La Dernière nuit de Lise Broholm : Critique presse
La Dernière nuit de Lise Broholm
Note moyenne
3,4
14 titres de presse
Voici
Cahiers du Cinéma
Culturopoing.com
Elle
Libération
aVoir-aLire.com
L'Obs
La Septième Obsession
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
Première
Télérama
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Un impressionnant drame bergmanien.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Tea Lindeburg ne se détache jamais du point de vue de son personnage principal, Lise, qui, à 14 ans, rêve d’émancipation et de liberté, alors que sa mère accouche de son dixième enfant. La cinéaste enrichit son récit des ressources de l’épouvante, libérant les angoisses que Lise s’efforce de juguler.
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Conte d’apprentissage philosophique, "La dernière nuit de Lise Broholm" compose des plans si beaux et si évocateurs de l’intensité du doute et de la foi, qu’ils rappellent avec nostalgie les films de Bergman.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par F.D.
Un portrait poignant et puissant.
Libération
par Luc Chessel
La Dernière Nuit de Lise Broholm étonne d’atteindre sans faiblir, et par les plus voyants artifices, à un premier degré si digne et si libérateur, déchaînant à l’écran forces mystiques et terreurs d’enfance, pour mieux affirmer l’athéisme qui va avec son féminisme, et quitter son personnage, au matin, devenue adulte en une nuit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
À travers ce voyage nocturne empreint de poésie et d’humanité, la réalisatrice survole une multitude de thèmes tels que la féminité, la foi, la perte de l’innocence et l’acceptation de son destin. Nous ne saurions que vous recommander de l’accompagner dans cette expédition originale et courageuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Images solaires suivies de scènes sombres, visages de bonheur transformés en faces de malheur, le film est d’une grande maîtrise, dans la veine de Dreyer. La révélation d’un talent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Tea Lindeburg procède à une mise en scène très naturaliste qu’elle scinde de saillies oniriques.
Le Figaro
par É. N.
Ce premier film brûlant et inspiré ne peut manquer d'évoquer Bergman, avec sa jeune actrice incendiée de l'intérieur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit, éclairé à la bougie à la manière des peintres du Nord, anxiogène et ponctué de visions de cauchemar, dénonce la condition des femmes sous l’emprise de la religion et du patriarcat.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Cette chronique d’une escalade de désillusion pour une ado éprise d’émancipation cherche à transcender l’horreur des femmes pâles comme des statues oubliées au fond d’un parc par des effets horrifiques inégaux, et par un huis clos bien tenu dans l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
La danoise Tea Lindeburg qui après la réalisation de plusieurs séries s’essaie pour la première fois au long-métrage, parvient à installer du vertige, là où tout basculement est vécu comme un crime. Sa mise en scène immersive donne à ce drame bergmanien l’allure d’un puissant survival.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Si la mise en scène de ce premier long métrage n’évite pas certaines maladresses, telle une image symbolique de papillon pris dans une toile d’araignée, elle fait de la dernière nuit de Lise avant l’âge adulte un récit initiatique impressionniste et plutôt impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par M. Jo.
Pour le reste, avec son 16 mm, le film souffre d’être trop appliqué, embourbé dans son littéralisme et semblant utiliser un roman de 1912 pour y plaquer un regard d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Voici
Un impressionnant drame bergmanien.
Cahiers du Cinéma
Tea Lindeburg ne se détache jamais du point de vue de son personnage principal, Lise, qui, à 14 ans, rêve d’émancipation et de liberté, alors que sa mère accouche de son dixième enfant. La cinéaste enrichit son récit des ressources de l’épouvante, libérant les angoisses que Lise s’efforce de juguler.
Culturopoing.com
Conte d’apprentissage philosophique, "La dernière nuit de Lise Broholm" compose des plans si beaux et si évocateurs de l’intensité du doute et de la foi, qu’ils rappellent avec nostalgie les films de Bergman.
Elle
Un portrait poignant et puissant.
Libération
La Dernière Nuit de Lise Broholm étonne d’atteindre sans faiblir, et par les plus voyants artifices, à un premier degré si digne et si libérateur, déchaînant à l’écran forces mystiques et terreurs d’enfance, pour mieux affirmer l’athéisme qui va avec son féminisme, et quitter son personnage, au matin, devenue adulte en une nuit.
aVoir-aLire.com
À travers ce voyage nocturne empreint de poésie et d’humanité, la réalisatrice survole une multitude de thèmes tels que la féminité, la foi, la perte de l’innocence et l’acceptation de son destin. Nous ne saurions que vous recommander de l’accompagner dans cette expédition originale et courageuse.
L'Obs
Images solaires suivies de scènes sombres, visages de bonheur transformés en faces de malheur, le film est d’une grande maîtrise, dans la veine de Dreyer. La révélation d’un talent.
La Septième Obsession
Tea Lindeburg procède à une mise en scène très naturaliste qu’elle scinde de saillies oniriques.
Le Figaro
Ce premier film brûlant et inspiré ne peut manquer d'évoquer Bergman, avec sa jeune actrice incendiée de l'intérieur.
Le Journal du Dimanche
Le récit, éclairé à la bougie à la manière des peintres du Nord, anxiogène et ponctué de visions de cauchemar, dénonce la condition des femmes sous l’emprise de la religion et du patriarcat.
Les Fiches du Cinéma
Cette chronique d’une escalade de désillusion pour une ado éprise d’émancipation cherche à transcender l’horreur des femmes pâles comme des statues oubliées au fond d’un parc par des effets horrifiques inégaux, et par un huis clos bien tenu dans l’ensemble.
Première
La danoise Tea Lindeburg qui après la réalisation de plusieurs séries s’essaie pour la première fois au long-métrage, parvient à installer du vertige, là où tout basculement est vécu comme un crime. Sa mise en scène immersive donne à ce drame bergmanien l’allure d’un puissant survival.
Télérama
Si la mise en scène de ce premier long métrage n’évite pas certaines maladresses, telle une image symbolique de papillon pris dans une toile d’araignée, elle fait de la dernière nuit de Lise avant l’âge adulte un récit initiatique impressionniste et plutôt impressionnant.
Le Monde
Pour le reste, avec son 16 mm, le film souffre d’être trop appliqué, embourbé dans son littéralisme et semblant utiliser un roman de 1912 pour y plaquer un regard d’aujourd’hui.