Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Héritier spirituel de James Gray et des frères Coen, Levan Koguashvili nous offre un bijou d’humanité, de simplicité, d’humilité et de sincérité. Poignant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
L'Obs
par François Forestier
Ce qui ajoute à l’émotion, c’est la présence de Levan Tediashvili, authentique ancien champion du ring. Visage ravagé, corps courbé, il est formidable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sur cette trame épurée, le film parvient à conjuguer la mélancolie d’une chronique de l’exil et la tension latente du film noir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier de Bruyn
Sans jamais se départir de son impressionnisme et de son humour laconique, Levan Koguashvili dresse le portrait de deux personnages égarés et décrit un univers interlope où l'exploitation de l'homme par l'homme est une norme. Ce beau film témoigne du talent d'un cinéaste atypique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Préférant la sobriété aux effusions, le film dresse un double tableau tragi-comique : celui d’un amour parental et celui d’une solidarité communautaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans « The Quiet Girl » et « Brighton 4th », le metteur en scène irlandais Colm Bairead et son collègue géorgien Levan Koguashvili mettent en scène des films qui ont le bon goût de ne ressembler à rien de connu dans la production contemporaine. Empruntez en leur aimable compagnie les itinéraires bis du cinéma, vous ne le regretterez pas.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Cheze
Un film noir juste dans sa description du quartier de Brooklyn.
Cahiers du Cinéma
par Zoé Lhuillier
Au lieu de simplement constater que tous les corps sont nécessairement meurtris lorsqu’ils sont soumis à la pauvreté, et qu’exploiteurs comme exploités souffrent du manque d’argent, Levan Koguashvili tend sa caméra à des personnages qui font constamment attention les uns aux autres.
Le Figaro
par E.N.
Personnages hauts en couleur, ambiance verdâtre, longues plages grises, arrière-salles de tripots, le film frappe par son ton juste, son désenchantement en sourdine, son pessimisme sauce géorgienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Entre néo-noir et regard sur le sacrifice parental, un film géorgien porté par un classicisme élégant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Une curiosité, qui donne parfois l’impression de regarder un négatif du Little Odessa de James Grey, et dont on retiendra essentiellement la très belle photographie signée Phedon Papamichael.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Koguashvili trouve le bon équilibre entre la description de la vie de ce quartier aux habitants hauts en couleur mais jamais regardés de manière pittoresque et la chronique d’un amour paternel plus fort que tout. Avec une authenticité renforcée par l’idée de mêler comédiens pros et habitants du coin.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Entre débrouille et embrouilles, petits boulots et kidnapping hasardeux d’un employeur kazakh filou, le film vadrouille, sans précipitation. On aime sa manière de traîner et de trinquer, de se poser parfois dans la pension de famille modeste où logent le paternel et son rejeton, en compagnie d’autres énergumènes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Cette chronique familiale et semi-policière, dans la lignée d'un certain cinéma de Kazan et James Gray, vaut par son atmosphère contrastée et touche par son humanisme discret.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
Héritier spirituel de James Gray et des frères Coen, Levan Koguashvili nous offre un bijou d’humanité, de simplicité, d’humilité et de sincérité. Poignant.
L'Obs
Ce qui ajoute à l’émotion, c’est la présence de Levan Tediashvili, authentique ancien champion du ring. Visage ravagé, corps courbé, il est formidable.
Le Monde
Sur cette trame épurée, le film parvient à conjuguer la mélancolie d’une chronique de l’exil et la tension latente du film noir.
Les Echos
Sans jamais se départir de son impressionnisme et de son humour laconique, Levan Koguashvili dresse le portrait de deux personnages égarés et décrit un univers interlope où l'exploitation de l'homme par l'homme est une norme. Ce beau film témoigne du talent d'un cinéaste atypique.
Les Fiches du Cinéma
Préférant la sobriété aux effusions, le film dresse un double tableau tragi-comique : celui d’un amour parental et celui d’une solidarité communautaire.
Marianne
Dans « The Quiet Girl » et « Brighton 4th », le metteur en scène irlandais Colm Bairead et son collègue géorgien Levan Koguashvili mettent en scène des films qui ont le bon goût de ne ressembler à rien de connu dans la production contemporaine. Empruntez en leur aimable compagnie les itinéraires bis du cinéma, vous ne le regretterez pas.
Ouest France
Un film noir juste dans sa description du quartier de Brooklyn.
Cahiers du Cinéma
Au lieu de simplement constater que tous les corps sont nécessairement meurtris lorsqu’ils sont soumis à la pauvreté, et qu’exploiteurs comme exploités souffrent du manque d’argent, Levan Koguashvili tend sa caméra à des personnages qui font constamment attention les uns aux autres.
Le Figaro
Personnages hauts en couleur, ambiance verdâtre, longues plages grises, arrière-salles de tripots, le film frappe par son ton juste, son désenchantement en sourdine, son pessimisme sauce géorgienne.
Les Inrockuptibles
Entre néo-noir et regard sur le sacrifice parental, un film géorgien porté par un classicisme élégant.
Libération
Une curiosité, qui donne parfois l’impression de regarder un négatif du Little Odessa de James Grey, et dont on retiendra essentiellement la très belle photographie signée Phedon Papamichael.
Première
Koguashvili trouve le bon équilibre entre la description de la vie de ce quartier aux habitants hauts en couleur mais jamais regardés de manière pittoresque et la chronique d’un amour paternel plus fort que tout. Avec une authenticité renforcée par l’idée de mêler comédiens pros et habitants du coin.
Télérama
Entre débrouille et embrouilles, petits boulots et kidnapping hasardeux d’un employeur kazakh filou, le film vadrouille, sans précipitation. On aime sa manière de traîner et de trinquer, de se poser parfois dans la pension de famille modeste où logent le paternel et son rejeton, en compagnie d’autres énergumènes.
aVoir-aLire.com
Cette chronique familiale et semi-policière, dans la lignée d'un certain cinéma de Kazan et James Gray, vaut par son atmosphère contrastée et touche par son humanisme discret.