Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Odyssée tragicomique dans les superbes paysages nordiques, Wild men est une fine analyse de la masculinité moderne, enrichie à l’humour pince-sans-rire.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
(...) une fine analyse de la masculinité moderne.
Le Parisien
par Le Parisien
Critique acide de la société de consommation doublée d’une parodie des mouvements de retour à la Nature, « Wild Men », très bien servi par ses comédiens, fait le bon choix du thriller déjanté qui ne se prend pas au sérieux… tout en évoquant les pièges bien réels de notre vie moderne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Un buddy movie burlesque mettant joyeusement à mal le fantasme du retour à la nature.
Voici
par V.C.
Un humour à froid que ne renieraient pas les frères Coen.
L'Obs
par François Forestier
Nouvel épisode de la crise de la quarantaine, le film de Thomas Daneskov est inégal, parfois drôle (braquer une station-service avec une hache), parfois cliché (la fusillade finale), empreint d’une naïveté touchante portée par le personnage principal.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La crise de la quarantaine d’un homme occidental incapable d’exprimer ses émotions se trouve au cœur d’un film qui par ailleurs rappelle Fargo des frères Coen. Là aussi, l’humour se mêle au thriller.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une curiosité tragicomique, foutraque mais plaisante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Martin, qui a tout abandonné pour vivre dans la nature, voit son plan bouleversé par l’irruption de Musa, porteur d’une précieuse sacoche. Tous deux ont à leurs trousses, l’un la police et sa femme, l’autre ses complices. Une comédie noire aux thèmes très actuels.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
S’il y a une qualité indéniable à relever du second long métrage du danois Thomas Daneskov, c’est sa science de l’équilibre. Une réussite qui tient à sa superposition des genres, entre le film de cavale et la comédie pince sans rire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Il y a du Fargo et une pincée de The Revenant dans ce buddy movie et cette cavalcade burlesque qui dessinent aussi en creux la crise d’une certaine masculinité incapable de formuler son mal- être à ses proches et le fantasme d’un retour à la nature bien loin des images d’Epinal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
En cultivant un art du décalage qui rappelle Fargo (1995), des frères Coen, Wild Men offre de bonnes idées de scénario — comme ce passage par un village de Vikings pour touristes — et montre de bout en bout les mérites d’un cinéma de l’étonnement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Beau paysage, vie de famille, bons sentiments ; aux clichés de Martin, le film n’oppose que des valeurs et vignettes publicitaires.
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Les gags prévisibles autour du décalage entre la société du smartphone et celle des chasseurs-cueilleurs, auxquels s’ajoutent des conversations au coin du feu sur le sens de la vie, nous laissent souvent de glace.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Camille Nevers
Comédie plutôt confuse, Wild Men débite en continu son double discours – anti et pro-mascu, anti et pro-survivaliste, antiraciste et raciste, homo-friendly et homophobe… –, et le film, sous couvert d’absurde, se fait le messager d’idées interchangeables qui ne peuvent pourtant pas l’être, mais qu’il livre en vrac.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dernières Nouvelles d'Alsace
Odyssée tragicomique dans les superbes paysages nordiques, Wild men est une fine analyse de la masculinité moderne, enrichie à l’humour pince-sans-rire.
Le Dauphiné Libéré
(...) une fine analyse de la masculinité moderne.
Le Parisien
Critique acide de la société de consommation doublée d’une parodie des mouvements de retour à la Nature, « Wild Men », très bien servi par ses comédiens, fait le bon choix du thriller déjanté qui ne se prend pas au sérieux… tout en évoquant les pièges bien réels de notre vie moderne.
Ouest France
Un buddy movie burlesque mettant joyeusement à mal le fantasme du retour à la nature.
Voici
Un humour à froid que ne renieraient pas les frères Coen.
L'Obs
Nouvel épisode de la crise de la quarantaine, le film de Thomas Daneskov est inégal, parfois drôle (braquer une station-service avec une hache), parfois cliché (la fusillade finale), empreint d’une naïveté touchante portée par le personnage principal.
La Croix
La crise de la quarantaine d’un homme occidental incapable d’exprimer ses émotions se trouve au cœur d’un film qui par ailleurs rappelle Fargo des frères Coen. Là aussi, l’humour se mêle au thriller.
La Voix du Nord
Une curiosité tragicomique, foutraque mais plaisante.
Les Fiches du Cinéma
Martin, qui a tout abandonné pour vivre dans la nature, voit son plan bouleversé par l’irruption de Musa, porteur d’une précieuse sacoche. Tous deux ont à leurs trousses, l’un la police et sa femme, l’autre ses complices. Une comédie noire aux thèmes très actuels.
Les Inrockuptibles
S’il y a une qualité indéniable à relever du second long métrage du danois Thomas Daneskov, c’est sa science de l’équilibre. Une réussite qui tient à sa superposition des genres, entre le film de cavale et la comédie pince sans rire.
Première
Il y a du Fargo et une pincée de The Revenant dans ce buddy movie et cette cavalcade burlesque qui dessinent aussi en creux la crise d’une certaine masculinité incapable de formuler son mal- être à ses proches et le fantasme d’un retour à la nature bien loin des images d’Epinal.
Télérama
En cultivant un art du décalage qui rappelle Fargo (1995), des frères Coen, Wild Men offre de bonnes idées de scénario — comme ce passage par un village de Vikings pour touristes — et montre de bout en bout les mérites d’un cinéma de l’étonnement.
Cahiers du Cinéma
Beau paysage, vie de famille, bons sentiments ; aux clichés de Martin, le film n’oppose que des valeurs et vignettes publicitaires.
Le Monde
Les gags prévisibles autour du décalage entre la société du smartphone et celle des chasseurs-cueilleurs, auxquels s’ajoutent des conversations au coin du feu sur le sens de la vie, nous laissent souvent de glace.
Libération
Comédie plutôt confuse, Wild Men débite en continu son double discours – anti et pro-mascu, anti et pro-survivaliste, antiraciste et raciste, homo-friendly et homophobe… –, et le film, sous couvert d’absurde, se fait le messager d’idées interchangeables qui ne peuvent pourtant pas l’être, mais qu’il livre en vrac.