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Un visiteur
4,5
Publiée le 27 juillet 2016
Un film bien sympa, qui change, de l'humour et 80 gosses qui se révèlent être excellents acteurs, avec un petit message caché en ce temps de Seconde Guerre...
13 726 abonnés
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4,0
Publiée le 27 avril 2013
Difficile de parler de Louis Daquin, cinèaste sincère et gènèreux qui, de 1941 à sa mort, demeura fidèle à son parti, nègociant sans faillir les virages les plus dèlicats! Et sa carrière, limitèe certes, regorge de quelques petites rèussites même si Daquin dût souvent exècuter des ouvrages alimentaires, d'autre part parce qu'on lui fit des ennuis lorsqu'il tournait selon son coeur des films aux accents politiques! Assistant d'Abel Gance, Jean Grèmillon, Julien Duvivier et d'autres, son premier film, c'est "Nous les gosses" qui sèduisit en 1941 par une certaine fraîcheur dans la peinture du monde enfantin! Même si l’histoire peut paraître aujourd'hui quelque peu èventèe, elle n'en demeure pas moins excellente! Avec des gosses qui essaient de gagner l'argent nècessaire à la rèparation d'une verrière qu'ils ont cassèe! Les jeunes comèdiens sont remarquables et nous font presque oublier les acteurs de composition les plus populaires de l'èpoque tels que Pierre Larquey, Louis Seigner, Raymond Bussières ou Marcel Pèrès! Un esprit de solidaritè souffle donc sur ce très beau film français sous l'Occupation qui mèrite d'être redècouvert aujourd'hui...
Un bon film avec pour acteurs principaux des enfants entourés de très bons seconds rôles de l'époque. On ne s'ennuie pas et on apprécie l'esprit de camaraderie qui ressort du film.
Réalisé par Louis Daquin sous l'Occupation, Nous les Gosses rend hommage à l'amitié et l'esprit de camaraderie dont peuvent faire preuve des gamins pour aider les copains en difficulté. Il y a beaucoup de références qui nous ramènent à l'enfance, les batailles entre les bandes rivales, les chasses aux trésors, les parties de football dans la cour de récréation et les ballons qui finissent à travers un carreau. Après cette nouvelle bêtise commise maladroitement, un remboursement s'impose pour un élève sans le sou, dès lors la solidarité enfantine se met en place machinalement aux dépens de vacances sacrifiées. Durant quatre-vingt-dix minutes, il règne une atmosphère ingénue et insouciante, forte appréciable. Ces gosses possèdent un naturel déconcertant devant la caméra et cela est réjouissant dans un film trop peu connu et pas considéré à sa juste valeur par le cinéma français.