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hyrule
73 abonnés
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2,5
Publiée le 31 mai 2011
OK, Jugnot est bien dans ce rôle comme il serait bien dans un autre, mais tout ces autres acteurs tous aussi nuls les uns que les autres... Bon l'histoire est celle d'un téléfilm classique, donneur de leçons, happy end, et tout le tralala, mais ça passe une petite soirée gentillette.
C'est tout mignon........oui mais on part du présupposé que les thérapies servent à quelque chose........ peut-être bien...... en tout cas ce film est une belle publicité pour remplir les cabinets de psy...... quelques bonnes idées.....
La bonne surprise! Jugnot est excellent, tout comme nin, ne. Franchoullard? A fond et alors! En plus, c'est gonflé. Un psy comme Jugnot j'en redemande. Ne passez pas à coté; de ce film (drôle, émouvant et presque toujours passionnant) qui a été un bide au ciné. Rattrappez-vous en dvd!!! Le rendez-vous est pris?
2sur5 Il y a comme un décalage anachronique dans ce premier (et seul à ce jour) film du scénariste Yves Lalandier, adepte déclaré de la psychothérapie mettant en scène cette lubbie sans revendiquer le moindre esprit de sérieux. Le film donne un coup de projecteur sur ces schémas dans lesquels on s'enferme et se prive. Mais son héroine, Eglantine, sympathique cela dit, ressemble à un prototype de série teen 80's : pourtant, un charme curieux s'en dégage. Autre anachronisme majeur : en le travestissant en bonne âme, avenante et sincère, Lalandier réussit l'exploit de rendre Gérard Jugnot sympathique (comme il pouvait l'être dans ses films des 80's), à contre-courant de son image d'aujourd'hui qui est celle d'un débiteur de vérités réactionnaires et de vieux capitaliste sermonneur et suffisant. La vocation de Oui, mais... à s'établir en ''comédie décalée'' n'est qu'à demi-satisfaite, puisque s'il amuse franchement, le film est aussi astreint par des manies de téléfilm passe-partout qui le font basculer dans une certaine désuétude. C'est la sortie du trou noir de cette lycéenne bobo, et l'affranchissement des blocages qui l'y maintienne, qui rendent le film aussi attrayant. En résulte une sitcom sur une ado assez audacieuse mais desservie par son manque de goût (voir de choix) sur le plan esthétique. On pourra regretter, bien que cela n'ôte rien à la profondeur du traitement général de ces névroses familiales, cette façon qu'a le film de s'achever comme une grossière pub pour la thérapie. Oui, mais.. pêche sans doute par naiveté, toutefois cette tare lui autorise aussi une certaine fraîcheur, bien qu'on dirait celle d'une autre époque.
Le film évoque les thérapies brèves avec beaucoup de réalisme et de vérité (même en 140 minutes, ce qui est un exercice très difficile). Il n'y a pas, comme beaucoup de films français ou américain, de misérabilisme ou de sensationnalisme. Les aventures vécues le sont avec authenticité. J'ai une excellente connaissance du monde de la psychanalyse (pour avoir fréquenté les théories de Lacan et Freud pendant plusieurs années) et de l'analyse transactionnelle (pour avoir suivi des stages, des formations et lu des livres). Je ne retrancherais rien du film, aucune réplique.
L'analyse des structures qui président au fonctionnement de la personnalité, fonctionnent souvent d'après le triangle dramatique et "tiennent ensemble" grâce à la culpabilité, me semble intéressante. Un grand bravo également au magnifique parallélisme que l'on retrouve entre l'analyse de la fille et celle de la mère: même mécanisme de déni - ce n'est pas moi qu'il faut guérir, mais ... (les autres). Pourquoi, en définitive, se rendre chez un psychanalyse si ce n'est pour se changer soi-même, profondément, et dans une optique de longue durée ?
Un film intéressant pour sa présentation de la discipline passionnante qu'est l'analyse transactionnelle. A voir plus comme un documentaire que comme un film (sinon on peut être déçu). Très intéressant pour ceux qui pensent que seuls les fous font une thérapie ou qu'une thérapie dure forcément des années.
Pourquoi je n'ai pas vu se film à 17 ans ? Une vraie thérapie avec un Gérard Jugnot très crédible en psychothérapeute. La conscience qui s'éveille sous l'inconscient d'une adolescente ayant des problèmes...D'adolescente ! Extra.
Ce film est très donneur de leçons sur le bon comportement et la bonne conduite à suivre par un psychologue qui se donne un rôle au dessus des autres.
Il nous fait l'apologie des thérapies d'analyse transactionnelle en nous les présentant comme étant la seule et unique vérité.
Les personnalités qui y sont présentées sont vraiment des clichés comme une Eglantine un peu naïve qui se laisse avoir par le Don Juan qui ne pense qu'à coucher, et qui ne prête vraiment aucune attention à ses sentiments lors de la scène d'amour dans la voiture !
comprendre les relations humaines créer un lien authentique avec l'autre à la base de l'estime de soi le triangle dramatique pour expliqué avec humour par gerard jugnot
J'ai trouvé ce film vraiment intéressant. Les acteurs rendent cette histoire encore plus attachante. Gérard Jugnot nous montre une fois de plus son grand talent!! De plus, le sujet traité, qui est la thérapie, est très bien développé: il y a différentes sorte de thérapies et tout le monde ne réagit pas de la même manière. Ce film nous donne une très belle leçon et dénonce toute sorte de préjugés que les gens peuvent avoir concernant "les psychologues". Selon ce film, il n y a pas d'âge pour allé voir un psy. Dans cette histoire il s'agit plus particulièrement de la vie d'une adolescente qui a peur de "grandir". Et comme le dit si bien Gérard Jugnot : "Faut-il attendre d'être malade pour aller mieux?".