Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
CNews
par Chloé Ronchin
Filmé en dialectes frioulan et vénète, « Piccolo Corpo » est une œuvre saisissante, à la fois réaliste et mystique. Cette fable à l'esthétisme épuré, sur la maternité, la force de la sororité et l’émancipation des femmes, donne aussi à voir des paysages splendides, et fait résonner des chants a capella aux paroles ensorcelantes.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Bande à part
par Olivier Pélisson
Révélé à Cannes à la Semaine de la Critique, Piccolo corpo est le premier long-métrage bouleversant de Laura Samani. Un voyage géographique autant que métaphysique aux images saisissantes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
La réussite du premier long métrage de l’Italienne Laura Samani est de se tenir en permanence sur la ligne de démarcation entre la chronique réaliste et la mythologie, sans jamais choisir entre les deux : la figuration de l’Italie de 1900 passe autant par l’utilisation du dialecte frioulan que par le voyage d’Agata au cœur de la pensée magique des populations d’un pays encore peu unifié.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Aussi beau que mélancolique.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Sujet original, à la mise en scène maîtrisée, ce très beau film augure une cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Nina Merlé
La réalisatrice de La Santa che dorme (court métrage, 2016) dévoile avec Piccolo corpo un véritable écrin poétique et pictural.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Avec beaucoup de finesse et sans afféterie, la réalisatrice orchestre la rencontre de deux solitudes et de deux mondes, le réel et le spirituel.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Avec une exigence esthétique qui imprègne chaque plan, la cinéaste met en scène la quête d’une mère pour faire baptiser son enfant mort-né. Ube histoire mystérieuse et envoûtante qui témoigne de son imaginaire singulier et de son inspiration formelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Suivant la quête obstinée de son héroïne, Laura Samani livre un conte puissant, simple et délicat, et d’une grande beauté visuelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Comme ses aînés, Piccolo Corpo finit par écrire une histoire à deux avec la ferme croyance d’une égalité possible à restaurer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
S’il s’agit du récit d’un deuil – dès les premières minutes du film, Agata accouche d’une petite fille mort-née –, sachons gré à Piccolo Corpo de s’éloigner radicalement des rives du drame psychologique pour proposer un voyage plus opaque et délirant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Ne manquez pas ce très beau premier film italien, récompensé à la Semaine de la critique, odyssée d'une femme prête à tout pour sauver son nourrisson de l'oubli.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Cécile Mury
À la fois odyssée initiatique et réflexion originale sur une solidarité aux marges de l’identité féminine, le film, révélé par la Semaine de la critique du dernier Festival de Cannes, bénéficie du charisme farouche de la comédienne Celeste Cescutti, bouleversante Agata, jusqu’au bout de son chemin de croix.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Jamais on n’aura vu une première œuvre de cinéma qui joue avec une telle perfection entre le réalisme historique, le mysticisme, le fantastique et le récit d’une émancipation féminine réussie. Piccolo Corpo est un film en état de grâce.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Saisissantes, les dix premières et les dix dernières minutes révèlent un fort tempérament de cinéaste, qui se dilue quelque peu dans un récit et une reconstitution d’époque trop proprets pour convaincre tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un premier film maîtrisé qui mêle au thème du deuil d’une mère une réflexion parfois maladroite sur le féminin.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Laura Samani nous emmène dans le sillage d’une femme obstinée et libre, dont toutes les chaînes sont effacées par un amour plus grand que tout, jusqu’au sacrifice. Peint comme un tableau, le destin d’Agata est paradoxalement baigné d’une forme de douceur et de beaucoup de lumière.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par B.P.
Il manque un peu de mystère, de cette bizarrerie qui traverse tout le film et qu'on espérait éclatante à la fin. Qu'importe, une cinéaste est née. Notons aussi cette chose réjouissante : elle ne pourra pas faire plus déprimant à l'avenir…
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Piccolo corpo se risque à l'austérité en se concentrant sur la foi à toute épreuve de son héroïne, qui évoque le destin des suppliciés des contes sanguinaires des frères Grimm.
Positif
par Lorenzo Codelli
Le Werner Herzog d’Aguirre aurait peut-être élevé cette parabole biblique sur le bien, le mal, le rien, à un niveau plus métaphysique. Piccolo corpo, pousse la démonstration le plus loin possible : comment des langues et des cultures différentes peuvent, en dépit de toute entrave, communiquer entre elles, se mélanger, pour chercher un but commun.
Première
par Thomas Baurez
Si formellement l’ensemble convainc, le récit prévisible et l’interprétation monocorde, nous laissent à distance.
La critique complète est disponible sur le site Première
CNews
Filmé en dialectes frioulan et vénète, « Piccolo Corpo » est une œuvre saisissante, à la fois réaliste et mystique. Cette fable à l'esthétisme épuré, sur la maternité, la force de la sororité et l’émancipation des femmes, donne aussi à voir des paysages splendides, et fait résonner des chants a capella aux paroles ensorcelantes.
Bande à part
Révélé à Cannes à la Semaine de la Critique, Piccolo corpo est le premier long-métrage bouleversant de Laura Samani. Un voyage géographique autant que métaphysique aux images saisissantes.
Cahiers du Cinéma
La réussite du premier long métrage de l’Italienne Laura Samani est de se tenir en permanence sur la ligne de démarcation entre la chronique réaliste et la mythologie, sans jamais choisir entre les deux : la figuration de l’Italie de 1900 passe autant par l’utilisation du dialecte frioulan que par le voyage d’Agata au cœur de la pensée magique des populations d’un pays encore peu unifié.
Femme Actuelle
Aussi beau que mélancolique.
Franceinfo Culture
Sujet original, à la mise en scène maîtrisée, ce très beau film augure une cinéaste à suivre.
L'Humanité
La réalisatrice de La Santa che dorme (court métrage, 2016) dévoile avec Piccolo corpo un véritable écrin poétique et pictural.
Le Journal du Dimanche
Avec beaucoup de finesse et sans afféterie, la réalisatrice orchestre la rencontre de deux solitudes et de deux mondes, le réel et le spirituel.
Les Echos
Avec une exigence esthétique qui imprègne chaque plan, la cinéaste met en scène la quête d’une mère pour faire baptiser son enfant mort-né. Ube histoire mystérieuse et envoûtante qui témoigne de son imaginaire singulier et de son inspiration formelle.
Les Fiches du Cinéma
Suivant la quête obstinée de son héroïne, Laura Samani livre un conte puissant, simple et délicat, et d’une grande beauté visuelle.
Les Inrockuptibles
Comme ses aînés, Piccolo Corpo finit par écrire une histoire à deux avec la ferme croyance d’une égalité possible à restaurer.
Libération
S’il s’agit du récit d’un deuil – dès les premières minutes du film, Agata accouche d’une petite fille mort-née –, sachons gré à Piccolo Corpo de s’éloigner radicalement des rives du drame psychologique pour proposer un voyage plus opaque et délirant.
Paris Match
Ne manquez pas ce très beau premier film italien, récompensé à la Semaine de la critique, odyssée d'une femme prête à tout pour sauver son nourrisson de l'oubli.
Télérama
À la fois odyssée initiatique et réflexion originale sur une solidarité aux marges de l’identité féminine, le film, révélé par la Semaine de la critique du dernier Festival de Cannes, bénéficie du charisme farouche de la comédienne Celeste Cescutti, bouleversante Agata, jusqu’au bout de son chemin de croix.
aVoir-aLire.com
Jamais on n’aura vu une première œuvre de cinéma qui joue avec une telle perfection entre le réalisme historique, le mysticisme, le fantastique et le récit d’une émancipation féminine réussie. Piccolo Corpo est un film en état de grâce.
L'Obs
Saisissantes, les dix premières et les dix dernières minutes révèlent un fort tempérament de cinéaste, qui se dilue quelque peu dans un récit et une reconstitution d’époque trop proprets pour convaincre tout à fait.
La Croix
Un premier film maîtrisé qui mêle au thème du deuil d’une mère une réflexion parfois maladroite sur le féminin.
La Voix du Nord
Laura Samani nous emmène dans le sillage d’une femme obstinée et libre, dont toutes les chaînes sont effacées par un amour plus grand que tout, jusqu’au sacrifice. Peint comme un tableau, le destin d’Agata est paradoxalement baigné d’une forme de douceur et de beaucoup de lumière.
Le Figaro
Il manque un peu de mystère, de cette bizarrerie qui traverse tout le film et qu'on espérait éclatante à la fin. Qu'importe, une cinéaste est née. Notons aussi cette chose réjouissante : elle ne pourra pas faire plus déprimant à l'avenir…
Le Monde
Piccolo corpo se risque à l'austérité en se concentrant sur la foi à toute épreuve de son héroïne, qui évoque le destin des suppliciés des contes sanguinaires des frères Grimm.
Positif
Le Werner Herzog d’Aguirre aurait peut-être élevé cette parabole biblique sur le bien, le mal, le rien, à un niveau plus métaphysique. Piccolo corpo, pousse la démonstration le plus loin possible : comment des langues et des cultures différentes peuvent, en dépit de toute entrave, communiquer entre elles, se mélanger, pour chercher un but commun.
Première
Si formellement l’ensemble convainc, le récit prévisible et l’interprétation monocorde, nous laissent à distance.