Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Dans Juste sous vos yeux, la grâce rejaillit partout, à chaque scène. Dans l’élégante mise de Sang-ok au maintien imprégné d’une once de rêverie, la complicité manifeste des deux sœurs déambulant main dans la main, mais aussi tous ces moments suspendus où l’on se grille une cigarette (ici sous un pont, là dans une ruelle), tous ces silences qui se creusent dans le tarissement inespéré de la parole.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le cinéaste, existentialiste par essence, livre une méditation sur les cycles de la vie, la prise de conscience que chaque vibration de celle-ci serait à la fois contingente et sublime.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Juste sous vos yeux s’écoule ainsi sans que rien ne vienne perturber son calme mais avec l’assurance que tout y est essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Cinéma intimiste dans sa fabrication même, modeste mais d’une immense ambition, puisqu’il cherche, dans ces coordonnées restreintes, à capter des mouvements subtils, qui confinent à l’illimité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Voici
par La Rédaction
Un film délicat et sobre.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Si l’écriture de Hong Sang-soo s’est souvent attachée aux choses les plus infimes, rarement son économie de moyens est parvenue à susciter un tel éventail d’émotions.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Juste sous vos yeux est esthétiquement beau, intellectuellement réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Du concentré de Hong Sang-soo avec cette fois un épilogue surprenant. Sa mise en scène reconstitue le temps qui passe et qu’on essaie en vain de retenir. Et la fausse banalité des situations trouve sa raison d’être dans le quart d’heure final de cette tragédie sourde.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Hong Sangsoo signe un portrait de femme gracieux mais aussi - comme l’était le récent Hotel by the River - hanté par la mort.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Lorenzo Codelli
Hong Sangsoo sait mieux que quiconque comment et pourquoi renaître des cendres et recomposer, « juste sous nos yeux », son identité à chaque étape.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Aux côtés de l’actrice Lee Hye-yeong, le cinéma de Hong Sang-Soo trouve une sérénité jusque-là inégalée.
Télérama
par Louis Guichard
Simple et splendide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Hong Sang-soo opte pour un art de plus en plus épuré avec ce récit minimaliste fidèle à son univers, apportant une discrète touche émotionnelle. Sublime.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Paris Match
par Yannick Vely
Avec trois fois rien - deux acteurs, un bar, de l'alcool et des non-dits -, le cinéaste nous fait tant ressentir le gouffre existentiel qui saisit son héroïne condamnée à une mort prochaine.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
On est en terrain connu. Celui sur lequel Hong Sang- soo déploie depuis des années des films où l’art de la parole touche au sublime. Et le charme opère même en dépit du stakhanovisme du cinéaste qui finit au fil du temps par jouer contre lui et à banaliser son travail.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une petite musique qu’on connaît par cœur, qui s’étire un peu mais conserve son charme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Cahiers du Cinéma
Dans Juste sous vos yeux, la grâce rejaillit partout, à chaque scène. Dans l’élégante mise de Sang-ok au maintien imprégné d’une once de rêverie, la complicité manifeste des deux sœurs déambulant main dans la main, mais aussi tous ces moments suspendus où l’on se grille une cigarette (ici sous un pont, là dans une ruelle), tous ces silences qui se creusent dans le tarissement inespéré de la parole.
Le Monde
Le cinéaste, existentialiste par essence, livre une méditation sur les cycles de la vie, la prise de conscience que chaque vibration de celle-ci serait à la fois contingente et sublime.
Les Inrockuptibles
Juste sous vos yeux s’écoule ainsi sans que rien ne vienne perturber son calme mais avec l’assurance que tout y est essentiel.
Libération
Cinéma intimiste dans sa fabrication même, modeste mais d’une immense ambition, puisqu’il cherche, dans ces coordonnées restreintes, à capter des mouvements subtils, qui confinent à l’illimité.
Voici
Un film délicat et sobre.
Critikat.com
Si l’écriture de Hong Sang-soo s’est souvent attachée aux choses les plus infimes, rarement son économie de moyens est parvenue à susciter un tel éventail d’émotions.
Culturopoing.com
Juste sous vos yeux est esthétiquement beau, intellectuellement réjouissant.
L'Obs
Du concentré de Hong Sang-soo avec cette fois un épilogue surprenant. Sa mise en scène reconstitue le temps qui passe et qu’on essaie en vain de retenir. Et la fausse banalité des situations trouve sa raison d’être dans le quart d’heure final de cette tragédie sourde.
Les Fiches du Cinéma
Hong Sangsoo signe un portrait de femme gracieux mais aussi - comme l’était le récent Hotel by the River - hanté par la mort.
Positif
Hong Sangsoo sait mieux que quiconque comment et pourquoi renaître des cendres et recomposer, « juste sous nos yeux », son identité à chaque étape.
Transfuge
Aux côtés de l’actrice Lee Hye-yeong, le cinéma de Hong Sang-Soo trouve une sérénité jusque-là inégalée.
Télérama
Simple et splendide.
aVoir-aLire.com
Hong Sang-soo opte pour un art de plus en plus épuré avec ce récit minimaliste fidèle à son univers, apportant une discrète touche émotionnelle. Sublime.
Paris Match
Avec trois fois rien - deux acteurs, un bar, de l'alcool et des non-dits -, le cinéaste nous fait tant ressentir le gouffre existentiel qui saisit son héroïne condamnée à une mort prochaine.
Première
On est en terrain connu. Celui sur lequel Hong Sang- soo déploie depuis des années des films où l’art de la parole touche au sublime. Et le charme opère même en dépit du stakhanovisme du cinéaste qui finit au fil du temps par jouer contre lui et à banaliser son travail.
Le Journal du Dimanche
Une petite musique qu’on connaît par cœur, qui s’étire un peu mais conserve son charme.