Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Plutôt que de s’exclure l’une l’autre, les deux réalités initialement opposées deviennent des métaphores imbriquées, et le film une splendide vanité, qui magnifie les énergies vitales tout en les plaçant sous le signe de la finitude.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Michelangelo Frammartino, notre minimaliste italien préféré, revient avec Il Buco. Il s’inscrit ainsi dans une confrérie de cinéastes qui ne mettent pas en scène des récits articulés mais des tableaux, des sensations et des mouvements.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Entre fiction historique et documentaire contemporain, ethnographie rêvée et cinéma scientifique, le film invente sa place par la sensualité souveraine de son regard, son mélange de majesté et de simplicité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Une plongée euphorisante dans les ténèbres entre voyage intérieur et célébration de la nature.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Serge Kaganski
Il Buco est une immense aventure sensorielle.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Voir le monde en homme de science, semble nous dire Frammartino, c'est d'abord le « cadrer », saisir la nature dans les limites d'une image, bref : faire plan.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par La Rédaction
Ça n'explose pas dans tous les sens, c'est lent et contemplatif, mais assurément, c'est un très grand spectacle immersif.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Etienne Sorin
Il buco (...) retrace la première exploration en 1961 du gouffre du Bifurto en Calabre par un groupe de jeunes spéléologues, originaires du Piémont. La deuxième grotte la plus profonde du monde. Une découverte que Michelangelo Frammartino, cinéaste de la décroissance ou du moins de la sobriété, met en scène avec une austérité qui n’exclut pas la malice.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’expédition relatée ne va pas sans une étude splendide du site géologique où elle se situe : ce massif du Pollino, dont le relief extérieur se révèle doublé d’entrailles invisibles et mystérieuses. Le point d’écoute ainsi élargi, plaçant la parole humaine au même niveau que les bruits du monde, Il buco apparaît aussi comme un film « muet », ou plutôt une chanson de geste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Il Buco, malgré sa sécheresse toute ascétique, convoque tout un chapelet de pensées et de régimes plastiques : film souterrainement politique et descente ontologique, mais aussi fable éco-poétique sur la rémanence, parfois sublime, parfois trop affectée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Bien sûr, Michelangelo Frammartino ne suit pas une narration classique, ce qui pourra dérouter, mais il nous invite à prendre le temps de regarder un cadre, à admirer la beauté de la nature, à explorer une grotte et ses secrets. Pour les amoureux du cinéma contemplatif, une merveille.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Nicolas Bauche
Une œuvre aussi atypique que gracieuse.
Télérama
par Jacques Morice
L’avancée vers l’inconnu, le cœur de l’homme et celui de la terre. Voilà tout le travail riche d’échos et de métaphores de Michelangelo Frammartino. Ce réalisateur qui semble autant poète qu’ethnologue et cartographe (...) a trouvé un angle original pour sonder et célébrer de nouveau cette région qui lui est chère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film de contemplation, alternance de scènes pastorales, de plans muets face à la beauté inviolée de la nature et de progression spectaculaire dans l’infini d’une énigme terrestre, est aussi l’exploit du chef opérateur, Renato Berta, par son travail sur le cadre et la lumière au cœur des ténèbres.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
L'Obs
par François Forestier
Les images, somptueuses (signées par le chef op Renato Berta) ne suffisent pas à dissimuler l’inanité du projet : le film est une collection de scènes certes belles, mais qui ne s’additionnent pas. On sort de là en se grattant la tête.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
On ne changerait pas un mot pour décrire Il Buco dont la poésie envoûtante finit par exclure, à force de refuser toute porte d’entrée dans un processus narratif volontairement flou qui l’entraîne vers un côté poseur. Comme si Frammartino contemplait ses propres images bien plus qu’il n’avait envie de les partager.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Plutôt que de s’exclure l’une l’autre, les deux réalités initialement opposées deviennent des métaphores imbriquées, et le film une splendide vanité, qui magnifie les énergies vitales tout en les plaçant sous le signe de la finitude.
L'Humanité
Michelangelo Frammartino, notre minimaliste italien préféré, revient avec Il Buco. Il s’inscrit ainsi dans une confrérie de cinéastes qui ne mettent pas en scène des récits articulés mais des tableaux, des sensations et des mouvements.
Les Inrockuptibles
Entre fiction historique et documentaire contemporain, ethnographie rêvée et cinéma scientifique, le film invente sa place par la sensualité souveraine de son regard, son mélange de majesté et de simplicité.
Libération
Une plongée euphorisante dans les ténèbres entre voyage intérieur et célébration de la nature.
Transfuge
Il Buco est une immense aventure sensorielle.
Critikat.com
Voir le monde en homme de science, semble nous dire Frammartino, c'est d'abord le « cadrer », saisir la nature dans les limites d'une image, bref : faire plan.
Ecran Large
Ça n'explose pas dans tous les sens, c'est lent et contemplatif, mais assurément, c'est un très grand spectacle immersif.
Le Figaro
Il buco (...) retrace la première exploration en 1961 du gouffre du Bifurto en Calabre par un groupe de jeunes spéléologues, originaires du Piémont. La deuxième grotte la plus profonde du monde. Une découverte que Michelangelo Frammartino, cinéaste de la décroissance ou du moins de la sobriété, met en scène avec une austérité qui n’exclut pas la malice.
Le Monde
L’expédition relatée ne va pas sans une étude splendide du site géologique où elle se situe : ce massif du Pollino, dont le relief extérieur se révèle doublé d’entrailles invisibles et mystérieuses. Le point d’écoute ainsi élargi, plaçant la parole humaine au même niveau que les bruits du monde, Il buco apparaît aussi comme un film « muet », ou plutôt une chanson de geste.
Les Fiches du Cinéma
Il Buco, malgré sa sécheresse toute ascétique, convoque tout un chapelet de pensées et de régimes plastiques : film souterrainement politique et descente ontologique, mais aussi fable éco-poétique sur la rémanence, parfois sublime, parfois trop affectée.
Paris Match
Bien sûr, Michelangelo Frammartino ne suit pas une narration classique, ce qui pourra dérouter, mais il nous invite à prendre le temps de regarder un cadre, à admirer la beauté de la nature, à explorer une grotte et ses secrets. Pour les amoureux du cinéma contemplatif, une merveille.
Positif
Une œuvre aussi atypique que gracieuse.
Télérama
L’avancée vers l’inconnu, le cœur de l’homme et celui de la terre. Voilà tout le travail riche d’échos et de métaphores de Michelangelo Frammartino. Ce réalisateur qui semble autant poète qu’ethnologue et cartographe (...) a trouvé un angle original pour sonder et célébrer de nouveau cette région qui lui est chère.
La Croix
Ce film de contemplation, alternance de scènes pastorales, de plans muets face à la beauté inviolée de la nature et de progression spectaculaire dans l’infini d’une énigme terrestre, est aussi l’exploit du chef opérateur, Renato Berta, par son travail sur le cadre et la lumière au cœur des ténèbres.
L'Obs
Les images, somptueuses (signées par le chef op Renato Berta) ne suffisent pas à dissimuler l’inanité du projet : le film est une collection de scènes certes belles, mais qui ne s’additionnent pas. On sort de là en se grattant la tête.
Première
On ne changerait pas un mot pour décrire Il Buco dont la poésie envoûtante finit par exclure, à force de refuser toute porte d’entrée dans un processus narratif volontairement flou qui l’entraîne vers un côté poseur. Comme si Frammartino contemplait ses propres images bien plus qu’il n’avait envie de les partager.