Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Périot signe surtout avec ce patchwork d’images et le texte d’Eribon un film majuscule, poétique et politique, une représentation de la classe ouvrière nécessaire et rarement vue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Passionnant et passionné, le documentaire de Jean-Gabriel Périot réécrit à travers le récit de Didier Éribon et le montage de films d'emprunts, l'histoire de la classe ouvrière et de son désenchantement pour un projet socialiste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par La rédaction
Le complexe, mais sensible, dispositif filmique détourne l'attention du spectateur de l'ampleur assommante du projet, préférant donner corps à la voix habitée d'Adèle Haenel pour une composition à la fois intime, politique et éducative.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En intercalant des images d’archives dans le récit, le cinéaste montre comment la fiction et les reportages ont enregistré le quotidien héroïque et tragique du prolétariat, avec les logements insalubres, les effrayantes conditions de travail, les corps détruits…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
À travers Haenel, se profilent également d’autres combats, d’autres libérations : le cinéaste peut ainsi retracer, de manière convaincante, la domination de la bourgeoisie à travers la lutte des ouvrières.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Fort de ses images d'archives captivantes le film éclaire sur la montée des extrêmes depuis trente ans
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Outre sa puissance visuelle, la force du film réside dans sa capacité à donner vie à toute une génération.
Le Parisien
par La rédaction
Réflexion sur les mécanismes de reproduction, la violence des inégalités ou l’identité collective du monde ouvrier, « Retour à Reims » fonctionne comme un cours de science politique vivant et lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
En adaptant des fragments de l’ouvrage de D. Éribon, J-G. Périot dresse un tableau remarquable et combatif du destin ouvrier des années 1940 à nos jours. La mise en image du texte, lu par A. Haenel, avec des archives de fictions ou de documentaires est éblouissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Adapté du livre de Didier Eribon et narré par Adèle Haenel, le beau documentaire de Jean-Gabriel Périot brille par son montage d’archives très riches, retraçant une histoire de la classe ouvrière et de la condition féminine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Un portrait vibrant de la classe ouvrière jusqu’au récent mouvement des Gilets jaunes.
Positif
par Éric Derobert
Passés les quelques plans quasi géométriques de l’ouverture, qui situent les lieux où ont habité les parents de Didier Éribon, nous voilà réellement saisis par un tourbillon d’images d’archives, mais aussi d’images de fiction.
Télérama
par François Ekchajzer
Croisant les histoires collective et intime comme le réel et l’imaginaire, Retour à Reims [Fragments] vaut pour l’audace et la pertinence de son projet, comme pour l’aboutissement de sa réalisation. L’œuvre de l’un des rares documentaristes à ne pas sacrifier le cinéma à la prégnance du propos politique qui traverse son film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Le montage d’archives trouve pleinement sa dynamique dans le tressage des voix, lorsque des témoignages, souvent face caméra, prolongent et précisent le texte lu par Adèle Haenel, ou lui apportent la nuance et le tremblé de l’incarnation.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le film vaut pour les extraits de reportages et de fictions qui illustrent la condition ouvrière.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Il y a quelque chose de sublime et de vertigineux dans cette compression extrême, qui nous fait passer des imperfections de la pellicule et du noir et blanc au HD impeccable des caméras numériques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
Les mots dits avec justesse par Adèle Haenel accompagnent des images d’archives hétérogènes (images d’actualité, extraits de films...). La grâce du montage bouleverse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Bastien Gens
Prolongeant artificiellement le désir, cher à Eribon, de voir les classes populaires faire front autour de luttes communes, Périot monte avec une emphase pataude un medley étonnant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
Périot signe surtout avec ce patchwork d’images et le texte d’Eribon un film majuscule, poétique et politique, une représentation de la classe ouvrière nécessaire et rarement vue.
aVoir-aLire.com
Passionnant et passionné, le documentaire de Jean-Gabriel Périot réécrit à travers le récit de Didier Éribon et le montage de films d'emprunts, l'histoire de la classe ouvrière et de son désenchantement pour un projet socialiste.
Ecran Large
Le complexe, mais sensible, dispositif filmique détourne l'attention du spectateur de l'ampleur assommante du projet, préférant donner corps à la voix habitée d'Adèle Haenel pour une composition à la fois intime, politique et éducative.
L'Obs
En intercalant des images d’archives dans le récit, le cinéaste montre comment la fiction et les reportages ont enregistré le quotidien héroïque et tragique du prolétariat, avec les logements insalubres, les effrayantes conditions de travail, les corps détruits…
La Septième Obsession
À travers Haenel, se profilent également d’autres combats, d’autres libérations : le cinéaste peut ainsi retracer, de manière convaincante, la domination de la bourgeoisie à travers la lutte des ouvrières.
Le Journal du Dimanche
Fort de ses images d'archives captivantes le film éclaire sur la montée des extrêmes depuis trente ans
Le Monde
Outre sa puissance visuelle, la force du film réside dans sa capacité à donner vie à toute une génération.
Le Parisien
Réflexion sur les mécanismes de reproduction, la violence des inégalités ou l’identité collective du monde ouvrier, « Retour à Reims » fonctionne comme un cours de science politique vivant et lumineux.
Les Fiches du Cinéma
En adaptant des fragments de l’ouvrage de D. Éribon, J-G. Périot dresse un tableau remarquable et combatif du destin ouvrier des années 1940 à nos jours. La mise en image du texte, lu par A. Haenel, avec des archives de fictions ou de documentaires est éblouissant.
Libération
Adapté du livre de Didier Eribon et narré par Adèle Haenel, le beau documentaire de Jean-Gabriel Périot brille par son montage d’archives très riches, retraçant une histoire de la classe ouvrière et de la condition féminine.
Ouest France
Un portrait vibrant de la classe ouvrière jusqu’au récent mouvement des Gilets jaunes.
Positif
Passés les quelques plans quasi géométriques de l’ouverture, qui situent les lieux où ont habité les parents de Didier Éribon, nous voilà réellement saisis par un tourbillon d’images d’archives, mais aussi d’images de fiction.
Télérama
Croisant les histoires collective et intime comme le réel et l’imaginaire, Retour à Reims [Fragments] vaut pour l’audace et la pertinence de son projet, comme pour l’aboutissement de sa réalisation. L’œuvre de l’un des rares documentaristes à ne pas sacrifier le cinéma à la prégnance du propos politique qui traverse son film.
Cahiers du Cinéma
Le montage d’archives trouve pleinement sa dynamique dans le tressage des voix, lorsque des témoignages, souvent face caméra, prolongent et précisent le texte lu par Adèle Haenel, ou lui apportent la nuance et le tremblé de l’incarnation.
Le Figaro
Le film vaut pour les extraits de reportages et de fictions qui illustrent la condition ouvrière.
Les Inrockuptibles
Il y a quelque chose de sublime et de vertigineux dans cette compression extrême, qui nous fait passer des imperfections de la pellicule et du noir et blanc au HD impeccable des caméras numériques.
Première
Les mots dits avec justesse par Adèle Haenel accompagnent des images d’archives hétérogènes (images d’actualité, extraits de films...). La grâce du montage bouleverse.
Critikat.com
Prolongeant artificiellement le désir, cher à Eribon, de voir les classes populaires faire front autour de luttes communes, Périot monte avec une emphase pataude un medley étonnant.