Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Peut-être certains spectateurs, habitués à un certain genre de cinéma, pourront reprocher à ce film son côté un peu trop optimiste, mais son but est cependant de nous faire approcher des gens comme tout le monde, qui aiment et souffrent, bref vivent et tant mieux si la vie, à la fin, leur sourit.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
En tout cas, une chose est sûre : Hannu Salonen, lui, a bien fait de quitter la Finlande pour l'Allemagne. Il en a ramené ce film, pas inoubliable, mais très attachant.
Si, question portraits, Salonen patine, question mise en scène, le gaillard (champion d'Europe d'arts mmartiaux en 1996) s'y entend pour trouver le plan juste et le ton idoine. L'excellence du casting lui a assurément facilité la tâche.
La critique complète est disponible sur le site Première
Downhill City suit les destins entremêlés de six personnages sans relief, tous plus ou moins paumés dans un Berlin de misère. A part ça ? Rien. Le cinéaste les filme avec si peu d'humanité qu'il transforme leurs quêtes d'amour, de bonheur ou de réussite personnelle en une coquille désespérément vide.
Tourné façon Dogme, avec des séquences fades et hachées comme un steak de fast-food, ce bal des paumés berlinois tourne à vide, faute de personnages captivants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Saisis par le virus d'un spleen crypto-Jim Jarmusch, télécommandés par un scénario qui s'arrange sans vergogne des tours du destin, les personnages, pourtant incarnés par des comédiens généreux, ne parviennent jamais à s'élever au-dessus de silhouettes conventionnelles. Ce qui reste nécessaire mais jamais suffisant.
Cine Libre
Peut-être certains spectateurs, habitués à un certain genre de cinéma, pourront reprocher à ce film son côté un peu trop optimiste, mais son but est cependant de nous faire approcher des gens comme tout le monde, qui aiment et souffrent, bref vivent et tant mieux si la vie, à la fin, leur sourit.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Chronic'art.com
Il manque à ce film un "oeil" véritable, capable de sublimer l'expérience de ses héros et de les réunir autrement que par des astuces de scénario.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Un état des lieux humain et urbain intéressant dans ses intentions, alourdi par sa réalisation.
MCinéma.com
En tout cas, une chose est sûre : Hannu Salonen, lui, a bien fait de quitter la Finlande pour l'Allemagne. Il en a ramené ce film, pas inoubliable, mais très attachant.
Première
Si, question portraits, Salonen patine, question mise en scène, le gaillard (champion d'Europe d'arts mmartiaux en 1996) s'y entend pour trouver le plan juste et le ton idoine. L'excellence du casting lui a assurément facilité la tâche.
TéléCinéObs
Le scénario n'est pas toujours abouti mais la mise en scène est efficace, et le tout mené à un rythme d'enfer.
Aden
Downhill City suit les destins entremêlés de six personnages sans relief, tous plus ou moins paumés dans un Berlin de misère. A part ça ? Rien. Le cinéaste les filme avec si peu d'humanité qu'il transforme leurs quêtes d'amour, de bonheur ou de réussite personnelle en une coquille désespérément vide.
Cahiers du Cinéma
A filmer de manière quelconque ses personnages quelconques, Hannu Salonen finit par faire un film quelconque.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Mais il arrive que l'expression "film choral" serve à dissimuler l'absence d'une seule idée sous l'accumulation de schémas usagés.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Tourné façon Dogme, avec des séquences fades et hachées comme un steak de fast-food, ce bal des paumés berlinois tourne à vide, faute de personnages captivants.
Zurban
Saisis par le virus d'un spleen crypto-Jim Jarmusch, télécommandés par un scénario qui s'arrange sans vergogne des tours du destin, les personnages, pourtant incarnés par des comédiens généreux, ne parviennent jamais à s'élever au-dessus de silhouettes conventionnelles. Ce qui reste nécessaire mais jamais suffisant.