Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
James Ford
211 abonnés
192 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 29 février 2024
Code8 Part 2 est une petite déception ... J'avais beaucoup apprécié le 1er film (petit film indé mais fait avec beaucoup de talent et d'idée). Qui pour le coup, ici, je ne retrouve quasiment rien. Alors attention. On a toujours de bonnes petites idée (et la réa très efficace).
Jeff Chan et son équipe canadienne (respect éternel depuis 93's), font un super taf (CGI toujours propre, Robot chien). Le duo Amell fonctionne toujours très bien. Même si j'aurais aimé plus d'emphase avec le perso de Connor (et c'est pouvoir ...). La jeune Sirena Gulamgaus s'en tire très bien.
Mon gros souci, c'est que j'ai l'impression qu'on égratigne à peine l'univers (ou les perso). Si dans le 1er le tout fonctionné. Ici j'ai l'impression d'un pas en arrière assez conséquent. J'aurais aimé à + d'ambition. Reste bien sympa a regardé. Surtout si on a aimé le premier.
Une suite sans grande originalité, une fois le décorum et contexte posés on reste dans une intrigue assez convenue. Quand aux effets spéciaux et mise en contexte futuriste c est assez pauvre. Les interprétations sont affligeantes avec ces dialogues inconsistants. De la SF bas de gamme en résumé pour remplir un catalogue de Netflix… ça se range au niveau d un téléfilm qui occupera peut être une soirée (et encore …) et qui restera sûrement moins dans les mémoires que le premier opus.
On aurait pu penser que le 2ème opus serait une répétition du 1er. Pas du tout! Jeff Chan parvient encore à nous surprendre avec son exploitation des aspects socio-économiques de l'existence des mutants dans notre société. La surprise vient de deux choses. D'un subtil approfondissement de l'idée que les mutations peuvent non seulement se monnayer, mais aussi se hiérarchiser. La deuxième surprise étant de concevoir que des mutations nouvelles pouvaient apparaître chaque jour, et constituer autant un don qu'une tare. Comme dans son 1er opus, Le jeune réalisateur américain ne nous prive ni d'action, ni de suspense et encore moins de bons dialogues.
malheureusement moins bien que le premier, tres/trop mou, çà traine en longueur on s’ennuie. les scènes d'action sont peu nombreuse et peu excitante. bref çà ce regarde mais c'est vraiment pas intéressant.
J'ai revu la première partie de 2019 pour me rappeler l'univers particulier et son originalité technologique que j’ai fort bien aimé. La seconde partie que l’on peut considérer comme une suite, a gardé tout le bon côté de cet univers. Cependant, je n’avais pas aimé l’aspect caïd trafiquant en mode cliché du premier film. Cette seconde partie a construit son histoire autour d’un personnage ayant des pouvoirs particuliers sur fond de flics corrompus. L’histoire est un peu plus travaillée avec des personnages qui réagissent de façon plus logique. Et c’est pour moi mieux écrit et interprété. Même si ce deuxième film applique la même recette autour du même concept, cela n’en fait pas un excellent film mais une suite plus aboutie que la première partie. Un film distrayant qui se regarde facilement.
Etait-il vraiment nécessaire et judicieux d'offrir une suite à Code 8? Sans doute pas, car cette partie 2 reste très superficielle. La jeune fille qu'on doit protéger d'un flic corrompu, c'est du déjà-vu et ajouter un chien robot ne fait malheureusement pas tout. Visuellement, c'est pas trop mal mais loin d'être transcendant...
Que dire sinon que c'est inintéressant au possible, nous avons un scénario mal écrit, une photographie assez laide, des personnages sans charisme pour lesquels on éprouve aucune empathie et paradoxalement le film est à la fois violent et mou. Sinon les chines robots sont rigolos
C'est le genre de film que j'aime quand on sent les dangers d'une technologie qui peut dérailler dans un monde futuriste. Néanmoins la facture fait plus penser à une série qu'à une grosse production.
Ce film manque cruellement d'une histoire cohérente. Tout repose sur un socle trop fragile qui relie l'adolescente Pavani à l'ex-détenu Connors. Or les enjeux sont énormes puisque leurs vies sont en jeu. Je mets de côté les supers pouvoirs des individus qui sont un postulat de départ qu'il faut accepter, surtout en ayant vu la première partie de Code 8 (2019). Au final, en dehors des performances des robots chien policier, il n'y a pas grand chose de passionnant. Le premier film m'a semblé supérieur.
On s'ennuie ferme dans cette décevante suite du pourtant apprécié Code 8. Le succès surprise du premier volet a inévitablement entrainé une suite mais cette dernière est véritablement paresseuse. Il ne se passe rien, c'est une absence totale de scénario ! La présence d'un robot canin ne suffit pas à apporter de la nouveauté au récit et surtout, on aurait pu penser qu'un ajout de capitaux au budget de ce second volet aurait permis de développer une saga et de découvrir de nouveaux pouvoirs, il n'en ai rien !
Le réalisateur Jeff Chan est un habitué des films et séries de plateforme mais plutôt tendance fleur bleue et davantage destinées au public féminin. Un honnête faiseur qui a porté un projet diamétralement opposé dans un tout autre genre. En effet, il avait écrit, produit et réalisé une série B sortie de nulle part et plutôt sympathique il y a cinq ans intitulée « Code 8 ». Il a enrôlé les cousins Robbie et Stephen Amell, des amis à lui, et imaginé ce film dystopique entre thriller et anticipation ultra réaliste. Le seul élément véritablement science-fictionnel du récit était la présence de personnes aux super-pouvoirs dans la société, personnes dont la moelle épinière générait une drogue addictive. Comme si les « X-Men » croisaient « Total Recall » et « Limitless ». C’était assez basique au niveau de l’histoire mais impressionnant au niveau du rendu visuel et spectaculaire au regard du très maigre budget alloué pour la production. On reprend exactement les mêmes et on recommence avec cette suite mais avec un budget un peu plus important. Le résultat est exactement à l’image du premier mais sans l’effet de surprise et avec peut-être la déception de voir cet univers plein de possibilités si peu étendu dans cette séquelle. Un numéro deux est censé être supérieur au niveau du spectacle mais ici c’est le statu quo avec quelques ajouts de-ci de-là comme ces chiens robots ou l’entente police et trafiquants de Spyke, la fameuse drogue. « Code 8, partie II » manque donc le coche d’être meilleur et plus imposant que l’original.
En effet, l’histoire est finalement ici encore plus simpliste puisque c’est la sempiternelle histoire de la gentille petite fille à protéger qui a vu ce qu’elle ne devait pas voir et développe des pouvoirs inédits. Cette suite prend donc la forme d’un film de traque avec deux ou trois scènes d’action bien exécutées mais pas transcendantes non plus auxquelles on a ajouté un nouveau thème de fond à la mode : une critique et un état des lieux assez pertinent et contemporain des violences policières sur une minorité et de la corruption des forces de l’ordre en général. Bien vu mais relativement survolé. Encore une fois, Chan sait filmer et nous gratifie d’effets spéciaux de toute beauté (les robots sont d’un réalisme frappant). Il nous offre une nouvelle petite série B du samedi soir cool et rythmée mais qui ne laissera clairement pas un souvenir impérissable. On sent que l’envie d’une franchise est là d’ailleurs; et pourquoi pas si le troisième épisode nous apporte plus de valeur ajoutée et développe de manière plus convaincante son univers aux multiples potentialités. En attendant, « Code 8, partie II » déçoit un peu mais se regarde tout de même avec plaisir. Sans temps mort, efficace et humble, il nous fait passer un bon moment si on cherche juste à se divertir sans trop réfléchir.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Pour la suite du premier volet de Code 8, Stephen et Robbie Amell reviennent pour une suite débordante d'action L'intrigue est bonne et les personnages bien construit Je valide !