Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
A l’intérieur, œuvre ironique au concept original n’est pas sans faire penser à The Square de Ruben Östlund par son côté provocateur et son humour ravageur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le temps passe doucement des deux côtés de l'écran.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une œuvre vitale.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un brillant travail de caméra.
Le Monde
par J.-F. R.
La condition pour que « personne » (nemo) redevienne « quelqu’un » passe par un processus de destruction de son environnement. Le cinéma retrouve dès lors toutes les caractéristiques d’un art de la dépense, la jouissance du spectateur s’éprouvant dans une expérience singulière, celle du spectacle d’une dévastation sans limites.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Katsoupis explore l’impuissance des œuvres privées de leur public, mais n’en tire qu’un pensum plus large sur l’incommunicabilité [...] Plus curieuse est l’architecture paranoïaque du loft avec ses pièces secrètes : et si le mauvais sort de Nemo n’était pas dû qu’au hasard ?
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Film apparemment classique dépassant pourtant les attentes par sa volonté d’aborder par le menu les étapes de la dégringolade d’une psyché en situation extrême, imparfait, parfois bancal mais ayant la générosité des bons films de cinéma dans sa manière d’exploiter une situation jusqu’à sa limite, porté par un acteur prodigieux, A l’intérieur s’avère un premier film de belle facture, et un geste créatif de bonne augure pour un jeune cinéaste prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Willem Dafoe, présent à chaque plan, sauve le film par son intensité et son immense talent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Dans ce film du Grec Vasilis Katsoupis, Willem Dafoe incarne magistralement un cambrioleur coincé dans un appartement luxueux de Manhattan.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit expérimental qui vire à l’abstraction, brouille nos repères au point de perdre la notion du temps.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Guillaume Ange
Pour son premier long métrage, Vassilis Katsoupis mêle habilement le thriller psychologique à une transposition moderne de Robinson Crusoé. Malgré un récit bien mené, le film laisse toutefois le spectateur aussi affamé que le personnage dont il vient de suivre la déchéance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
La réussite du film tient dans l’écrin multi-facettes qu’il offre à la fois à l’acteur qui s’y donne à coeur joie dans la représentation de la folie, mais aussi à une foule de métaphores possibles de cet enfermement qui font du film une expérience d'une contemporanéité vibrante et captivante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
A l’intérieur réussit malgré tout à rester au-dessus de la ligne de flottaison, essentiellement grâce à son parti pris central : faire reposer l’intégralité du récit sur un unique personnage et en confier le rôle à Willem Dafoe, reptile amphibie aussi naturellement à l’aise dans la sophistication que dans la sauvagerie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Cet "À l'intérieur" est un peu ennuyeux, mais pas dénué d'intérêt, ni de prétentions.
Paris Match
par Yannick Vely
Qu'importe si le script manque un peu de surprises, le plaisir tient dans l'installation et dans le puzzle imaginé par l'auteur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par François Léger
Bardé de motifs métaphoriques et de clins d’oeil, le film reste pourtant bloqué au premier niveau. La faute à la mise en scène solide mais sans génie du réalisateur grec Vasilis Katsoupis. Ce qui n’empêche aucunement À l’intérieur de fonctionner comme un pur plaisir pervers de spectateur (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Décor spectaculaire, image sophistiquée, scénario original, acteur phénoménal (Willem Dafoe) : À l’intérieur ne manque pas d’atouts. Il obéit à la loi du thriller mais s’en échappe aussi en livrant une méditation esthétique teintée d’ironie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Thriller de survie dans le monde hostile des œuvres d’art : idée de départ intrigante pour le premier film de fiction du Grec Vasilis Katsoupis. Qui, hélas, n’en fait pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
On adore Willem Dafoe lorsqu’il est bien dirigé, mais quand ça n’est pas le cas, comme ici, il peut en faire des tonnes. Et franchement, qui a envie de passer 1h45 enfermé avec un comédien pris en flagrant délit de cabotinage ?
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Camille Brun
Après un point de départ amusant, admirer Willem Dafoe seul à l'écran durant plus de quatre-vingt-dix minutes est un programme a priori réjouissant. Hélas, le scénario n'est pas à sa hauteur.
Voici
par La Rédaction
En dépit du charisme dévorant de Willem Dafoe, le film tourne vite en rond.
20 Minutes
A l’intérieur, œuvre ironique au concept original n’est pas sans faire penser à The Square de Ruben Östlund par son côté provocateur et son humour ravageur.
CinemaTeaser
Le temps passe doucement des deux côtés de l'écran.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une œuvre vitale.
Le Dauphiné Libéré
Un brillant travail de caméra.
Le Monde
La condition pour que « personne » (nemo) redevienne « quelqu’un » passe par un processus de destruction de son environnement. Le cinéma retrouve dès lors toutes les caractéristiques d’un art de la dépense, la jouissance du spectateur s’éprouvant dans une expérience singulière, celle du spectacle d’une dévastation sans limites.
Cahiers du Cinéma
Katsoupis explore l’impuissance des œuvres privées de leur public, mais n’en tire qu’un pensum plus large sur l’incommunicabilité [...] Plus curieuse est l’architecture paranoïaque du loft avec ses pièces secrètes : et si le mauvais sort de Nemo n’était pas dû qu’au hasard ?
Culturopoing.com
Film apparemment classique dépassant pourtant les attentes par sa volonté d’aborder par le menu les étapes de la dégringolade d’une psyché en situation extrême, imparfait, parfois bancal mais ayant la générosité des bons films de cinéma dans sa manière d’exploiter une situation jusqu’à sa limite, porté par un acteur prodigieux, A l’intérieur s’avère un premier film de belle facture, et un geste créatif de bonne augure pour un jeune cinéaste prometteur.
L'Obs
Willem Dafoe, présent à chaque plan, sauve le film par son intensité et son immense talent.
Le Figaro
Dans ce film du Grec Vasilis Katsoupis, Willem Dafoe incarne magistralement un cambrioleur coincé dans un appartement luxueux de Manhattan.
Le Journal du Dimanche
Un récit expérimental qui vire à l’abstraction, brouille nos repères au point de perdre la notion du temps.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier long métrage, Vassilis Katsoupis mêle habilement le thriller psychologique à une transposition moderne de Robinson Crusoé. Malgré un récit bien mené, le film laisse toutefois le spectateur aussi affamé que le personnage dont il vient de suivre la déchéance.
Les Inrockuptibles
La réussite du film tient dans l’écrin multi-facettes qu’il offre à la fois à l’acteur qui s’y donne à coeur joie dans la représentation de la folie, mais aussi à une foule de métaphores possibles de cet enfermement qui font du film une expérience d'une contemporanéité vibrante et captivante.
Libération
A l’intérieur réussit malgré tout à rester au-dessus de la ligne de flottaison, essentiellement grâce à son parti pris central : faire reposer l’intégralité du récit sur un unique personnage et en confier le rôle à Willem Dafoe, reptile amphibie aussi naturellement à l’aise dans la sophistication que dans la sauvagerie.
Mad Movies
Cet "À l'intérieur" est un peu ennuyeux, mais pas dénué d'intérêt, ni de prétentions.
Paris Match
Qu'importe si le script manque un peu de surprises, le plaisir tient dans l'installation et dans le puzzle imaginé par l'auteur.
Première
Bardé de motifs métaphoriques et de clins d’oeil, le film reste pourtant bloqué au premier niveau. La faute à la mise en scène solide mais sans génie du réalisateur grec Vasilis Katsoupis. Ce qui n’empêche aucunement À l’intérieur de fonctionner comme un pur plaisir pervers de spectateur (...).
Télérama
Décor spectaculaire, image sophistiquée, scénario original, acteur phénoménal (Willem Dafoe) : À l’intérieur ne manque pas d’atouts. Il obéit à la loi du thriller mais s’en échappe aussi en livrant une méditation esthétique teintée d’ironie.
La Voix du Nord
Thriller de survie dans le monde hostile des œuvres d’art : idée de départ intrigante pour le premier film de fiction du Grec Vasilis Katsoupis. Qui, hélas, n’en fait pas grand-chose.
Le Parisien
On adore Willem Dafoe lorsqu’il est bien dirigé, mais quand ça n’est pas le cas, comme ici, il peut en faire des tonnes. Et franchement, qui a envie de passer 1h45 enfermé avec un comédien pris en flagrant délit de cabotinage ?
Télé Loisirs
Après un point de départ amusant, admirer Willem Dafoe seul à l'écran durant plus de quatre-vingt-dix minutes est un programme a priori réjouissant. Hélas, le scénario n'est pas à sa hauteur.
Voici
En dépit du charisme dévorant de Willem Dafoe, le film tourne vite en rond.