enfermer pour toujours, jusqu'a ce qu'il meurt a petit feu, moisie dans sa propre merde, fin ultra stupide!
    traversay1
    traversay1

    3 467 abonnés 4 779 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 juin 2023
    Un appartement de luxe à New York et un cambrioleur pris au piège, condamné à survivre dans cet espace clos, sans possibilité de s'en extraire. Le suspense n'est qu'un aspect mineur du premier long-métrage de Vasilis Katsoupis qui perpétue l'appétence des cinéastes grecs pour le bizarre (Canine, Apples, Attenberg, Her Job, etc.) et si Inside a l'apparence d'un film de survie, il évolue progressivement vers quelque chose d'autre, de plus ambitieux. On passera outre au peu de crédibilité de la situation (un appartement "intelligent" est évidemment surveillé à distance par son propriétaire, surtout quand il regorge de tableaux de prix) pour éventuellement se laisser fasciner par le véritable thème du film qui est peu ou prou celui de l'art contre la technologie. Et celui de la création, qui passe par la destruction (c'est un point de vue) et confine à une forme de folie. De beaux concepts mais qui ont du mal à passionner dans le contexte enfermé de Inside. Si l'ennui ne gagne pas la partie, c'est un peu grâce à La Macarena (sic), et surtout à Willem Dafoe lequel, en dépit de ses 67 ans, est parfaitement convaincant dans des conditions extrêmes. Quant au dénouement du film, on s'en fiche un peu et on peut à la place imaginer la tête effaré du propriétaire de l'appartement, qui s'aperçoit qu'en son absence, un intrus a fait comme chez lui.
    Anna_
    Anna_

    21 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mai 2023
    Le synopsis avait l'air pas mal, assez original. Par contre le film est ennuyeux, long, sans rythme.....
    Je m'attendais à mieux...
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