Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Dans sa sobriété tragique, "Le Gang des bois du temple" tranche avec les films des débuts, mais la délicatesse singulière de Rabah Ameur-Zaïmeche demeure attentive à l'élan de vie qui persiste jusque dans la mort [...].
CinemaTeaser
par Alex Masson
Si Rabah Ameur-Zaïmeche revisite le film noir, c'est peut-être parce que cette couleur est celle qui va le mieux au monde actuel.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Face au mouvement d’entropie qui menace d’engloutir tous les personnages, le regard d’Ameur-Zaïmeche oppose le pouvoir de fascination qu’exercent les mystères de la foi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
La vision du monde du "Gang des Bois du Temple" semble éminemment sociale, désespérément sans appel, évacuant une pensée plus ou moins loachienne qui a bien vécu : ici, lorsque les classes populaires se rebellent contre les détenteurs des pouvoirs et richesses, ces derniers se rebellent à leur tour pour mieux asservir et bâillonner leurs opposants.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette anatomie d'une chute sans "cinoche", ces scènes d'action au ras du réel, et son facteur humain incitent à faire le rapprochement avec l'œuvre de Jean-Pierre Melville, maestro du polar janséniste, dont Rabah Ameur-Zaïmeche s'avère ici un possible héritier.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Noir, froid et percutant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce thriller aux accents melvilliens qui s’inspire d’un fait divers survenu en 2014 transcende le film de braquage, le réalisateur de "Wesh wesh, qu’est-ce qui se passe" (2001) s’attachant à dépeindre le quotidien et la touchante amitié qui unit ses protagonistes avec une approche pleine d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Quel magnifique film de hold-up se dit-on, au sortir de la séance. Magnifique de ne surtout pas ressembler à ce que l’on en attend, à l’instar des plus grands « néonoirs ». Magnifique, plus précisément, d’être retravaillé de l’intérieur, acclimaté à une donne géographique et sociale, redéfini selon un tempérament artistique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Portrait d'une bande d'amis braqueurs de riches héritiers, le nouveau film de Rabah Ameur-Zaïmèche ne déstructure pas le film de genre, au contraire : la patine antique de cette tragédie en devenir resplendit d'autant plus quand on l'arrache depuis le cœur de la cité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Une course de chevaux célébrée en groupe dans un PMU, un déjeuner en terrasse d’un food truck ou encore deux blocs musicaux en forme de transe sidérante… on avait rarement vu des tableaux du quotidien d’une cité habités par une si puissante vitalité. Par une admirable épure et un élégant sens de l’ellipse, la mise en scène trouve un parfait équilibre entre une distanciation stylistique et les formidables éclats de vie qui viennent embraser les séquences.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Ce film est comme un hold-up délicat, comme une lutte à mort câline, comme une tragédie qui y croirait encore, dur comme fer, rien que pour venger ses personnages, et tous ceux pour lesquels ils se tiennent en riant, tous ceux pour lesquels ils tombent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pascale Vergereau
Une réflexion passionnante sur la violence que l’on doit à Rabah Ameur-Zaïmeche.
Paris Match
par Yannick Vely
Au-delà de la morale, ce que montre Rabah Ameur-Zaïmeche, c’est l’absence d’horizon d’une population condamnée à juste rêver de remporter le tiercé…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Christophe Chabert
Conciliant le spectacle et l'épure, l'action et la contemplation, "Le Gang des bois du temple" est le film le plus accompli de son auteur.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une amertume diffuse s’accrochant aux barres anxiogènes de HLM et aux ambiances hivernales et plombées qui baignent ce superbe film opaque.
Le Figaro
par Benjamin Puech
Avec cette histoire de braquage qui tourne court, le réalisateur Rabah Ameur-Zaïmeche prend à rebours les films de gangsters. [...] Problème, ce regard contemplatif, naturaliste, n'offre un écho que lointain à l'intrigue qui finit, comme les lascars à l'écran, par manquer de nerf et de relief.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Thomas Baurez
Loin d’une dichotomie voire d’une contradiction, Rabah Ameur-Zaïmeche, raconte ici la façon dont l’extrême violence s’inscrit dans un rapport de force complexe où la sphère sociale et culturelle, interfère dans les choix.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Assurément, Rabah Ameur-Zaïmeche a su créer une forme de poésie pure et dure qui fait décoller le film du bitume et du béton.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si l’intention du réalisateur de faire de la banlieue de Clichy un espace contemporain de western est intéressante, le film ne tient pas toutes ses promesses et se perd dans des facilités scénaristiques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Dans sa sobriété tragique, "Le Gang des bois du temple" tranche avec les films des débuts, mais la délicatesse singulière de Rabah Ameur-Zaïmeche demeure attentive à l'élan de vie qui persiste jusque dans la mort [...].
CinemaTeaser
Si Rabah Ameur-Zaïmeche revisite le film noir, c'est peut-être parce que cette couleur est celle qui va le mieux au monde actuel.
Critikat.com
Face au mouvement d’entropie qui menace d’engloutir tous les personnages, le regard d’Ameur-Zaïmeche oppose le pouvoir de fascination qu’exercent les mystères de la foi.
Culturopoing.com
La vision du monde du "Gang des Bois du Temple" semble éminemment sociale, désespérément sans appel, évacuant une pensée plus ou moins loachienne qui a bien vécu : ici, lorsque les classes populaires se rebellent contre les détenteurs des pouvoirs et richesses, ces derniers se rebellent à leur tour pour mieux asservir et bâillonner leurs opposants.
L'Humanité
Cette anatomie d'une chute sans "cinoche", ces scènes d'action au ras du réel, et son facteur humain incitent à faire le rapprochement avec l'œuvre de Jean-Pierre Melville, maestro du polar janséniste, dont Rabah Ameur-Zaïmeche s'avère ici un possible héritier.
L'Obs
Noir, froid et percutant.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller aux accents melvilliens qui s’inspire d’un fait divers survenu en 2014 transcende le film de braquage, le réalisateur de "Wesh wesh, qu’est-ce qui se passe" (2001) s’attachant à dépeindre le quotidien et la touchante amitié qui unit ses protagonistes avec une approche pleine d’humanité.
Le Monde
Quel magnifique film de hold-up se dit-on, au sortir de la séance. Magnifique de ne surtout pas ressembler à ce que l’on en attend, à l’instar des plus grands « néonoirs ». Magnifique, plus précisément, d’être retravaillé de l’intérieur, acclimaté à une donne géographique et sociale, redéfini selon un tempérament artistique.
Les Fiches du Cinéma
Portrait d'une bande d'amis braqueurs de riches héritiers, le nouveau film de Rabah Ameur-Zaïmèche ne déstructure pas le film de genre, au contraire : la patine antique de cette tragédie en devenir resplendit d'autant plus quand on l'arrache depuis le cœur de la cité.
Les Inrockuptibles
Une course de chevaux célébrée en groupe dans un PMU, un déjeuner en terrasse d’un food truck ou encore deux blocs musicaux en forme de transe sidérante… on avait rarement vu des tableaux du quotidien d’une cité habités par une si puissante vitalité. Par une admirable épure et un élégant sens de l’ellipse, la mise en scène trouve un parfait équilibre entre une distanciation stylistique et les formidables éclats de vie qui viennent embraser les séquences.
Libération
Ce film est comme un hold-up délicat, comme une lutte à mort câline, comme une tragédie qui y croirait encore, dur comme fer, rien que pour venger ses personnages, et tous ceux pour lesquels ils se tiennent en riant, tous ceux pour lesquels ils tombent.
Ouest France
Une réflexion passionnante sur la violence que l’on doit à Rabah Ameur-Zaïmeche.
Paris Match
Au-delà de la morale, ce que montre Rabah Ameur-Zaïmeche, c’est l’absence d’horizon d’une population condamnée à juste rêver de remporter le tiercé…
Positif
Conciliant le spectacle et l'épure, l'action et la contemplation, "Le Gang des bois du temple" est le film le plus accompli de son auteur.
La Septième Obsession
Une amertume diffuse s’accrochant aux barres anxiogènes de HLM et aux ambiances hivernales et plombées qui baignent ce superbe film opaque.
Le Figaro
Avec cette histoire de braquage qui tourne court, le réalisateur Rabah Ameur-Zaïmeche prend à rebours les films de gangsters. [...] Problème, ce regard contemplatif, naturaliste, n'offre un écho que lointain à l'intrigue qui finit, comme les lascars à l'écran, par manquer de nerf et de relief.
Première
Loin d’une dichotomie voire d’une contradiction, Rabah Ameur-Zaïmeche, raconte ici la façon dont l’extrême violence s’inscrit dans un rapport de force complexe où la sphère sociale et culturelle, interfère dans les choix.
Télérama
Assurément, Rabah Ameur-Zaïmeche a su créer une forme de poésie pure et dure qui fait décoller le film du bitume et du béton.
aVoir-aLire.com
Si l’intention du réalisateur de faire de la banlieue de Clichy un espace contemporain de western est intéressante, le film ne tient pas toutes ses promesses et se perd dans des facilités scénaristiques.